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La CHINE
Re: La CHINE
Mig a écrit:Oui je sais ..j'ai lu ..la différence c'est sur les mots "impôts"melu a écrit:Non, les pays africains ne «versent pas un impôt colonial à la France»
https://www.liberation.fr/desintox/2017/02/22/non-les-pays-africains-ne-versent-pas-un-impot-colonial-a-la-france_1550206
Tarata, ce n'est qu'un dépôt qui ne nous sert pas à nous
Re: La CHINE
Surtout, il ne s’agit pas d’un impôt versé par les pays africains à la France, mais d’un dépôt. Ainsi, comme l’expliquait au Monde l’économiste Kako Nubukpo, ancien ministre togolais de la Prospective, par ailleurs très critique du modèle du franc CFA, «rien n’empêche les pays concernés d’en faire usage pour accompagner leur croissance».
Re: La CHINE
Bon on va copier un peu plusmelu a écrit:Mig a écrit:Oui je sais ..j'ai lu ..la différence c'est sur les mots "impôts"melu a écrit:Non, les pays africains ne «versent pas un impôt colonial à la France»
https://www.liberation.fr/desintox/2017/02/22/non-les-pays-africains-ne-versent-pas-un-impot-colonial-a-la-france_1550206
Tarata, ce n'est qu'un dépôt qui ne nous sert pas à nous
2 . Confiscation automatique des réserves nationales
Les pays africains doivent déposer leurs réserves monétaires nationales en France à la banque centrale.
La France a tenu des réserves nationales de quatorze pays africains depuis 1961 : Bénin, Burkina Faso, Guinée- Bissau, Côte-d’Ivoire, Mali, Niger, Sénégal, Togo, Cameroun, République centrafricaine, Tchad, Congo -Brazzaville, la Guinée équatoriale et le Gabon.
La politique monétaire régissant un tel regroupement diversifié de pays est simple car il est, géré par le Trésor français , sans en référer aux autorités fiscales centrales comme l’UEMOA ou de la CEMAC. Selon les termes de l’accord qui a été mis en place par la banque centrale du CFA, chaque Banque centrale de chaque pays africain est obligée de garder au moins 65 % de ses réserves de change dans un « compte d’opérations » tenu au Trésor français, ainsi qu’un autre 20 % pour couvrir les passifs financiers.
Les banques centrales CFA imposent aussi un plafond sur le crédit accordé à chaque pays membre à l’équivalent de 20 % des recettes publiques de ce pays sur l’année précédente. Même si la BEAC et la BCEAO ont une facilité de découvert auprès du Trésor français, les traites sur les facilités de découvert sont sous réserve du consentement du Trésor français. Le dernier mot est celui de la Trésorerie française qui a investi les réserves étrangères des pays africains en son propre nom à la Bourse de Paris.
En bref , plus de 80% des réserves de change de ces pays africains sont déposées dans les « comptes d’opérations » contrôlés par le Trésor français . Les deux banques CFA sont africaines de nom, mais n’ont pas de politiques monétaires propres. Les pays eux-mêmes ne savent pas, ne sont pas informés, à hauteur de combien la réserve de change détenues par le Trésor français leur appartient en tant que groupe ou individuellement.
Les gains de l’investissement de ces fonds du Trésor français sont censés être ajouté à la réserve de change, mais il n’y a pas de comptabilité transmise aux banques ou aux pays, ni les détails de ces modifications. « Seul un groupe restreint de hauts fonctionnaires du Trésor français connaissent les montants figurant dans les « comptes d’opérations » où ces fonds sont investis ; si il y a un bénéfice sur ces investissements ; ils ont interdiction de divulguer ces informations aux banques CFA ou aux banques centrales des états africains. » écrit le Dr Gary K. Busch
Il est estimé que la France gère près de 500 milliards d’argent africain dans sa trésorerie, et ne fait rien pour mettre un peu de lumière sur ce côté sombre de l’ancien empire.
La finalité reste : Les pays africains n’ont pas accès à cet argent.
