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GOULAG
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A l'annonce de ce mot, tout un chacun ne pense qu'aux soviétique, responsables selon l'idéologie dominante de la création des goulags.
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Pourtant les goulags existaient bien avant l'arrivée des soviets au pouvoir, mais l'arnaque idéologique ne le veut pas.
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En décembre 1849, le tsar Nicolas Ier, qui voulait décourager ses opposants, organisa le procès truqué, puis la fausse exécution du groupe Pétrachevski.
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Fiodor Dostoïevski en faisait partie.
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Il n’oublia jamais cette épreuve ni les quatre ans passés dans les bagnes du tsar, sous l’uniforme gris et noir, les fers aux pieds, parmi les voleurs et les assassins. Hôtes involontaires du système pénitentiaire russe, tel Dostoïevski, ou poussé par la curiosité comme Tchékhov (qui enquêta sur le bagne de l’île de Sakhaline), les écrivains russes – comme aujourd’hui Soljenitsyne ou Zinoviev – ont informé l’Occident sur son existence et sa nature.
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En France aussi, le XIXe siècle a vu se créer des bagnes colonisateurs.
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Mais, annonçant peut-être l’Archipel du Goulag, le bagne sibérien est devenu le symbole de la répression organisée par un régime autoritaire contre les intellectuels.
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Jocelyne Fenner brosse ici un tableau précis et vivant du système pénitentiaire de la Russie des Tsars entre 1825 et 1905.
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Des polices illettrées et corrompues, une justice archaïque et un arsenal de peines allant du knout à la déportation et au bagne, voilà en quoi consistait la machine judiciaire russe.
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Après un voyage qui pouvait durer 18 mois, les exilés, forçats ou déportés gagnaient leur lieu d’assignation : le bagne cerné de palissades ou de ! miradors pour les uns, pour les autres un village sibérien où ils s’installaient, tant bien que mal.
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Les conditions d’existence de ces exilés sont encore mal connues et réservent des surprises au lecteur. Jocelyne Fenner, dont c’est le premier livre, a dépouillé des archives, des correspondances, des récits de voyage : elle amorce ici la découverte d’une Russie qui n’a pas fini de fasciner et d’étonner.
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En France goulag se prononce bagne, mais vous n'en parlez pas.
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Pourtant les goulags existaient bien avant l'arrivée des soviets au pouvoir, mais l'arnaque idéologique ne le veut pas.
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En décembre 1849, le tsar Nicolas Ier, qui voulait décourager ses opposants, organisa le procès truqué, puis la fausse exécution du groupe Pétrachevski.
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Fiodor Dostoïevski en faisait partie.
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Il n’oublia jamais cette épreuve ni les quatre ans passés dans les bagnes du tsar, sous l’uniforme gris et noir, les fers aux pieds, parmi les voleurs et les assassins. Hôtes involontaires du système pénitentiaire russe, tel Dostoïevski, ou poussé par la curiosité comme Tchékhov (qui enquêta sur le bagne de l’île de Sakhaline), les écrivains russes – comme aujourd’hui Soljenitsyne ou Zinoviev – ont informé l’Occident sur son existence et sa nature.
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En France aussi, le XIXe siècle a vu se créer des bagnes colonisateurs.
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Mais, annonçant peut-être l’Archipel du Goulag, le bagne sibérien est devenu le symbole de la répression organisée par un régime autoritaire contre les intellectuels.
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Jocelyne Fenner brosse ici un tableau précis et vivant du système pénitentiaire de la Russie des Tsars entre 1825 et 1905.
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Des polices illettrées et corrompues, une justice archaïque et un arsenal de peines allant du knout à la déportation et au bagne, voilà en quoi consistait la machine judiciaire russe.
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Après un voyage qui pouvait durer 18 mois, les exilés, forçats ou déportés gagnaient leur lieu d’assignation : le bagne cerné de palissades ou de ! miradors pour les uns, pour les autres un village sibérien où ils s’installaient, tant bien que mal.
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Les conditions d’existence de ces exilés sont encore mal connues et réservent des surprises au lecteur. Jocelyne Fenner, dont c’est le premier livre, a dépouillé des archives, des correspondances, des récits de voyage : elle amorce ici la découverte d’une Russie qui n’a pas fini de fasciner et d’étonner.
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En France goulag se prononce bagne, mais vous n'en parlez pas.
Re: GOULAG
Oui mais..il me semble , d'une que avant d'être envoyés au goulag, eux avaient droit à un procès , ce qui sous Lénine, puis Staline n'était pas courant ; de deux , cherche donc pour voir, le nombre de déportés sous le règne du tsar et compare avec ceux de lenine et staline
Que ce soit les uns ou les autres, les massacreurs sont à honnir
Vrai ou pas?
Que ce soit les uns ou les autres, les massacreurs sont à honnir
Vrai ou pas?
Re: GOULAG
melu a écrit:Oui mais..il me semble , d'une que avant d'être envoyés au goulag, eux avaient droit à un procès , ce qui sous Lénine, puis Staline n'était pas courant ; de deux , cherche donc pour voir, le nombre de déportés sous le règne du tsar et compare avec ceux de lenine et staline
Que ce soit les uns ou les autres, les massacreurs sont à honnir
Vrai ou pas?
Faut lire ce qui est écrit, il s'agissait de procès truqués.
Et les goulags Français, les bagnes, ils avaient des procès équitables ???
Je pourrais aussi parler des "goulags" nazis, des camps d'internement, des camps d'extermination, tu sais que cela a existé, est-ce qu'ils avaient des procès équitables ces pauvres gens condamnés à mort par l'idéologie de ces gens là, que tu ne condamnes jamais.
