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Al-Andalus : la poésie
Re: Al-Andalus : la poésie
Jusqu'à il y a qq jours ça fonctionnait impec et je précise avoir bien cliqué sur " envoyer" , je vais finir (comme d'hab) par trouver heinMig a écrit:Ben tiens va falloir que je t'apprenne à envoyer un MPPapillon a écrit:Mig, ça va tes chevilles ?????? tu rentres encore dans tes shoses???????????Mig a écrit:
Avec Mig
Merci tout de même pour ta proposition d'aide
Re: Al-Andalus : la poésie
Après les Omeyyades, viennent les Rois des Taïfas. Ce sont des « rois clan » qui règnent sur des provinces dont les plus importantes sont celles de Saragosse, d’Almería, de Valence, de Grenade, et surtout celle de Séville qui domine la majeure partie de l’Andalousie.
Wallâda, fille du calife, par sa beauté et son éloquence fait de son salon l’endroit le plus recherché de Cordoue.
Tout honneur pour Dieu seul ! De délice un délice,
Moi, je vais mon chemin et me grise d’orgueil,
Tendant à mon amant mes deux joues en calice,
Et offrant à qui veut mes deux lèvres vermeilles.
Autre poème de Wallâda
Attends qu’il fasse noir
Avant de me voir
Car j’ai vu que la nuit
Garde mieux les secrets.
Si le soleil qui luit,
Si le soleil souffrait
Ce que je sens pour toi,
Il n’y aurait plus de jours,
Ni de lune alentour
Et les astres sans joie
Ne chemineraient pas.
Al-Mu Tamid est le dernier des princes abbâdides à régner sur Séville.
À la lueur d’une chandelle,
Qui dissipe l’ombre rebelle,
De même que ma main fait fuir
La misère sans coup férir,
Nous veillions selon mon vouloir,
Nous veillions sans cesser de boire,
Mais la coupe qu’elle m’offrait
Ne valait pas ses baisers frais.
La lueur du cierge venait
De son visage illuminé.
Quant à la chaleur de la flamme,
Ma chaude haleine en était l’âme.
Wallâda, fille du calife, par sa beauté et son éloquence fait de son salon l’endroit le plus recherché de Cordoue.
Tout honneur pour Dieu seul ! De délice un délice,
Moi, je vais mon chemin et me grise d’orgueil,
Tendant à mon amant mes deux joues en calice,
Et offrant à qui veut mes deux lèvres vermeilles.
Autre poème de Wallâda
Attends qu’il fasse noir
Avant de me voir
Car j’ai vu que la nuit
Garde mieux les secrets.
Si le soleil qui luit,
Si le soleil souffrait
Ce que je sens pour toi,
Il n’y aurait plus de jours,
Ni de lune alentour
Et les astres sans joie
Ne chemineraient pas.
Al-Mu Tamid est le dernier des princes abbâdides à régner sur Séville.
À la lueur d’une chandelle,
Qui dissipe l’ombre rebelle,
De même que ma main fait fuir
La misère sans coup férir,
Nous veillions selon mon vouloir,
Nous veillions sans cesser de boire,
Mais la coupe qu’elle m’offrait
Ne valait pas ses baisers frais.
La lueur du cierge venait
De son visage illuminé.
Quant à la chaleur de la flamme,
Ma chaude haleine en était l’âme.
Re: Al-Andalus : la poésie
Très beau, tu me rappelles une poétesse que l'on peut lire sur smailSao Mai a écrit:Après les Omeyyades, viennent les Rois des Taïfas. Ce sont des « rois clan » qui règnent sur des provinces dont les plus importantes sont celles de Saragosse, d’Almería, de Valence, de Grenade, et surtout celle de Séville qui domine la majeure partie de l’Andalousie.
Wallâda, fille du calife, par sa beauté et son éloquence fait de son salon l’endroit le plus recherché de Cordoue.
Tout honneur pour Dieu seul ! De délice un délice,
Moi, je vais mon chemin et me grise d’orgueil,
Tendant à mon amant mes deux joues en calice,
Et offrant à qui veut mes deux lèvres vermeilles.
Autre poème de Wallâda
Attends qu’il fasse noir
Avant de me voir
Car j’ai vu que la nuit
Garde mieux les secrets.
Si le soleil qui luit,
Si le soleil souffrait
Ce que je sens pour toi,
Il n’y aurait plus de jours,
Ni de lune alentour
Et les astres sans joie
Ne chemineraient pas.
Al-Mu Tamid est le dernier des princes abbâdides à régner sur Séville.