La France leur permet d’accéder à seulement 15 % de leur argent par an. S’ils ont besoin de plus, les pays africains doivent emprunter, à des taux commerciaux, sur les 65% de leur argents détenu au Trésor français.
Pour rendre les choses plus tragiques , la France impose un plafond sur le montant de l’argent que les pays peuvent emprunter à la réserve . Le plafond est fixé à 20 % de leurs recettes publiques de l’année précédente. Si les pays ont besoin d’emprunter plus de 20% de leur propre argent, la France a un droit de veto.
L’ancien président français Jacques Chirac a récemment parlé de l’argent des pays africains dans les banques en France. Voici une vidéo qui parle du système d’exploitation français. Voici une courte transcription de l’extrait : « Nous devons être honnêtes et reconnaître qu’une grande partie de l’argent dans nos banques viennent précisément de l’exploitation du continent africain ».
3 . Droit de priorité sur toute ressource brute ou naturel découvert dans le pays
La France a la priorité en matière d’achats de toutes les ressources naturelles de la terre de ses ex- colonies. C’est seulement un refus de celle-ci que les pays africains sont autorisés à chercher d’autres partenaires.
4 . Priorité aux intérêts et aux entreprises françaises dans les marchés publics et constructions publiques
Dans l’attribution des marchés publics , les entreprises françaises doivent être considérées en premier lieu, et seulement après les marché étrangers sont considérés. Le fait que les pays africains pourraient obtenir une meilleure offres financière ailleurs n’est pas prit en compte.
En conséquence, dans la plupart des ex- colonies françaises, toutes les plus grosses compagnies et acteurs économiques sont dans la main des expatriés français. En Côte d’Ivoire, par exemple, les entreprises françaises possèdent et contrôlent tous les grands services publics – eau, électricité, téléphone, transports, ports et les grandes banques. Idem dans le commerce, la construction et l’agriculture.
En fin de compte, comme je l’ai écrit dans un précédent article, les Africains vivent maintenant sur un continent possédé par les Européens !
5 . Droit exclusif de fournir des équipements militaires et de former les officiers militaires des pays
Grâce à un système sophistiqué de bourses, de subventions, et les « accords de défense » attachés au pacte colonial, les africains doivent envoyer leurs officiers supérieurs de formation en France ou dans des infrastructures militaires françaises.
La situation sur le continent est telle que la France a formé et nourris des centaines, voire des milliers de traîtres. Ils sont en sommeil tant qu’ils ne sont pas nécessaires, et activés en cas de besoin pour un coup d’état ou à d’autres fins !
6 . Droit pour la France de pré-déployer des troupes et intervenir militairement dans le pays pour défendre ses intérêts
Sous la dénomination « Accords de défense » attachés au pacte colonial. La France a le droit d’intervenir militairement dans les pays africains, et aussi de stationner des troupes en permanence dans des bases et installations militaires, entièrement géré par les Français.
Re: La CHINE
Libération
1
Non, les pays africains ne «versent pas un impôt colonial à la France»
DESINTOX
Non, les pays africains ne «versent pas un impôt colonial à la France»
Par Vincent Coquaz — 22 février 2017 à 12:11
Des billets de francs CFA émis par la BCEAO à N'Djamena, au Tchad, en 2016. Photo Issouf Sanogo. AFP
En plein débat sur la colonisation, une vidéo virale l’assure sans détour : les pays africains versent encore aujourd’hui un «impôt colonial» à la France pour les «bienfaits» de la colonisation. Une intox basée sur une confusion autour du fonctionnement du franc CFA, par ailleurs très critiqué.
