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Al-Andalus : la poésie
Re: Al-Andalus : la poésie
C’est pendant le califat des Omeyyades que Cordoue devient l’ensorceleuse. Sans conteste ce califat de Cordoue est l’état le plus puissant d’Occident. Et son rayonnement va jusqu’en Asie centrale.Mig a écrit:J'apprécie tout ce qui est d'Andalousie et en particulier l'ensorceleuse Cordoue
Cordoue devient une métropole culturelle. Mais le califat s’écroule d’une façon très imprévue. Le souverain retranché dans son palais a une part de responsabilité : il laisse l’anarchie s’installer, et Cordoue est assiégée pendant trois ans. Sa mosquée reste une des merveilles de l’art arabo-andalou.
Il faut entendre les pleurs désespérés de Ibn Hazm et la douleur de Ibn Shuhayd ( dont reproduirai les poèmes) pour prendre la mesure de ce qu’a été la perte du califat.
Re: Al-Andalus : la poésie
Ibn Hazm
Fils de ministre, il doit fuir Cordoue avec sa famille car la guerre civile fait rage. Il participe aux tentatives de restaurations Omeyyades, ce qui lui vaut plusieurs séjours en prison. Désespéré par la ruine du califat, il se retire et ne se consacre plus qu’au travail intellectuel.
Adieu, demeure aimée, las, nous t’avons quittée,
Demeure laissée vide, esseulée, désertée.
Qui croirait à la vue de cette triste terre
Qu’elle ait pu fructifier et rendre si prospères
Maintes générations ? Ô fatale demeure,
Nous n’avons point voulu délaisser tes malheurs-
Plût au ciel que ton sol eût été notre tombe !
Les arrêts du Seigneur imposent leur rigueur ;
À ses ordres, bon gré, malgré, chacun succombe.
Que mon corps est lassé, que mon cœur est fébrile !
Mon âme est orpheline, et mes entrailles brûlent.
Quelle peine a pesé, quel chagrin épuisé,
Quel amour tourmenté, quel exil déchiré
Avec autant de force ! Ô siècle, demeurez !
Ô pleurs, coulez toujours ; ô mal, sois plus cruel !
Je pleurerai ce siècle aussi longtemps qu’un ciel
Couvrira les passants sous son toit azuré,
Tant que le sol poudreux ignorera nos traits.
Fils de ministre, il doit fuir Cordoue avec sa famille car la guerre civile fait rage. Il participe aux tentatives de restaurations Omeyyades, ce qui lui vaut plusieurs séjours en prison. Désespéré par la ruine du califat, il se retire et ne se consacre plus qu’au travail intellectuel.
Adieu, demeure aimée, las, nous t’avons quittée,
Demeure laissée vide, esseulée, désertée.
Qui croirait à la vue de cette triste terre
Qu’elle ait pu fructifier et rendre si prospères
Maintes générations ? Ô fatale demeure,
Nous n’avons point voulu délaisser tes malheurs-
Plût au ciel que ton sol eût été notre tombe !
Les arrêts du Seigneur imposent leur rigueur ;
À ses ordres, bon gré, malgré, chacun succombe.
Que mon corps est lassé, que mon cœur est fébrile !
Mon âme est orpheline, et mes entrailles brûlent.
Quelle peine a pesé, quel chagrin épuisé,
Quel amour tourmenté, quel exil déchiré
Avec autant de force ! Ô siècle, demeurez !
Ô pleurs, coulez toujours ; ô mal, sois plus cruel !
Je pleurerai ce siècle aussi longtemps qu’un ciel
Couvrira les passants sous son toit azuré,
Tant que le sol poudreux ignorera nos traits.
Re: Al-Andalus : la poésie
GOOGLE je te kiffe grave
il était une fois
Abû Muhammad Alî ibn Hazm (ابن حزم) ou Al Hazm est un poète, historien, juriste, philosophe et théologien arabe de souche andalouse convertie à l'islam depuis plus de 2 siècles.
Fils de haute lignée omeyyade, son non-conformisme exaspéré lui valut d'être plusieurs fois emprisonné, et la haine des « légistes » : on brûla ses livres !
Deux fois ministre (vizir) au service de la dynastie omeyade alors en pleine décomposition, Ibn Hazm mit ses connaissances encyclopédiques au service de ses convictions politiques et théologiques.
