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Macron vs Van Damme
Re: Macron vs Van Damme
Et hop Madelin ..moi je n'attend qu'une chose ..que sarko rejoigne Macron ( ce qui est possible si ça ne se passe pas bien avec Fillon) ..alors là ça sera le bouquet ...on sera mort de rire ..et le pauvre fêlé qui trouvera des qualités au nain ..il sera pas obligé d'éditer tous ses posts dans le forum+ heureusement ouf...sans parler des deux ou trois autres du forum+
Re: Macron vs Van Damme
Les socialistes et En Marche : un dégoût de celui d'où naît la résistance
Par Léa Veinstein, philosophe et documentariste — 8 mars 2017 à 18:54
L'ex-maire de Paris, Bertrand Delanoë. Photo Stéphane De Sakutin. AFP
Bertrand Delanoë ce mercredi matin sur France Inter, alors qu’un auditeur lui exprime sa déception après l’annonce de son ralliement à Emmanuel Macron : «Je comprends qu’il puisse y avoir un malaise.» Non monsieur, ce n’est pas un malaise. C’est du dégoût.
À la vue de ces «socialistes», à qui l’on a fait confiance tant de fois, fuyant lâchement vers celui qui leur promet une victoire possible, quoique très hypothétique, j’éprouve le même dégoût que face à François Fillon dimanche haranguant la foule de la manif pour tous sous la pluie du Trocadéro.
Lâcheté d’un côté, obstination de l’autre, partout le même aveuglement, partout le sentiment d’assister à une tragédie trop vite écrite.
En entendant Bertrand Delanoë ce matin, j’ai pensé : Marine Le Pen a déjà gagné. Cessons d’en faire une menace comme les adolescents se font peur en regardant des films d’horreur. Ça n’est plus une menace, c’est le réel qui est le nôtre, chaque jour un peu plus.
Elle a gagné car le discours qu’elle porte a contaminé l’ensemble de la vie politique française. Elle a gagné car le seul candidat dont on nous assure aujourd’hui qu’il pourrait la battre nous explique que la gauche et la droite ne valent plus rien, qu’il faut «enjamber» les partis.
Lorsque les socialistes quittent le PS pour rejoindre En Marche, ils soutiennent un projet de droite (qui ne dit pas tout à fait son nom), au prétexte qu’il est le seul à pouvoir vaincre le FN. Ce n’est pas seulement le libéralisme qui triomphe, c’est Marine Le Pen elle-même, qui est donc à l’origine de tout ce qui se passe dans cette campagne.
Si l’on prend dès aujourd’hui conscience de ce triomphe, il n’y a qu’une chose à faire: résister. Personne n’a jamais résisté en fuyant, en faisant preuve de lâcheté, en décidant de suivre celui qui peut gagner pour la seule raison qu’il puisse gagner. On ne peut résister qu’en acceptant d’être en minorité, qu’en renforçant ses convictions les plus profondes qu’en forçant le trait, au lieu de le gommer.
Messieurs les socialistes, vous qui rejoignez Emmanuel Macron et vous qui allez le rejoindre, vous gommez toutes les convictions de gauche que votre parti, que notre pays, ont mis des siècles à fonder, vous reniez la justice sociale, le sens de la loyauté. Vous bradez la fidélité sur l’autel de la majorité. Si les temps n’étaient pas si graves, je dirais que c’est un crime électoral : vous salissez nos votes. Pourtant, je voterai PS en avril, je soutiendrai celui qui a encore le courage de se dire socialiste, et qui ne compte pas seulement sur notre peur de Le Pen pour être élu. Au premier tour en tout cas, je refuse de voter en tremblant pour le candidat en tête des sondages.
Non Monsieur Delanoë, ce n’est pas un malaise, c’est du dégoût de celui d’où naît parfois la résistance.
