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Les brèves étrangères et l'image du jour
Re: Les brèves étrangères et l'image du jour
Ben à l'époque y en a qui applaudissaient Hitler aujourd'hui y en a qui applaudissent BolsonaroAlpha a écrit:Si seulement à l'époque, certains avaient réussi à tenir ce discours au sujet d'hitler, la face du monde en aurait été changée.
Re: Les brèves étrangères et l'image du jour
Et nous pouvons constater qu'encore aujourd'hui, c'est toujours Hitler plutôt que le front populaire!!!
Dans ce monde, ils préfèrent toujours les dictateurs d'extrême droite qui massacrent leurs peuples (Pinochet, franco, Hitler, Mussolini, Salazar, les généraux grecques, les colonels argentins, etc.) aux dirigeants de gauche qui tentent de sortir leurs peuples de la misère et à qui grand nombre de bâtons sont mis dans les roues.
Dans ce monde, ils préfèrent toujours les dictateurs d'extrême droite qui massacrent leurs peuples (Pinochet, franco, Hitler, Mussolini, Salazar, les généraux grecques, les colonels argentins, etc.) aux dirigeants de gauche qui tentent de sortir leurs peuples de la misère et à qui grand nombre de bâtons sont mis dans les roues.
Re: Les brèves étrangères et l'image du jour
La police russe a arrêté 1.373 personnes qui manifestaient hier à Moscou pour des élections libres, selon un bilan livré aujourd'hui par l'ONG OVD-Info, spécialisée dans le suivi des manifestations #AFP
Re: Les brèves étrangères et l'image du jour
Mig a écrit:Pas trop d'éborgnés ou mutilés ?
Pour le moment, RAS...
Re: Les brèves étrangères et l'image du jour
RDC : à Goma, ville située à la frontière du Rwanda, les équipes de la riposte contre l'épidémie d'Ebola se mobilisent après la mort de leur 1e cas, dans une région densément peuplée où de nombreux pasteurs pratiquent l'imposition des mains en vue de la guérison des malades #AFP
Re: Les brèves étrangères et l'image du jour
Pourquoi ne pas créer un tribunal international afin de punir cette furie destructive ?
Au Brésil l’assassinat d’un chef Wajãpi, « symptôme inquiétant » de l'invasion des terres autochtones (ONU)
Selon des témoignages d’autochtones rapportés par les médias, des dizaines d'orpailleurs seraient entrés dans la réserve protégée de la communauté Wajãpi et auraient ensuite torturé et tué leur cacique.
« L'assassinat d'Emrya Wajãpi, chef du peuple autochtone Wajãpi, est tragique et répréhensible en soi », s’est indignée Mme Bachelet dans une déclaration à la presse rendue publique lundi par le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (HCDH).
Pour la Haut-Commissaire, l’assassinat du cacique Wajãpi est « un symptôme inquiétant du problème croissant de l'invasion des terres autochtones - en particulier les forêts - par les mineurs, les bûcherons et les agriculteurs du Brésil ».
Selon la cheffe des droits de l’homme de l’ONU, la politique proposée par le gouvernement brésilien pour ouvrir davantage de zones de l’Amazonie à l’exploitation minière pourrait entraîner des incidents de violence, d’intimidation et des meurtres similaires à ceux infligés au peuple Wajãpi la semaine dernière.
« Il est essentiel que les autorités réagissent rapidement et efficacement pour enquêter sur cet incident et traduire en justice tous les responsables présumés, en pleine conformité avec la loi », a souligné Mme Bachelet, qui estime, par ailleurs, que des mesures efficaces devraient être prises pour sauver la vie et l'intégrité physique des Wajãpi, notamment par la protection de leur territoire par les autorités.
La protection des peuples autochtones et de la terre sur laquelle ils vivent demeure une question importante pas seulement au Brésil mais dans le monde entier, souligne l’ONU.
« Bien que des progrès aient été réalisés ces dernières années, nous avons également constaté une faible application des lois et des politiques existantes et, dans certains cas, le démantèlement des cadres institutionnels environnementaux et autochtones existants, comme cela semble maintenant être le cas au Brésil », a déploré la Haut-Commissaire.
La cheffe des droits de l’homme de l’ONU a exhorté Brasilia à prendre des mesures décisives pour mettre un terme à l'invasion des territoires autochtones et garantir l'exercice pacifique des peuples autochtones de leurs droits collectifs sur leurs terres. « Lorsque les peuples autochtones sont expulsés de leurs terres, il ne s'agit pas uniquement d'un problème économique. Comme l'indique clairement la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones, cela concerne tout leur mode de vie », a alerté Mme Bachelet.