À la lueur d’une chandelle,
Qui dissipe l’ombre rebelle,
De même que ma main fait fuir
La misère sans coup férir,
Nous veillions selon mon vouloir,
Nous veillions sans cesser de boire,
Mais la coupe qu’elle m’offrait
Ne valait pas ses baisers frais.
La lueur du cierge venait
De son visage illuminé.
Quant à la chaleur de la flamme,
Ma chaude haleine en était l’âme.
Re: Al-Andalus : la poésie
Papillon a écrit:Très beau, tu me rappelles une poétesse que l'on peut lire sur smailSao Mai a écrit:Après les Omeyyades, viennent les Rois des Taïfas. Ce sont des « rois clan » qui règnent sur des provinces dont les plus importantes sont celles de Saragosse, d’Almería, de Valence, de Grenade, et surtout celle de Séville qui domine la majeure partie de l’Andalousie.
Wallâda, fille du calife, par sa beauté et son éloquence fait de son salon l’endroit le plus recherché de Cordoue.
Tout honneur pour Dieu seul ! De délice un délice,
Moi, je vais mon chemin et me grise d’orgueil,
Tendant à mon amant mes deux joues en calice,
Et offrant à qui veut mes deux lèvres vermeilles.
Autre poème de Wallâda
Attends qu’il fasse noir
Avant de me voir
Car j’ai vu que la nuit
Garde mieux les secrets.
Si le soleil qui luit,
Si le soleil souffrait
Ce que je sens pour toi,
Il n’y aurait plus de jours,
Ni de lune alentour
Et les astres sans joie
Ne chemineraient pas.
Al-Mu Tamid est le dernier des princes abbâdides à régner sur Séville.
À la lueur d’une chandelle,
Qui dissipe l’ombre rebelle,
De même que ma main fait fuir
La misère sans coup férir,
Nous veillions selon mon vouloir,
Nous veillions sans cesser de boire,
Mais la coupe qu’elle m’offrait
Ne valait pas ses baisers frais.
La lueur du cierge venait
De son visage illuminé.
Quant à la chaleur de la flamme,
Ma chaude haleine en était l’âme.
Hé, hé,
Le Cid est arrivé-hé-hé,
Sans s'presser-hé-hé...
Re: Al-Andalus : la poésie
what ????????? SapeurSapeur Lipopète a écrit:Papillon a écrit:Très beau, tu me rappelles une poétesse que l'on peut lire sur smailSao Mai a écrit:Après les Omeyyades, viennent les Rois des Taïfas. Ce sont des « rois clan » qui règnent sur des provinces dont les plus importantes sont celles de Saragosse, d’Almería, de Valence, de Grenade, et surtout celle de Séville qui domine la majeure partie de l’Andalousie.
Wallâda, fille du calife, par sa beauté et son éloquence fait de son salon l’endroit le plus recherché de Cordoue.
Tout honneur pour Dieu seul ! De délice un délice,
Moi, je vais mon chemin et me grise d’orgueil,
Tendant à mon amant mes deux joues en calice,
Et offrant à qui veut mes deux lèvres vermeilles.
Autre poème de Wallâda
Attends qu’il fasse noir
Avant de me voir
Car j’ai vu que la nuit
Garde mieux les secrets.
Si le soleil qui luit,
Si le soleil souffrait
Ce que je sens pour toi,
Il n’y aurait plus de jours,
Ni de lune alentour
Et les astres sans joie
Ne chemineraient pas.
Al-Mu Tamid est le dernier des princes abbâdides à régner sur Séville.
À la lueur d’une chandelle,
Qui dissipe l’ombre rebelle,
De même que ma main fait fuir
La misère sans coup férir,
Nous veillions selon mon vouloir,
Nous veillions sans cesser de boire,
Mais la coupe qu’elle m’offrait
Ne valait pas ses baisers frais.
La lueur du cierge venait
De son visage illuminé.
Quant à la chaleur de la flamme,
Ma chaude haleine en était l’âme.
Hé, hé,
Le Cid est arrivé-hé-hé,
Sans s'presser-hé-hé...
Re: Al-Andalus : la poésie
Certes, mais quel rapport avec Sao Mai ? *Sapeur Lipopète a écrit:Ruy Diaz de Bivar !
excuse-mi, je suis hein Ql thé
Re: Al-Andalus : la poésie
Ah okèche, donc si je te suis bien, il faut s'entorser les neurones pour peut-être trouver une réponse ????????Sapeur Lipopète a écrit:Ça a un rapport avec le titre.
Re: Al-Andalus : la poésie
Ben nan ce n'est pas encore l'heure d'aller mettre " ma viande dans le torchon", réplique non pas de moi mais GB dans un de ses nombreux sketch ai pas encore soupéSapeur Lipopète a écrit:C'est pas grave, tu peux te rendormir... .
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