Léa Veinstein philosophe et documentariste
Par Léa Veinstein, philosophe et documentariste — 8 mars 2017 à 18:54
L'ex-maire de Paris, Bertrand Delanoë. Photo Stéphane De Sakutin. AFP
Lorsque les socialistes quittent le PS pour rallier la candidature de Macron, ils soutiennent un projet de droite, au prétexte qu'il est le seul à pouvoir vaincre le FN. Ce n’est pas seulement le libéralisme qui triomphe, c’est Marine Le Pen elle-même.
Bertrand Delanoë ce mercredi matin sur France Inter, alors qu’un auditeur lui exprime sa déception après l’annonce de son ralliement à Emmanuel Macron : «Je comprends qu’il puisse y avoir un malaise.» Non monsieur, ce n’est pas un malaise. C’est du dégoût.
À la vue de ces «socialistes», à qui l’on a fait confiance tant de fois, fuyant lâchement vers celui qui leur promet une victoire possible, quoique très hypothétique, j’éprouve le même dégoût que face à François Fillon dimanche haranguant la foule de la manif pour tous sous la pluie du Trocadéro.
Lâcheté d’un côté, obstination de l’autre, partout le même aveuglement, partout le sentiment d’assister à une tragédie trop vite écrite.
En entendant Bertrand Delanoë ce matin, j’ai pensé : Marine Le Pen a déjà gagné. Cessons d’en faire une menace comme les adolescents se font peur en regardant des films d’horreur. Ça n’est plus une menace, c’est le réel qui est le nôtre, chaque jour un peu plus.
Elle a gagné car le discours qu’elle porte a contaminé l’ensemble de la vie politique française. Elle a gagné car le seul candidat dont on nous assure aujourd’hui qu’il pourrait la battre nous explique que la gauche et la droite ne valent plus rien, qu’il faut «enjamber» les partis.
Lorsque les socialistes quittent le PS pour rejoindre En Marche, ils soutiennent un projet de droite (qui ne dit pas tout à fait son nom), au prétexte qu’il est le seul à pouvoir vaincre le FN. Ce n’est pas seulement le libéralisme qui triomphe, c’est Marine Le Pen elle-même, qui est donc à l’origine de tout ce qui se passe dans cette campagne.
Si l’on prend dès aujourd’hui conscience de ce triomphe, il n’y a qu’une chose à faire: résister. Personne n’a jamais résisté en fuyant, en faisant preuve de lâcheté, en décidant de suivre celui qui peut gagner pour la seule raison qu’il puisse gagner. On ne peut résister qu’en acceptant d’être en minorité, qu’en renforçant ses convictions les plus profondes qu’en forçant le trait, au lieu de le gommer.
Messieurs les socialistes, vous qui rejoignez Emmanuel Macron et vous qui allez le rejoindre, vous gommez toutes les convictions de gauche que votre parti, que notre pays, ont mis des siècles à fonder, vous reniez la justice sociale, le sens de la loyauté. Vous bradez la fidélité sur l’autel de la majorité. Si les temps n’étaient pas si graves, je dirais que c’est un crime électoral : vous salissez nos votes. Pourtant, je voterai PS en avril, je soutiendrai celui qui a encore le courage de se dire socialiste, et qui ne compte pas seulement sur notre peur de Le Pen pour être élu. Au premier tour en tout cas, je refuse de voter en tremblant pour le candidat en tête des sondages.
Non Monsieur Delanoë, ce n’est pas un malaise, c’est du dégoût de celui d’où naît parfois la résistance.
Léa Veinstein philosophe et documentariste
Re: Macron vs Van Damme
Je reprends un post de Cricri
L'aile droite du PS s'apprête à rallier Emmanuel Macron
Orange avec AFP, publié le jeudi 09 mars 2017 à 12h00
Les signes se multipliaient ces dernières semaines. C'est désormais fait.
Ou presque : les membres du pôle des réformateurs du Parti socialiste s'apprêtent à rejoindre Emmanuel Macron, révèle jeudi 9 mars Le Figaro, qui publie la tribune qu'ils ont écrite pour annoncer leur choix. Elle doit être officiellement rendue publique vendredi, et marquer encore un peu plus le déchirement du PS.