L'œuvre d'Ibn Hazm est immense. Elle comprend 400 titres environ (beaucoup sont perdus) couvrant la totalité des sciences islamiques.
À la suite de son modèle Ibn Dawoud, son traité de morale, le Collier de la colombe, le situe parmi les représentants majeurs du platonisme en Islam. A.R. Nykl a signalé l'étroite ressemblance qui unit ses théories de l'amour platonique et celle du gai savoir des fidèles d'amour et des troubadours.
Le Traité sur les religions et les écoles de pensée est considéré comme le premier traité d'histoire comparée des religions (dans le monde et en langue arabe). Il y analyse toutes les attitudes possibles face au phénomène religieux, du scepticisme à la foi du charbonnier.
il était une fois
Abû Muhammad Alî ibn Hazm (ابن حزم) ou Al Hazm est un poète, historien, juriste, philosophe et théologien arabe de souche andalouse convertie à l'islam depuis plus de 2 siècles.
Fils de haute lignée omeyyade, son non-conformisme exaspéré lui valut d'être plusieurs fois emprisonné, et la haine des « légistes » : on brûla ses livres !
Deux fois ministre (vizir) au service de la dynastie omeyade alors en pleine décomposition, Ibn Hazm mit ses connaissances encyclopédiques au service de ses convictions politiques et théologiques.
L'œuvre d'Ibn Hazm est immense. Elle comprend 400 titres environ (beaucoup sont perdus) couvrant la totalité des sciences islamiques.
À la suite de son modèle Ibn Dawoud, son traité de morale, le Collier de la colombe, le situe parmi les représentants majeurs du platonisme en Islam. A.R. Nykl a signalé l'étroite ressemblance qui unit ses théories de l'amour platonique et celle du gai savoir des fidèles d'amour et des troubadours.
Le Traité sur les religions et les écoles de pensée est considéré comme le premier traité d'histoire comparée des religions (dans le monde et en langue arabe). Il y analyse toutes les attitudes possibles face au phénomène religieux, du scepticisme à la foi du charbonnier.
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Re: Al-Andalus : la poésie
Ibn Shuhayd
Il était fils et petit-fils de ministre et il était né pour continuer cette charge. Mais la guerre civile éclate et compromet son avenir politique. Convaincu de la légitimité du califat, il devient ministre auprès de son ami Ibn Hazm à l’occasion d’une tentative de restauration qui tourne court. La défaite définitive des Omeyyades sonne le glas de ses ambitions politiques. il ne se vouera plus qu’aux belles lettres.
Je laisse le soin à Perle de nous donner d’autres indications sur ce poète.
Toute faible qu’elle est, Cordoue vous embobine,
Et nous tournons comme chameaux autour d’un puits.
Les sages ont fait vœu de plaire à la coquine,
Laquelle ne se voue qu’à ses propres envies.
Cuenca ne lui ’arrive pas à la cheville ;
Denia n’approche pas de ses coquetteries.
J’ai sombré en ce lieu sous le poids des ennuis.
Que je l’aime ! Ah, combien ma peine est infinie !
Il était fils et petit-fils de ministre et il était né pour continuer cette charge. Mais la guerre civile éclate et compromet son avenir politique. Convaincu de la légitimité du califat, il devient ministre auprès de son ami Ibn Hazm à l’occasion d’une tentative de restauration qui tourne court. La défaite définitive des Omeyyades sonne le glas de ses ambitions politiques. il ne se vouera plus qu’aux belles lettres.
Je laisse le soin à Perle de nous donner d’autres indications sur ce poète.
Toute faible qu’elle est, Cordoue vous embobine,
Et nous tournons comme chameaux autour d’un puits.
Les sages ont fait vœu de plaire à la coquine,
Laquelle ne se voue qu’à ses propres envies.
Cuenca ne lui ’arrive pas à la cheville ;
Denia n’approche pas de ses coquetteries.
J’ai sombré en ce lieu sous le poids des ennuis.
Que je l’aime ! Ah, combien ma peine est infinie !