Non, les pays africains ne «versent pas un impôt colonial à la France»
INTOX. «Vous ne le saviez peut-être pas mais aujourd’hui encore beaucoup de pays africains continuent de payer un impôt colonial en France, et ce malgré l’indépendance.» La «révélation choc» vient d’une vidéo où l’on voit le logo de Vox Africa, une chaîne de télévision panafricaine, qui date d'au moins octobre 2016 mais qui a ressurgi à l'occasion du débat lancé par Emmanuel Macron sur la colonisation. On y apprend que certains pays devraient payer une «dette annuelle» à la France, en vertu d’accords signés à l’époque de la décolonisation. Un accord signé par exemple par la Guinée et ce pour que la France «ne détruise pas le pays» en 1958. En tout 14 pays, dont le Bénin, la Côte d’Ivoire, le Cameroun ou le Mali par exemple, seraient ainsi «obligés de mettre 85% de leurs réserves à la Banque de France».
Vidéo intégrée
Nsi Mababu
@NsiMababu
14 pays africains contraints par la France à payer l'impôt colonial pour les « avantages » de l'esclavage et de la colonisation
379
18:58 - 5 janv. 2017
1 060 personnes parlent à ce sujet
Informations sur les Publicités Twitter et confidentialité
Des «révélations» présentes sous des formes diverses et variées sur une multitude de sites, de blogs, ou de comptes Twitter et Youtube.
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inRead invented by Teads
DESINTOX. Toutes ces vidéos et tous ces articles ont un point commun : ils citent, quasiment mot pour mot, un seul et même long article rédigé en anglais, publié sur le site «Silicon Africa» en janvier 2014. L’auteur y décrit un système «diabolique» dont la France ne voudrait pas sortir puisqu’il lui apporte «autour de 500 milliards de dollars pour son Trésor chaque année, depuis l'Afrique». Mais, il le reconnaît lui-même, l'auteur n'a pas encore tous «les détails des montants, de l'évaluation et des moyens de paiement» de cet impôt colonial. Un peu plus loin, dans le même article, ce n'est d'ailleurs plus «500 milliards de dollars chaque année» mais un stock de «500 milliards de monnaies de pays africains» (sic) que la France détiendrait.
Problème : en plus de ces (grosses) approximations, l’article, comme la vidéo, opèrent une confusion entre ce prétendu «impôt colonial» et une des règles du fonctionnement du franc CFA. Celui-ci prévoit effectivement que les deux banques centrales qui le gèrent, la BEAC (Banque des Etats de l’Afrique centrale) et la BCEAO (Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest), déposent 50% (et non 85%) de leur réserve de change auprès du Trésor français.
Ainsi, ces deux banques centrales «disposaient en 2005 de plus de 3 600 milliards de francs CFA auprès du Trésor français», expliquait le Monde en 2015. Soit un stock d’environ 72 milliards d’euros, et absolument pas un flux de «500 milliards de dollars» apportés au Trésor français «chaque année» comme le prétendait le site Silicon Africa.
Surtout, il ne s’agit pas d’un impôt versé par les pays africains à la France, mais d’un dépôt. Ainsi, comme l’expliquait au Monde l’économiste Kako Nubukpo, ancien ministre togolais de la Prospective, par ailleurs très critique du modèle du franc CFA, «rien n’empêche les pays concernés d’en faire usage pour accompagner leur croissance».
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Non, les pays africains ne «versent pas un impôt colonial à la France»
DESINTOX
Non, les pays africains ne «versent pas un impôt colonial à la France»
Par Vincent Coquaz — 22 février 2017 à 12:11
Des billets de francs CFA émis par la BCEAO à N'Djamena, au Tchad, en 2016. Photo Issouf Sanogo. AFP
En plein débat sur la colonisation, une vidéo virale l’assure sans détour : les pays africains versent encore aujourd’hui un «impôt colonial» à la France pour les «bienfaits» de la colonisation. Une intox basée sur une confusion autour du fonctionnement du franc CFA, par ailleurs très critiqué.