Re: GOULAG
Faudrait te calmer un peu quand même Je condamne TOUS les massacreurs, y compris donc les nazis, c'est clair comme ça ?Kristobal a écrit:melu a écrit:Oui mais..il me semble , d'une que avant d'être envoyés au goulag, eux avaient droit à un procès , ce qui sous Lénine, puis Staline n'était pas courant ; de deux , cherche donc pour voir, le nombre de déportés sous le règne du tsar et compare avec ceux de lenine et staline
Que ce soit les uns ou les autres, les massacreurs sont à honnir
Vrai ou pas?
Faut lire ce qui est écrit, il s'agissait de procès truqués.
Et les goulags Français, les bagnes, ils avaient des procès équitables ???
Je pourrais aussi parler des "goulags" nazis, des camps d'internement, des camps d'extermination, tu sais que cela a existé, est-ce qu'ils avaient des procès équitables ces pauvres gens condamnés à mort par l'idéologie de ces gens là, que tu ne condamnes jamais.
Re: GOULAG
melu a écrit:Faudrait te calmer un peu quand même Je condamne TOUS les massacreurs, y compris donc les nazis, c'est clair comme ça ?Kristobal a écrit:melu a écrit:Oui mais..il me semble , d'une que avant d'être envoyés au goulag, eux avaient droit à un procès , ce qui sous Lénine, puis Staline n'était pas courant ; de deux , cherche donc pour voir, le nombre de déportés sous le règne du tsar et compare avec ceux de lenine et staline
Que ce soit les uns ou les autres, les massacreurs sont à honnir
Vrai ou pas?
Faut lire ce qui est écrit, il s'agissait de procès truqués.
Et les goulags Français, les bagnes, ils avaient des procès équitables ???
Je pourrais aussi parler des "goulags" nazis, des camps d'internement, des camps d'extermination, tu sais que cela a existé, est-ce qu'ils avaient des procès équitables ces pauvres gens condamnés à mort par l'idéologie de ces gens là, que tu ne condamnes jamais.
Donc aussi les goulags du tsar Nicolas Ier, qui envoyait les prisonnier suite à un simulacre de procès, les bagnes Français qui pratiquaient de la même façon, sans oublier les internements arbitraires dans les prisons franquistes, de celles du Portugal, du Chili, de l'Afrique du sud, et j'en oublie, ................ là je ne t'ai pas entendu,?
Re: GOULAG
En décembre 1973, la version russe de L'Archipel du Goulag paraît aux éditions Ymca-Press à Paris, car le manuscrit avait pu être clandestinement sorti d'URSS et remis à l'imprimerie Béresniak, rue du Faubourg-du-Temple à Paris[réf. souhaitée], qui appartient à la famille maternelle de René Goscinny, une des rares imprimeries françaises à disposer des caractères typographiques cyrilliques. Il y décrit le système concentrationnaire soviétique du Goulag, qu'il a vécu de l'intérieur, et la nature totalitaire du régime. L'ouvrage a été écrit entre 1958 et 1967 sur de minuscules feuilles de papier enterrées une à une dans des jardins amis, une copie étant envoyée en Occident, par amis interposés (qui risquent gros) pour échapper à la censure. Il décide sa publication après qu'une de ses aides, Élisabeth Voronianskaïa, soit retrouvée pendue le 23 août 1973 : après cinq jours d'interrogatoire, elle a avoué au KGB la cachette où se trouvait un exemplaire de l’œuvre[29]. L'ouvrage est, comme d'autres avant lui, un témoignage, mais contrairement à ceux qui l'ont précédé, il est extrêmement précis, sourcé, et cite de nombreuses lois et décrets soviétiques servant à la mise en œuvre de la politique carcérale, de sorte qu'il est beaucoup plus difficile aux « négationnistes du Goulag » de nier la véracité des faits décrits. En France, la publication de l'ouvrage est accompagnée par une intense campagne de calomnies organisée par le Parti communiste français et son relais L'Humanité ainsi que des journaux comme Témoignage chrétien qui s'efforcent de présenter le dissident comme ayant des « sympathies pro-nazies » et de neutraliser la portée de l'ouvrage[30].
Re: GOULAG
Il aurait mieux valu ne pas mêler Soljenitsyne si tu voulais parler du tsar , hein Kristo?
Re: GOULAG
melu a écrit:Il aurait mieux valu ne pas mêler Soljenitsyne si tu voulais parler du tsar , hein Kristo?
Sources ?
Re: GOULAG
Kristobal a écrit:melu a écrit:Faudrait te calmer un peu quand même Je condamne TOUS les massacreurs, y compris donc les nazis, c'est clair comme ça ?Kristobal a écrit:
Faut lire ce qui est écrit, il s'agissait de procès truqués.
Et les goulags Français, les bagnes, ils avaient des procès équitables ???
Je pourrais aussi parler des "goulags" nazis, des camps d'internement, des camps d'extermination, tu sais que cela a existé, est-ce qu'ils avaient des procès équitables ces pauvres gens condamnés à mort par l'idéologie de ces gens là, que tu ne condamnes jamais.
Donc aussi les goulags du tsar Nicolas Ier, qui envoyait les prisonnier suite à un simulacre de procès, les bagnes Français qui pratiquaient de la même façon, sans oublier les internements arbitraires dans les prisons franquistes, de celles du Portugal, du Chili, de l'Afrique du sud, et j'en oublie, ................ là je ne t'ai pas entendu,?
Une réponse peut-être ?
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