Re: Al-Andalus : la poésie
En vla encore
I - Introduction :
Parmi tous les états musulmans du Moyen Age, la péninsule Ibérique, désignée en arabe sous le nom de al-Andalùs, est sans doute celui qui bénéficie du meilleur éclairage. Aux chroniques arabes viennent en effet s’ajouter les données des sources latines, et l’essor des recherches archéologiques a permis de progresser dans la connaissance des sociétés et des formes de peuplement. A la veille de la conquête, le royaume Wisigothique traversait une grave crise sociale. L’économie était affectée par des catastrophes naturelles et un ralentissement sensible des activités commerciales. En, 710, une révolution de palais avait conduit le duc Rodéric au pouvoir aux dépens de l’héritier légitime de la monarchie, Akhila. Tous ces évènements ont facilité la conquête des musulmans qui allaient fonder l’un des plus extraordinaires foyers de civilisations islamique.
Par le nom d’Al Andalus ظُذٗاأل , on désigne le territoire de la péninsule Ibérique qui de 711 à 1492, se trouve sous la domination d’une puissance politique islamique. Al –Andalous est la région d’Europe où la présence Islamique était la plus intense et la plus durable. Les huit siècles de présence des Musulmans en Espagne, et plus particulièrement en Andalousie, demeurent dans la mémoire musulmane et notamment arabe comme un âge d’or nostalgique. Pour l’Europe médiévale, l’occupation musulmane de la péninsule est, indépendamment de son rôle dans la formation de la mentalité nationale espagnol, à l’origine de la découverte d’une civilisation à maints égards - sur les plans scientifique, intellectuel et matériel supérieure à celle qu’elle connaît alors.
Pendant l’existence des Arabes, l’Andalousie a pu affirmer une personnalité intellectuelle propre au sein de l’Islam. Dès 711, au début de la conquête, des Arabes, des Berbères, des esclaves et des affranchis de différentes races, sont arrivés en Espagne et se sont mêlés à la population indigène. A ces composants de la société andalouse s’ajoutent les mozarabes, les chrétiens et les juifs. Toutes ces ethnies ont formés la société andalouse. Ont vécu groupées en villes et villages, dans un royaume où règne la tolérance religieuse, liberté de la femme, splendeur des cours princières, un royaume de l’amour et des amoureux.
Au niveau intellectuel Cordoue était un centre actif de vie littéraire, ainsi que, à un moindre degré, les capitales de province. La langue administrative et littéraire était l’arabe dit « classique », tandis que dans la vie courante et même à la cour, on employait un arabe littéral, plein de mots latins et romains. Le romain chrétien était admis par l’état et nombreux étaient les musulmans qui le parlaient.
L’Andalousie avait rassemblé des caractères qui lui sont propres, richesses naturelles et épanouissement culturel ont façonné une société quasi dépourvue d’ignorants et d’analphabètes. Chaque citoyen s’intéressait à une activité particulière. Plusieurs puisait dans différents domaines et sources de savoir et répandaient leur génie personnel. Dozi nous illustre bien cette réalité quand il écrit :
" En Andalousie tout le monde savait lire et écrire, alors qu’en Europe l’ignorance
battait son plein, excepté les sphères de la religion" .
Au Xème siècle, les souverains Omeyyades Espagnols jouent un rôle actif dans le développement des sciences, envoyant des missions en Orient pour acheter des ouvrages scientifiques, qu’ils réunissent dans de remarquables bibliothèques.
Ce fut le théâtre d’une civilisation raffinée. Une remarquable floraison de philosophes, de juristes, de médecins et d’astronomes, de poètes et d’historiens fit d’al-Andalus l’un des grands foyers culturels de l’Espagne musulmane. L’art musulman donna à l’Espagne de magnifiques joyaux que nous admirons encors aujourd’hui : la grande mosquée de Cordoue, ¹ Dozy : Histoire des musulmans d’Espagne, 2e édition, tome I, p : 317-318. 6 la Giralda de Séville et l’Alhambra de Grenade.
La pensée philosophique et le sens pratique des Arabes s’étaient répercutés dans toutes les régions d’Europe. Ainsi la majorité des princes européens faisait appel aux chirurgiens, architectes, chanteurs, couturières et stylistes, en les commandant de Cordoue.
Quant à la médecine, elle était enseignée dans trois écoles répartis entre Cordoue, Tolède, et Séville. Par contre les écoles publiques ont été dispersées dans tous les coins de l’Andalousie. Les savants, les historiens et les poètes jouissaient de centres scientifiques et littéraires particuliers, similaires aux académies contemporaines. Sur les murailles de ces académies était gravé l’écriteau suivant :
" Le monde repose sur quatre principes : La science des sages, la justice des grands,
les louanges des sàlihin (hommes de Dieu) et la bravoure
des courageux ".