La Haut-Commissaire a appelé le gouvernement brésilien à revoir sa politique à l'égard des peuples autochtones et de leurs terres « afin que le meurtre d'Emrya Wajãpi n'annonce pas une nouvelle vague de violence visant à effrayer les populations de leurs terres ancestrales et à permettre la destruction de la forêt tropicale ».
La haute responsable onusienne n’a pas manqué de rappeler que les conséquences scientifiquement prouvées de la destruction de l’Amazonie sur l’exacerbation du changement climatique.
https://news.un.org/fr/story/2019/07/1048571
Au Brésil l’assassinat d’un chef Wajãpi, « symptôme inquiétant » de l'invasion des terres autochtones (ONU)
Après l'assassinat du chef autochtone, Emrya Wajãpi, au Brésil, la Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme, Michelle Bachelet, a exhorté Brasilia « à prendre des mesures décisives » pour protéger les droits des peuples autochtones sur leurs terres.
Le cacique Emrya Wajãpi a été tué le 23 juillet à Amapá, un Etat de l’extrême nord du pays, frontalier de la Guyane française.
Le cacique Emrya Wajãpi a été tué le 23 juillet à Amapá, un Etat de l’extrême nord du pays, frontalier de la Guyane française.
Selon des témoignages d’autochtones rapportés par les médias, des dizaines d'orpailleurs seraient entrés dans la réserve protégée de la communauté Wajãpi et auraient ensuite torturé et tué leur cacique.
« L'assassinat d'Emrya Wajãpi, chef du peuple autochtone Wajãpi, est tragique et répréhensible en soi », s’est indignée Mme Bachelet dans une déclaration à la presse rendue publique lundi par le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (HCDH).
Pour la Haut-Commissaire, l’assassinat du cacique Wajãpi est « un symptôme inquiétant du problème croissant de l'invasion des terres autochtones - en particulier les forêts - par les mineurs, les bûcherons et les agriculteurs du Brésil ».
Selon la cheffe des droits de l’homme de l’ONU, la politique proposée par le gouvernement brésilien pour ouvrir davantage de zones de l’Amazonie à l’exploitation minière pourrait entraîner des incidents de violence, d’intimidation et des meurtres similaires à ceux infligés au peuple Wajãpi la semaine dernière.
« Il est essentiel que les autorités réagissent rapidement et efficacement pour enquêter sur cet incident et traduire en justice tous les responsables présumés, en pleine conformité avec la loi », a souligné Mme Bachelet, qui estime, par ailleurs, que des mesures efficaces devraient être prises pour sauver la vie et l'intégrité physique des Wajãpi, notamment par la protection de leur territoire par les autorités.
La protection des peuples et terres autochtones ne concerne pas seulement le Brésil.
La protection des peuples autochtones et de la terre sur laquelle ils vivent demeure une question importante pas seulement au Brésil mais dans le monde entier, souligne l’ONU.
« Bien que des progrès aient été réalisés ces dernières années, nous avons également constaté une faible application des lois et des politiques existantes et, dans certains cas, le démantèlement des cadres institutionnels environnementaux et autochtones existants, comme cela semble maintenant être le cas au Brésil », a déploré la Haut-Commissaire.
La cheffe des droits de l’homme de l’ONU a exhorté Brasilia à prendre des mesures décisives pour mettre un terme à l'invasion des territoires autochtones et garantir l'exercice pacifique des peuples autochtones de leurs droits collectifs sur leurs terres. « Lorsque les peuples autochtones sont expulsés de leurs terres, il ne s'agit pas uniquement d'un problème économique. Comme l'indique clairement la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones, cela concerne tout leur mode de vie », a alerté Mme Bachelet.
La Haut-Commissaire a appelé le gouvernement brésilien à revoir sa politique à l'égard des peuples autochtones et de leurs terres « afin que le meurtre d'Emrya Wajãpi n'annonce pas une nouvelle vague de violence visant à effrayer les populations de leurs terres ancestrales et à permettre la destruction de la forêt tropicale ».
La haute responsable onusienne n’a pas manqué de rappeler que les conséquences scientifiquement prouvées de la destruction de l’Amazonie sur l’exacerbation du changement climatique.
https://news.un.org/fr/story/2019/07/1048571