Non, les pays africains ne «versent pas un impôt colonial à la France»
INTOX. «Vous ne le saviez peut-être pas mais aujourd’hui encore beaucoup de pays africains continuent de payer un impôt colonial en France, et ce malgré l’indépendance.» La «révélation choc» vient d’une vidéo où l’on voit le logo de Vox Africa, une chaîne de télévision panafricaine, qui date d'au moins octobre 2016 mais qui a ressurgi à l'occasion du débat lancé par Emmanuel Macron sur la colonisation. On y apprend que certains pays devraient payer une «dette annuelle» à la France, en vertu d’accords signés à l’époque de la décolonisation. Un accord signé par exemple par la Guinée et ce pour que la France «ne détruise pas le pays» en 1958. En tout 14 pays, dont le Bénin, la Côte d’Ivoire, le Cameroun ou le Mali par exemple, seraient ainsi «obligés de mettre 85% de leurs réserves à la Banque de France».
Vidéo intégrée
Nsi Mababu
@NsiMababu
14 pays africains contraints par la France à payer l'impôt colonial pour les « avantages » de l'esclavage et de la colonisation
379
18:58 - 5 janv. 2017
1 060 personnes parlent à ce sujet
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Des «révélations» présentes sous des formes diverses et variées sur une multitude de sites, de blogs, ou de comptes Twitter et Youtube.
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DESINTOX. Toutes ces vidéos et tous ces articles ont un point commun : ils citent, quasiment mot pour mot, un seul et même long article rédigé en anglais, publié sur le site «Silicon Africa» en janvier 2014. L’auteur y décrit un système «diabolique» dont la France ne voudrait pas sortir puisqu’il lui apporte «autour de 500 milliards de dollars pour son Trésor chaque année, depuis l'Afrique». Mais, il le reconnaît lui-même, l'auteur n'a pas encore tous «les détails des montants, de l'évaluation et des moyens de paiement» de cet impôt colonial. Un peu plus loin, dans le même article, ce n'est d'ailleurs plus «500 milliards de dollars chaque année» mais un stock de «500 milliards de monnaies de pays africains» (sic) que la France détiendrait.
Problème : en plus de ces (grosses) approximations, l’article, comme la vidéo, opèrent une confusion entre ce prétendu «impôt colonial» et une des règles du fonctionnement du franc CFA. Celui-ci prévoit effectivement que les deux banques centrales qui le gèrent, la BEAC (Banque des Etats de l’Afrique centrale) et la BCEAO (Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest), déposent 50% (et non 85%) de leur réserve de change auprès du Trésor français.
Ainsi, ces deux banques centrales «disposaient en 2005 de plus de 3 600 milliards de francs CFA auprès du Trésor français», expliquait le Monde en 2015. Soit un stock d’environ 72 milliards d’euros, et absolument pas un flux de «500 milliards de dollars» apportés au Trésor français «chaque année» comme le prétendait le site Silicon Africa.
Surtout, il ne s’agit pas d’un impôt versé par les pays africains à la France, mais d’un dépôt. Ainsi, comme l’expliquait au Monde l’économiste Kako Nubukpo, ancien ministre togolais de la Prospective, par ailleurs très critique du modèle du franc CFA, «rien n’empêche les pays concernés d’en faire usage pour accompagner leur croissance».
Re: La CHINE
Mig a écrit:Déjà collée ..voir sur le post de Lisamelu a écrit:Source?
Lis ce que j'ai mis au- dessus et reconnais que tu t'es fait avoir epicetou
Re: La CHINE
Pas du tout ..la différence c'est sur les mots ..c'est toutmelu a écrit:Mig a écrit:Déjà collée ..voir sur le post de Lisamelu a écrit:Source?
Lis ce que j'ai mis au- dessus et reconnais que tu t'es fait avoir epicetou
Et ça c'est à voir ..
Monde l’économiste Kako Nubukpo, ancien ministre togolais de la Prospective, par ailleurs très critique du modèle du franc CFA, «rien n’empêche les pays concernés d’en faire usage pour accompagner leur croissance».
La France leur permet d’accéder à seulement 15 % de leur argent par an. S’ils ont besoin de plus, les pays africains doivent emprunter, à des taux commerciaux, sur les 65% de leur argents détenu au Trésor français.