La littérature andalouse occupe une place privilégiée dans la littérature arabe aussi bien classique que moderne. Cette importance résulte probablement de l’influence culturelle de la civilisation d’Orient sur celle de la péninsule Ibérique. La poésie andalouse était le prolongement des littératures Omeyyade et Abbasside, mais à partir du XI siècle, les poètes se mirent à refléter la vie, le milieu et l’environnement andalous et se montrèrent créatifs. Les poètes ont abordé tous les sujets majeurs relatifs à leur existence, tel que les thèmes panégyrique, descriptif, bachique, satirique, religieux, élégiaque, funèbre, et amoureux.
Si on veut la suite il y a environ 300 pages ..c'est un pdf à télécharger
https://www.theses.fr/2010PEST0023.pdf
I - Introduction :
Parmi tous les états musulmans du Moyen Age, la péninsule Ibérique, désignée en arabe sous le nom de al-Andalùs, est sans doute celui qui bénéficie du meilleur éclairage. Aux chroniques arabes viennent en effet s’ajouter les données des sources latines, et l’essor des recherches archéologiques a permis de progresser dans la connaissance des sociétés et des formes de peuplement. A la veille de la conquête, le royaume Wisigothique traversait une grave crise sociale. L’économie était affectée par des catastrophes naturelles et un ralentissement sensible des activités commerciales. En, 710, une révolution de palais avait conduit le duc Rodéric au pouvoir aux dépens de l’héritier légitime de la monarchie, Akhila. Tous ces évènements ont facilité la conquête des musulmans qui allaient fonder l’un des plus extraordinaires foyers de civilisations islamique.
Par le nom d’Al Andalus ظُذٗاأل , on désigne le territoire de la péninsule Ibérique qui de 711 à 1492, se trouve sous la domination d’une puissance politique islamique. Al –Andalous est la région d’Europe où la présence Islamique était la plus intense et la plus durable. Les huit siècles de présence des Musulmans en Espagne, et plus particulièrement en Andalousie, demeurent dans la mémoire musulmane et notamment arabe comme un âge d’or nostalgique. Pour l’Europe médiévale, l’occupation musulmane de la péninsule est, indépendamment de son rôle dans la formation de la mentalité nationale espagnol, à l’origine de la découverte d’une civilisation à maints égards - sur les plans scientifique, intellectuel et matériel supérieure à celle qu’elle connaît alors.
Pendant l’existence des Arabes, l’Andalousie a pu affirmer une personnalité intellectuelle propre au sein de l’Islam. Dès 711, au début de la conquête, des Arabes, des Berbères, des esclaves et des affranchis de différentes races, sont arrivés en Espagne et se sont mêlés à la population indigène. A ces composants de la société andalouse s’ajoutent les mozarabes, les chrétiens et les juifs. Toutes ces ethnies ont formés la société andalouse. Ont vécu groupées en villes et villages, dans un royaume où règne la tolérance religieuse, liberté de la femme, splendeur des cours princières, un royaume de l’amour et des amoureux.
Au niveau intellectuel Cordoue était un centre actif de vie littéraire, ainsi que, à un moindre degré, les capitales de province. La langue administrative et littéraire était l’arabe dit « classique », tandis que dans la vie courante et même à la cour, on employait un arabe littéral, plein de mots latins et romains. Le romain chrétien était admis par l’état et nombreux étaient les musulmans qui le parlaient.
L’Andalousie avait rassemblé des caractères qui lui sont propres, richesses naturelles et épanouissement culturel ont façonné une société quasi dépourvue d’ignorants et d’analphabètes. Chaque citoyen s’intéressait à une activité particulière. Plusieurs puisait dans différents domaines et sources de savoir et répandaient leur génie personnel. Dozi nous illustre bien cette réalité quand il écrit :
" En Andalousie tout le monde savait lire et écrire, alors qu’en Europe l’ignorance
battait son plein, excepté les sphères de la religion" .
Au Xème siècle, les souverains Omeyyades Espagnols jouent un rôle actif dans le développement des sciences, envoyant des missions en Orient pour acheter des ouvrages scientifiques, qu’ils réunissent dans de remarquables bibliothèques.
