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NON, les enfants pauvres n'existent pas.
Re: NON, les enfants pauvres n'existent pas.
Alpha a écrit:J'ai dit ce que je faisais moi, cela ne veut pas dire que tu ne le fais pas.AuBonBeurre a écrit:Alpha a écrit:
Moi, quand j'arrive quelque part, boulangerie, boucherie, etc. c'est moi qui dis "bonjour messieurs dames" même s'il n'y a que la boulangère.
C'est celui ou celle qui arrive quelque part qui doit dire bonjour. C'est me semble t'il, un signe de politesse, c'est ce que m'a appris.
Faut pas tout inverser pour encore justifier des positions confortant ton point de vue. La politesse n'est pas à sens unique.
Mais qu'Est-ce qui vous fait croire que je ne dis pas mon plus "bonjour" , "merci" , "au revoir " ?
Quand je passe à la caisse de Géant Casino , j'ai toujours droit à des amabilités et à des sourires de la part des caissières car elles savent que je suis courtois et honnête .
Pourquoi n'en serait-il pas ainsi à la gare , hier soir alors que d'autres employés sont charmants ?
Un autre point . Vous parliez sur ce sujet d'augmentations des salaires . Peut-être que selon les branches , c'est possible .
Mais vous pensez à notre administration , aux commerçants , aux artisans , aux PME qui mettraient la clé sous la porte en cas d'augmentation forcée des salaires ?
Vous ne savez pas que certains patrons après avoir payé leurs employés n'ont plus de quoi se dégager un salaire pour eux-mêmes ?
Inciter les grands patrons qui font de grands bénéfices à redistribuer une part des richesses à leurs employés , là oui je suis d'accord .
Concernant les augmentations de salaires, j'ai le souvenir de 30% d'augmentation du SMIG en 1968 après les grèves.
Chacun y allait de son couplet patronal pour dire que nous allions faire mourir toutes les entreprises du pays.
Question: en 1968, est-ce que toutes les entreprise du pays ont mis la clef sous la porte?
Oui, je sais que certains ont des difficultés à se servir un salaire mais il ne s'agit pas de "patron" au sens ou je l'entend, il s'agit d'artisans qui bien souvent travaillent seuls ou presque. Travaillent en sous-traitance pour des grosses boites qui leur font les pires difficultés pour régler ce qu'elles leur doivent. etc. etc.
Des coups de pouce au SMIC depuis 68 , il y en a eus . Souvenez vous de Mitterrand , la France ne devait pas connaître les 2 millions de chômeurs et au final , il y en a eu 3 .
Sous Hollande , pareil . Oui je sais ce fut pas grand chose au niveau du SMIC mais même les socialistes l'ont viré . Cela dit comme Sarkozy , il a pas eu de bol de venir au pouvoir avec l'une des plus grandes crises mondiales .
L'augmention du SMIC en 68 , c'était sous les Trente Glorieuses : plein emploi , pas de dette ...
Re: NON, les enfants pauvres n'existent pas.
Vous ALFA, vous si intelligent parlez beaucoup sans rien connaitre à la réalité des entreprises, surtout des PMEAlpha a écrit:J'ai dit ce que je faisais moi, cela ne veut pas dire que tu ne le fais pas.AuBonBeurre a écrit:Alpha a écrit:
Moi, quand j'arrive quelque part, boulangerie, boucherie, etc. c'est moi qui dis "bonjour messieurs dames" même s'il n'y a que la boulangère.
C'est celui ou celle qui arrive quelque part qui doit dire bonjour. C'est me semble t'il, un signe de politesse, c'est ce que m'a appris.
Faut pas tout inverser pour encore justifier des positions confortant ton point de vue. La politesse n'est pas à sens unique.
Mais qu'Est-ce qui vous fait croire que je ne dis pas mon plus "bonjour" , "merci" , "au revoir " ?
Quand je passe à la caisse de Géant Casino , j'ai toujours droit à des amabilités et à des sourires de la part des caissières car elles savent que je suis courtois et honnête .
Pourquoi n'en serait-il pas ainsi à la gare , hier soir alors que d'autres employés sont charmants ?
Un autre point . Vous parliez sur ce sujet d'augmentations des salaires . Peut-être que selon les branches , c'est possible .
Mais vous pensez à notre administration , aux commerçants , aux artisans , aux PME qui mettraient la clé sous la porte en cas d'augmentation forcée des salaires ?
Vous ne savez pas que certains patrons après avoir payé leurs employés n'ont plus de quoi se dégager un salaire pour eux-mêmes ?