Pourquoi doivent ils emprunter..alors qu'ils ont des milliards dans le Trésor français
Re: La CHINE
Mig a écrit:Pas du tout ..la différence c'est sur les mots ..c'est toutmelu a écrit:Mig a écrit:
Déjà collée ..voir sur le post de Lisa
Lis ce que j'ai mis au- dessus et reconnais que tu t'es fait avoir epicetou
Et ça c'est à voir ..
Monde l’économiste Kako Nubukpo, ancien ministre togolais de la Prospective, par ailleurs très critique du modèle du franc CFA, «rien n’empêche les pays concernés d’en faire usage pour accompagner leur croissance».
La France leur permet d’accéder à seulement 15 % de leur argent par an. S’ils ont besoin de plus, les pays africains doivent emprunter, à des taux commerciaux, sur les 65% de leur argents détenu au Trésor français.
Pourquoi doivent ils emprunter..alors qu'ils ont des milliards dans le Trésor français
Pas dans l'article que j'ai mis, pas beau de le faire croire
Re: La CHINE
Oui ce que tu as collé ..c'est «rien n’empêche les pays concernés d’en faire usage pour accompagner leur croissance». ..et ça c'est à voir ..car ce que j'ai collé moi : La France leur permet d’accéder à seulement 15 % de leur argent par an. S’ils ont besoin de plus, les pays africains doivent emprunter, à des taux commerciaux, sur les 65% de leur argents détenu au Trésor français.melu a écrit:Mig a écrit:Pas du tout ..la différence c'est sur les mots ..c'est toutmelu a écrit:Mig a écrit:
Déjà collée ..voir sur le post de Lisa
Lis ce que j'ai mis au- dessus et reconnais que tu t'es fait avoir epicetou
Et ça c'est à voir ..
Monde l’économiste Kako Nubukpo, ancien ministre togolais de la Prospective, par ailleurs très critique du modèle du franc CFA, «rien n’empêche les pays concernés d’en faire usage pour accompagner leur croissance».
La France leur permet d’accéder à seulement 15 % de leur argent par an. S’ils ont besoin de plus, les pays africains doivent emprunter, à des taux commerciaux, sur les 65% de leur argents détenu au Trésor français.
Pourquoi doivent ils emprunter..alors qu'ils ont des milliards dans le Trésor français
Pas dans l'article que j'ai mis, pas beau de le faire croire
Alors où est la vérité ?
Re: La CHINE
Mig a écrit:Je t'agresse ? ...non je ta fais juste remarquer ..que par exemple tu applaudis Bolloré ..qui exploite les Africains, des enfants ..et que tu critiques la ChineLisa a écrit:Mig a écrit:
Je n'ai aucun "amour" pour la Chine je ne sais pas pourquoi tu dis ça ?
Je dis ça parce qu'à chaque fois que je parle de la Chine et de la Russie, la bande de cocos que vous êtes ne cesse de m'agresser.
On ne peut pas avoir une discussion, sans qu'on nous reproche d'être issu(e)s de ce passé. Bientôt on va nous reprocher d'être Français...
Bon maintenant trouve moi combien de dettes (et si possible des montants) aux Etats d'Afrique francophone la France a annulé...
..pour ce que tu affirmes des dettes ..puisque c'est toi qui le dit ..à toi de dire ..de coller un article sur ça
Qui dit que Bolloré exploite les Africains ? des enfants ? Mélanchon, l'Huma ? Dans ce cas il n'y a pas que Bolloré qui exploite, c'est aussi tous ceux qui embauchent des travailleurs en Afrique...
Donner du travail aux gens, leur apprendre un métier, c'est les exploiter ? Tu préfères le tourisme sexuel ? Ou les petits enfants mulsulmans qu'on enlève à leurs parents et à qui on casse les jambes pour qu'ils puissent mieux mendier ?
C'est comme pour le Venezuela, ceux qui écrivent ce genre de choses ne savent pas de quoi ils parlent.