Agrandir cette image
La tribune s'intitule "Pourquoi nous soutenons Emmanuel Macron", et son principe a été arrêté lors d'une réunion, le 7 mars, de l'aile droite du PS, assure Le Figaro. Le texte, qui circule parmi une quarantaine de députés, a été rédigé par les parlementaires Gilles Savary et Christophe Caresche, qui a déjà rejoint En Marche ! Leurs mots sont durs pour le candidat officiel du PS : "La campagne de Benoît Hamon a confirmé l'intention de rompre avec cette mandature et de fédérer tout ce qu'elle compte d'opposants à la majorité sortante ! Cette stratégie ne permettra pas de définir un programme crédible de gouvernement pour la fin mai. La situation convalescente de la France suppose un autre projet que l'exaltation d'une démarche inspirée par Die Linke en Allemagne, Podemos en Espagne ou Jeremy Corbyn en Grande-Bretagne, qui n'aboutit qu'à maintenir les droites au pouvoir dans ces pays."
Quel con..d'abord si la droite s'est maintenue en Espagne c'est à cause des élus socialistes espagnols qui ont voté pour la droite..ensuite si Macron est élu et bien ça sera la droite au pouvoir ..
Puis là ça dit "L'aile DROITE du PS "
L'aile droite du PS s'apprête à rallier Emmanuel Macron
Orange avec AFP, publié le jeudi 09 mars 2017 à 12h00
Les signes se multipliaient ces dernières semaines. C'est désormais fait.
Ou presque : les membres du pôle des réformateurs du Parti socialiste s'apprêtent à rejoindre Emmanuel Macron, révèle jeudi 9 mars Le Figaro, qui publie la tribune qu'ils ont écrite pour annoncer leur choix. Elle doit être officiellement rendue publique vendredi, et marquer encore un peu plus le déchirement du PS.
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La tribune s'intitule "Pourquoi nous soutenons Emmanuel Macron", et son principe a été arrêté lors d'une réunion, le 7 mars, de l'aile droite du PS, assure Le Figaro. Le texte, qui circule parmi une quarantaine de députés, a été rédigé par les parlementaires Gilles Savary et Christophe Caresche, qui a déjà rejoint En Marche ! Leurs mots sont durs pour le candidat officiel du PS : "La campagne de Benoît Hamon a confirmé l'intention de rompre avec cette mandature et de fédérer tout ce qu'elle compte d'opposants à la majorité sortante ! Cette stratégie ne permettra pas de définir un programme crédible de gouvernement pour la fin mai. La situation convalescente de la France suppose un autre projet que l'exaltation d'une démarche inspirée par Die Linke en Allemagne, Podemos en Espagne ou Jeremy Corbyn en Grande-Bretagne, qui n'aboutit qu'à maintenir les droites au pouvoir dans ces pays."
Quel con..d'abord si la droite s'est maintenue en Espagne c'est à cause des élus socialistes espagnols qui ont voté pour la droite..ensuite si Macron est élu et bien ça sera la droite au pouvoir ..
Puis là ça dit "L'aile DROITE du PS "
Re: Macron vs Van Damme
Les «réformateurs» du PS renoncent à lancer un «appel à voter Macron»
Par Nathalie Raulin — 9 mars 2017 à 18:26
Le ralliement en bon ordre de l’aile droite du PS à Emmanuel Macron n’aura pas lieu. «On ne fera pas d’appel collectif de cette nature» indique le député PS et membre du pôle des «réformateurs» Christophe Caresche. «Ça ne marche pas pour des tas de raisons.»
C’était pourtant bien le sens du mail qu’il a adressé mercredi à 43 de ses homologues du pôle des réformateurs. Publié par le Figaro, le message invite chacun des destinataires à signer en vue de parution ultérieure dans la presse l'«appel à voter Macron», dont le principe avait été discuté la veille, lors de leur réunion hebdomadaire.
À lire aussi La grande famille recomposée des macronistes
L’ennui c’est que cette stratégie ne fait ni l’affaire des partisans de Manuel Valls, ni celle des amis de François Hollande: pour les premiers qui se réunissent mardi prochain comme pour les seconds, il s’agit d’abord de préserver autant que possible l’intégrité d’un parti, dont ils comptent reprendre le contrôle à l’issue de la présidentielle.