Inciter les grands patrons qui font de grands bénéfices à redistribuer une part des richesses à leurs employés , là oui je suis d'accord .
Concernant les augmentations de salaires, j'ai le souvenir de 30% d'augmentation du SMIG en 1968 après les grèves.
Chacun y allait de son couplet patronal pour dire que nous allions faire mourir toutes les entreprises du pays.
Question: en 1968, est-ce que toutes les entreprise du pays ont mis la clef sous la porte?
Oui, je sais que certains ont des difficultés à se servir un salaire mais il ne s'agit pas de "patron" au sens ou je l'entend, il s'agit d'artisans qui bien souvent travaillent seuls ou presque. Travaillent en sous-traitance pour des grosses boites qui leur font les pires difficultés pour régler ce qu'elles leur doivent. etc. etc.
Re: NON, les enfants pauvres n'existent pas.
C'est pas assez ..suffit pas de le dire ..faut le démontrerMaréaction a écrit:Vous ALFA, vous si intelligent parlez beaucoup sans rien connaitre à la réalité des entreprises, surtout des PMEAlpha a écrit:J'ai dit ce que je faisais moi, cela ne veut pas dire que tu ne le fais pas.AuBonBeurre a écrit:Alpha a écrit:
Moi, quand j'arrive quelque part, boulangerie, boucherie, etc. c'est moi qui dis "bonjour messieurs dames" même s'il n'y a que la boulangère.
C'est celui ou celle qui arrive quelque part qui doit dire bonjour. C'est me semble t'il, un signe de politesse, c'est ce que m'a appris.
Faut pas tout inverser pour encore justifier des positions confortant ton point de vue. La politesse n'est pas à sens unique.
Mais qu'Est-ce qui vous fait croire que je ne dis pas mon plus "bonjour" , "merci" , "au revoir " ?
Quand je passe à la caisse de Géant Casino , j'ai toujours droit à des amabilités et à des sourires de la part des caissières car elles savent que je suis courtois et honnête .
Pourquoi n'en serait-il pas ainsi à la gare , hier soir alors que d'autres employés sont charmants ?
Un autre point . Vous parliez sur ce sujet d'augmentations des salaires . Peut-être que selon les branches , c'est possible .
Mais vous pensez à notre administration , aux commerçants , aux artisans , aux PME qui mettraient la clé sous la porte en cas d'augmentation forcée des salaires ?
Vous ne savez pas que certains patrons après avoir payé leurs employés n'ont plus de quoi se dégager un salaire pour eux-mêmes ?
Inciter les grands patrons qui font de grands bénéfices à redistribuer une part des richesses à leurs employés , là oui je suis d'accord .
Concernant les augmentations de salaires, j'ai le souvenir de 30% d'augmentation du SMIG en 1968 après les grèves.
Chacun y allait de son couplet patronal pour dire que nous allions faire mourir toutes les entreprises du pays.
Question: en 1968, est-ce que toutes les entreprise du pays ont mis la clef sous la porte?
Oui, je sais que certains ont des difficultés à se servir un salaire mais il ne s'agit pas de "patron" au sens ou je l'entend, il s'agit d'artisans qui bien souvent travaillent seuls ou presque. Travaillent en sous-traitance pour des grosses boites qui leur font les pires difficultés pour régler ce qu'elles leur doivent. etc. etc.
Re: NON, les enfants pauvres n'existent pas.
Vous contestez donc c'est à vous de prouver que j'ai tort je doute fort qu'alfa ai un jour gerer une entreprise comme vous d'ailleurs, par contre critiquer les patrons vous êtes championsMig a écrit:C'est pas assez ..suffit pas de le dire ..faut le démontrerMaréaction a écrit:Vous ALFA, vous si intelligent parlez beaucoup sans rien connaitre à la réalité des entreprises, surtout des PMEAlpha a écrit:
J'ai dit ce que je faisais moi, cela ne veut pas dire que tu ne le fais pas.
Concernant les augmentations de salaires, j'ai le souvenir de 30% d'augmentation du SMIG en 1968 après les grèves.
Chacun y allait de son couplet patronal pour dire que nous allions faire mourir toutes les entreprises du pays.
Question: en 1968, est-ce que toutes les entreprise du pays ont mis la clef sous la porte?
Oui, je sais que certains ont des difficultés à se servir un salaire mais il ne s'agit pas de "patron" au sens ou je l'entend, il s'agit d'artisans qui bien souvent travaillent seuls ou presque. Travaillent en sous-traitance pour des grosses boites qui leur font les pires difficultés pour régler ce qu'elles leur doivent. etc. etc.