Ce fut le théâtre d’une civilisation raffinée. Une remarquable floraison de philosophes, de juristes, de médecins et d’astronomes, de poètes et d’historiens fit d’al-Andalus l’un des grands foyers culturels de l’Espagne musulmane. L’art musulman donna à l’Espagne de magnifiques joyaux que nous admirons encors aujourd’hui : la grande mosquée de Cordoue, ¹ Dozy : Histoire des musulmans d’Espagne, 2e édition, tome I, p : 317-318. 6 la Giralda de Séville et l’Alhambra de Grenade.
La pensée philosophique et le sens pratique des Arabes s’étaient répercutés dans toutes les régions d’Europe. Ainsi la majorité des princes européens faisait appel aux chirurgiens, architectes, chanteurs, couturières et stylistes, en les commandant de Cordoue.
Quant à la médecine, elle était enseignée dans trois écoles répartis entre Cordoue, Tolède, et Séville. Par contre les écoles publiques ont été dispersées dans tous les coins de l’Andalousie. Les savants, les historiens et les poètes jouissaient de centres scientifiques et littéraires particuliers, similaires aux académies contemporaines. Sur les murailles de ces académies était gravé l’écriteau suivant :
" Le monde repose sur quatre principes : La science des sages, la justice des grands,
les louanges des sàlihin (hommes de Dieu) et la bravoure
des courageux ".
La littérature andalouse occupe une place privilégiée dans la littérature arabe aussi bien classique que moderne. Cette importance résulte probablement de l’influence culturelle de la civilisation d’Orient sur celle de la péninsule Ibérique. La poésie andalouse était le prolongement des littératures Omeyyade et Abbasside, mais à partir du XI siècle, les poètes se mirent à refléter la vie, le milieu et l’environnement andalous et se montrèrent créatifs. Les poètes ont abordé tous les sujets majeurs relatifs à leur existence, tel que les thèmes panégyrique, descriptif, bachique, satirique, religieux, élégiaque, funèbre, et amoureux.
Si on veut la suite il y a environ 300 pages ..c'est un pdf à télécharger
https://www.theses.fr/2010PEST0023.pdf
Re: Al-Andalus : la poésie
Bon heureusement que "l'historien" Caïman n'est plus là ...pour contredire..
Puis Melu, que ça lui ferait mal tout ça ..bon il reste Bonbeurre
Puis Melu, que ça lui ferait mal tout ça ..bon il reste Bonbeurre
Re: Al-Andalus : la poésie
Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Sao Mai et oui j'aime apprendre et j'apprends chaque jourSao Mai a écrit:Merci Etaine et Papillon.
Papillon, j’aime beaucoup ton esprit. Vouloir apprendre encore et toujours. Ainsi tu ne vieilliras jamais !
Re: Al-Andalus : la poésie
Avec MigPapillon a écrit:Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Sao Mai et oui j'aime apprendre et j'apprends chaque jourSao Mai a écrit:Merci Etaine et Papillon.
Papillon, j’aime beaucoup ton esprit. Vouloir apprendre encore et toujours. Ainsi tu ne vieilliras jamais !
Re: Al-Andalus : la poésie
Mig, ça va tes chevilles ?????? tu rentres encore dans tes shoses???????????Mig a écrit:Avec MigPapillon a écrit:Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Sao Mai et oui j'aime apprendre et j'apprends chaque jourSao Mai a écrit:Merci Etaine et Papillon.
Papillon, j’aime beaucoup ton esprit. Vouloir apprendre encore et toujours. Ainsi tu ne vieilliras jamais !
Re: Al-Andalus : la poésie
Ben tiens va falloir que je t'apprenne à envoyer un MPPapillon a écrit:Mig, ça va tes chevilles ?????? tu rentres encore dans tes shoses???????????Mig a écrit:Avec MigPapillon a écrit:Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Sao Mai et oui j'aime apprendre et j'apprends chaque jourSao Mai a écrit:Merci Etaine et Papillon.
Papillon, j’aime beaucoup ton esprit. Vouloir apprendre encore et toujours. Ainsi tu ne vieilliras jamais !
Re: Al-Andalus : la poésie
Jusqu'à il y a qq jours ça fonctionnait impec et je précise avoir bien cliqué sur " envoyer" , je vais finir (comme d'hab) par trouver heinMig a écrit:Ben tiens va falloir que je t'apprenne à envoyer un MPPapillon a écrit:Mig, ça va tes chevilles ?????? tu rentres encore dans tes shoses???????????Mig a écrit:
Avec Mig
Merci tout de même pour ta proposition d'aide
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