D’autant que l’idée n’a pas rencontré l’enthousiasme espéré chez Macron. «Nous ne sommes pas dupes, insiste le secrétaire général d’En Marche Richard Ferrand. Si des personnalités font le choix de soutenir Emmanuel Macron en conscience, on est heureux et honorés. Mais ceux qui imaginent venir en groupe pour survivre ou exister, ça ne nous intéresse pas. Ils n’infléchiront pas notre ligne et n’ont ni coupe-file ni traitement de faveur à espérer.» On fait plus chaleureux comme accueil…
Nathalie Raulin
Et paf dans le cul..ceux là iront aux"restos du coeur" on leur servira pas la soupe chez Macron
Par Nathalie Raulin — 9 mars 2017 à 18:26
Ceux qui avaient évoqué, mardi, l'idée d'annoncer leur soutien officiel au candidat En marche ont renoncé après la publication d'un mail interne dévoilant leur intention.
Le ralliement en bon ordre de l’aile droite du PS à Emmanuel Macron n’aura pas lieu. «On ne fera pas d’appel collectif de cette nature» indique le député PS et membre du pôle des «réformateurs» Christophe Caresche. «Ça ne marche pas pour des tas de raisons.»
C’était pourtant bien le sens du mail qu’il a adressé mercredi à 43 de ses homologues du pôle des réformateurs. Publié par le Figaro, le message invite chacun des destinataires à signer en vue de parution ultérieure dans la presse l'«appel à voter Macron», dont le principe avait été discuté la veille, lors de leur réunion hebdomadaire.
Crescendo
Depuis l’élection de Benoit Hamon à la primaire de la gauche, telle tentation chez les sociaux-libéraux du PS est de fait allée crescendo. Fin janvier, sous l’impulsion des députés Gilles Savary et Christophe Caresche, plusieurs réformateurs avaient déjà fait valoir un «droit de retrait» de la campagne de l’ancien chef de file des frondeurs, dont les orientations prenaient selon eux le contre-pied total de la politique qu’ils ont consciencieusement défendu durant le quinquennat Hollande. La parution d’une tribune claire en faveur de Macron aurait fini d’acter leur prise de distance avec l’appareil.À lire aussi La grande famille recomposée des macronistes
L’ennui c’est que cette stratégie ne fait ni l’affaire des partisans de Manuel Valls, ni celle des amis de François Hollande: pour les premiers qui se réunissent mardi prochain comme pour les seconds, il s’agit d’abord de préserver autant que possible l’intégrité d’un parti, dont ils comptent reprendre le contrôle à l’issue de la présidentielle.
Pas d'enthousiame
Il était donc urgent de tuer dans l’œuf l’initiative de Caresche. La fuite du mail dans le Figaro y a pourvu. Averti, Gilles Savary s’est par communiqué aussitôt désolidarisé de l’opération. «C’est normal. On en était au stade des discussions internes» précise Caresche, qui, comme une dizaine d’autres réformateurs socialistes, a déjà annoncé son soutien à Macron à titre individuel. «Rien n’était arrêté. Ni le texte de la tribune, ni le nombre de signataires et pas même le support pour la rendre publique. Il y avait encore beaucoup d’hésitations. Avec la fuite, ça n’a plus de sens».D’autant que l’idée n’a pas rencontré l’enthousiasme espéré chez Macron. «Nous ne sommes pas dupes, insiste le secrétaire général d’En Marche Richard Ferrand. Si des personnalités font le choix de soutenir Emmanuel Macron en conscience, on est heureux et honorés. Mais ceux qui imaginent venir en groupe pour survivre ou exister, ça ne nous intéresse pas. Ils n’infléchiront pas notre ligne et n’ont ni coupe-file ni traitement de faveur à espérer.» On fait plus chaleureux comme accueil…
Nathalie Raulin
Et paf dans le cul..ceux là iront aux"restos du coeur" on leur servira pas la soupe chez Macron
Re: Macron vs Van Damme
À Bordeaux, Macron fait l'éloge de Juppé pour conforter son aile droite gauche
Une main tendue à droite donc, après le ralliement de Bertrand Delanoë et avant celui, attendu, de Jean-Yves Le Drian. Avant le débarquement des hollandais aussi, perspective que redoutent les proches d'Emmanuel Macron. Pour eux, le soutien des proches du président de la République, c'est le baiser de Judas. «On ne va sûrement pas se laisser refiler le mistigri du bilan. On les voit manœuvrer pour venir vers nous mais nos défenses immunitaires sont solides», prévient un proche d'Emmanuel Macron.