Re: NON, les enfants pauvres n'existent pas.
Faux, nous avions environ 350 000 chômeurs dans notre pays en 1968 et environ 10 millions de salariés. Et Pompidou estimait que si l'on dépassait les 400 000, se serait l'explosion.AuBonBeurre a écrit:Alpha a écrit:J'ai dit ce que je faisais moi, cela ne veut pas dire que tu ne le fais pas.AuBonBeurre a écrit:
Mais qu'Est-ce qui vous fait croire que je ne dis pas mon plus "bonjour" , "merci" , "au revoir " ?
Quand je passe à la caisse de Géant Casino , j'ai toujours droit à des amabilités et à des sourires de la part des caissières car elles savent que je suis courtois et honnête .
Pourquoi n'en serait-il pas ainsi à la gare , hier soir alors que d'autres employés sont charmants ?
Un autre point . Vous parliez sur ce sujet d'augmentations des salaires . Peut-être que selon les branches , c'est possible .
Mais vous pensez à notre administration , aux commerçants , aux artisans , aux PME qui mettraient la clé sous la porte en cas d'augmentation forcée des salaires ?
Vous ne savez pas que certains patrons après avoir payé leurs employés n'ont plus de quoi se dégager un salaire pour eux-mêmes ?
Inciter les grands patrons qui font de grands bénéfices à redistribuer une part des richesses à leurs employés , là oui je suis d'accord .
Concernant les augmentations de salaires, j'ai le souvenir de 30% d'augmentation du SMIG en 1968 après les grèves.
Chacun y allait de son couplet patronal pour dire que nous allions faire mourir toutes les entreprises du pays.
Question: en 1968, est-ce que toutes les entreprise du pays ont mis la clef sous la porte?
Oui, je sais que certains ont des difficultés à se servir un salaire mais il ne s'agit pas de "patron" au sens ou je l'entend, il s'agit d'artisans qui bien souvent travaillent seuls ou presque. Travaillent en sous-traitance pour des grosses boites qui leur font les pires difficultés pour régler ce qu'elles leur doivent. etc. etc.
Des coups de pouce au SMIC depuis 68 , il y en a eus . Souvenez vous de Mitterrand , la France ne devait pas connaître les 2 millions de chômeurs et au final , il y en a eu 3 .
Sous Hollande , pareil . Oui je sais ce fut pas grand chose au niveau du SMIC mais même les socialistes l'ont viré . Cela dit comme Sarkozy , il a pas eu de bol de venir au pouvoir avec l'une des plus grandes crises mondiales .
L'augmention du SMIC en 68 , c'était sous les Trente Glorieuses : plein emploi , pas de dette ...
Mais depuis cette époque, est-ce que la politique économique de la France a changée?
Pour moi NON!
Aux mêmes maux diagnostiqués par tous, ils appliquent toujours les mêmes remèdes qui ne font selon moi, qu'aggraver notre situation
Privatisations, casse des services publics, casse de nos systèmes de retraites, de sécurité sociale, baisse des salaires blocages des pensions de retraite, etc.
Et dans le même temps, hausse vertigineuse des dividendes servis à des actionnaires de plus en plus insatiables.
C'est mon constat, peux tu me prouver que ce que j'affirme là est faux???
Re: NON, les enfants pauvres n'existent pas.
Non, la politique de la France n'a pas changée… Au contraire elle s'est aggravée ! Encore plus de bureaucrates dans la fonction publique, encore plus de traines savates syndiqués payés pour actes de présence, les 35 heures, etc... etc...
Et si des enfants sont pauvres, c'est que leurs parents se sont, quand il existe une famille qui n'est pas "recomposée" ou littéralement explosée...
Et si des enfants sont pauvres, c'est que leurs parents se sont, quand il existe une famille qui n'est pas "recomposée" ou littéralement explosée...
Re: NON, les enfants pauvres n'existent pas.
Nous étions environ 52 millions en 1968. Nous sommes environ 67 millions aujourd'hui.Caïman13 a écrit:Non, la politique de la France n'a pas changée… Au contraire elle s'est aggravée ! Encore plus de bureaucrates dans la fonction publique, encore plus de traines savates syndiqués payés pour actes de présence, les 35 heures, etc... etc...
Et si des enfants sont pauvres, c'est que leurs parents se sont, quand il existe une famille qui n'est pas "recomposée" ou littéralement explosée...