(comme si ce con n'est pas en grande partie responsable du bilan )
Une main tendue à droite donc, après le ralliement de Bertrand Delanoë et avant celui, attendu, de Jean-Yves Le Drian. Avant le débarquement des hollandais aussi, perspective que redoutent les proches d'Emmanuel Macron. Pour eux, le soutien des proches du président de la République, c'est le baiser de Judas. «On ne va sûrement pas se laisser refiler le mistigri du bilan. On les voit manœuvrer pour venir vers nous mais nos défenses immunitaires sont solides», prévient un proche d'Emmanuel Macron.
(comme si ce con n'est pas en grande partie responsable du bilan )
Re: Macron vs Van Damme
Mais c'est bien quand même ...les trois hollandais du forum+ ne seront pas bien accueillis chez Macron
Re: Macron vs Van Damme
Ce petit c... va se retrouver devant les tribunaux pour ses insultes à la France et aux Français lors de son voyage en Algérie... J'espère qu'il va devoir payer lourd !
Re: Macron vs Van Damme
Emmanuel Macron veut réécrire la régulation financière
7 mars 2017 Par martine orange
Se rangeant aux côtés des banques et des assurances, le candidat d’En Marche juge que les règles prudentielles sont trop contraignantes. Il souhaite à l’avenir que ce soit les ministres des finances et non les régulateurs qui les déterminent. Un premier pas pour effacer toutes les leçons de la crise financière.
S’il y avait encore un doute sur le positionnement d’Emmanuel Macron, il vient de le dissiper : il se place ostensiblement du côté de la finance. Tandis que l’attention de l’opinion publique est captée par le feuilleton quotidien de la droite, il avance discrètement ses propositions. Et quelles propositions ! Il ne s’agit rien de moins que de remettre en cause la régulation élaborée après la crise financière de 2008. Comme Trump, il propose de réécrire ces règles contraignantes. Au nom de l’économie bien sûr.
7 mars 2017 Par martine orange
Se rangeant aux côtés des banques et des assurances, le candidat d’En Marche juge que les règles prudentielles sont trop contraignantes. Il souhaite à l’avenir que ce soit les ministres des finances et non les régulateurs qui les déterminent. Un premier pas pour effacer toutes les leçons de la crise financière.
S’il y avait encore un doute sur le positionnement d’Emmanuel Macron, il vient de le dissiper : il se place ostensiblement du côté de la finance. Tandis que l’attention de l’opinion publique est captée par le feuilleton quotidien de la droite, il avance discrètement ses propositions. Et quelles propositions ! Il ne s’agit rien de moins que de remettre en cause la régulation élaborée après la crise financière de 2008. Comme Trump, il propose de réécrire ces règles contraignantes. Au nom de l’économie bien sûr.
Re: Macron vs Van Damme
Programme Macron: un copier-coller des recommandations européennes
10 mars 2017 Par martine orange
Finances publiques, retraites, chômage, droit du travail et même grands projets comme le développement numérique, toutes les réformes structurelles que le Conseil européen demande à la France depuis plusieurs années se retrouvent dans le programme d’Emmanuel Macron. Mot pour mot.
10 mars 2017 Par martine orange
Finances publiques, retraites, chômage, droit du travail et même grands projets comme le développement numérique, toutes les réformes structurelles que le Conseil européen demande à la France depuis plusieurs années se retrouvent dans le programme d’Emmanuel Macron. Mot pour mot.
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