Plus de routes, d'autoroutes, de véhicules qui y circulent, plus de policiers, de facteurs, de fonctionnaires pour faire tourner la machine, etc. etc.
Mais à y regarder de plus près, je ne suis pas tout à fait certains qu'au prorata, il y en ai plus de tout ceux que j'ai cité.
Re: NON, les enfants pauvres n'existent pas.
Non, je n'ai pas cité les policiers, les facteurs ou les infirmières comme il est de coutume d'en parler lorsqu'on attaque la "fonction publique"... Relis mon intervention STP !
Re: NON, les enfants pauvres n'existent pas.
Je dis simplement que tu ne dis pas assez ..que tu dois lui démontrer ce que tu affirmesMaréaction a écrit:Vous contestez donc c'est à vous de prouver que j'ai tort je doute fort qu'alfa ai un jour gerer une entreprise comme vous d'ailleurs, par contre critiquer les patrons vous êtes championsMig a écrit:C'est pas assez ..suffit pas de le dire ..faut le démontrerMaréaction a écrit:Vous ALFA, vous si intelligent parlez beaucoup sans rien connaitre à la réalité des entreprises, surtout des PMEAlpha a écrit:
J'ai dit ce que je faisais moi, cela ne veut pas dire que tu ne le fais pas.
Concernant les augmentations de salaires, j'ai le souvenir de 30% d'augmentation du SMIG en 1968 après les grèves.
Chacun y allait de son couplet patronal pour dire que nous allions faire mourir toutes les entreprises du pays.
Question: en 1968, est-ce que toutes les entreprise du pays ont mis la clef sous la porte?
Oui, je sais que certains ont des difficultés à se servir un salaire mais il ne s'agit pas de "patron" au sens ou je l'entend, il s'agit d'artisans qui bien souvent travaillent seuls ou presque. Travaillent en sous-traitance pour des grosses boites qui leur font les pires difficultés pour régler ce qu'elles leur doivent. etc. etc.
Re: NON, les enfants pauvres n'existent pas.
Comment lui démontrer? que nous avons pris l'entreprise avec 2 camions et fini avec 26? que nous avons les mêmes Clients depuis plus de 40 ans? et gardons en général nos salariés? et oui, certains ont fait toute la carrière chez nous! que tous les contrôleurs partent les mains dans les poches? et oui je parle de camions! et de mon métier, et n'étais pas une fille de riche en plus!Mig a écrit:Je dis simplement que tu ne dis pas assez ..que tu dois lui démontrer ce que tu affirmesMaréaction a écrit:Vous contestez donc c'est à vous de prouver que j'ai tort je doute fort qu'alfa ai un jour gerer une entreprise comme vous d'ailleurs, par contre critiquer les patrons vous êtes championsMig a écrit:
C'est pas assez ..suffit pas de le dire ..faut le démontrer
pour une bas du plafond, j'espère qu'elle a eu le plaisir de mener la même carrière que moi, et de laisser à ses enfants, ce que nous avons laissé! malgré le refus d'une bouteille d'eau à 2€ et pour un âne aussi ce n'est pas si mal (j'ai les chevilles qui enflent avec juste raison)
Re: NON, les enfants pauvres n'existent pas.
VouiMaréaction a écrit:Comment lui démontrer? que nous avons pris l'entreprise avec 2 camions et fini avec 26? que nous avons les mêmes Clients depuis plus de 40 ans? et gardons en général nos salariés? et oui, certains ont fait toute la carrière chez nous! que tous les contrôleurs partent les mains dans les poches? et oui je parle de camions! et de mon métier, et n'étais pas une fille de riche en plus!Mig a écrit:Je dis simplement que tu ne dis pas assez ..que tu dois lui démontrer ce que tu affirmesMaréaction a écrit:Vous contestez donc c'est à vous de prouver que j'ai tort je doute fort qu'alfa ai un jour gerer une entreprise comme vous d'ailleurs, par contre critiquer les patrons vous êtes championsMig a écrit:
C'est pas assez ..suffit pas de le dire ..faut le démontrer
pour une bas du plafond, j'espère qu'elle a eu le plaisir de mener la même carrière que moi, et de laisser à ses enfants, ce que nous avons laissé! malgré le refus d'une bouteille d'eau à 2€ et pour un âne aussi ce n'est pas si mal (j'ai les chevilles qui enflent avec juste raison)
Mais c'est pas ça ..faut lui démontrer qu'il ne connait rien aux réalités des entreprises ..parce que ce que tu dis, depuis 15 ans, ça n'a rien à voir
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