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Les dossiers noirs du communisme !

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Message par Invité...Mar 3 Mai 2022 - 18:50


Le  toast de Staline pour Hitler

La Seconde Guerre mondiale a commencé le mercredi 23 août 1939, 12 jours avant que la France et le Royaume-Uni ne déclarent ensemble la guerre à l'Allemagne. 22 mois avant que l'Union Soviétique ne soit elle même conduite à la guerre. Et plus der 27 mois avant que les Etats Unis ne soient précipités à leur tour dans un conflit devenu vraiment mondial.

Le 23 août 1939 se déroule un formidable coup de théâtre.

Les français et les britanniques croyaient avoir négociés un arrangement avec les soviétiques découvrent ce soir là qu'ils ont été joués :

L'envoyé d'Hitler son ministre des Affaires étrangères Joachim von Ribbentrop vient de signer avec son homologue soviéztique Viatcheslav Molotov en présence de Staline un pacte de non agression.

http://www.lafauteadiderot.net/Operation-Barbarossa-le-Blitzkrieg

Le pacte des diables

Une histoire de l'alliance Hitler et Staline - 1939 - 1941
Roger Moorhouse
Traduit par Aude de Saint Loup

Le 23 août 1939, une délégation allemande, avec à sa tête le ministre des Affaires étrangères Joachim von Ribbentrop, se rend à Moscou. Sur place, un accord est signé avec le pouvoir soviétique. Il entrera dans l’histoire sous le nom de Pacte Ribbentrop-Molotov ou Pacte Germano-Soviétique, et sa signature sera le signal du coup d’envoi de la Seconde Guerre mondiale.



Pendant près de deux ans, les deux régimes totalitaires vont cohabiter dans une association sanglante qui leur permettra d’étendre leur pouvoir, par la guerre et la tyrannie, sur la Pologne, les Pays Baltes, la Finlande et la Roumanie.



À l’aube du 22 juin 1941, l’idylle prend fin avec l’invasion allemande de l’Union soviétique. Mais le Pacte aura bouleversé l’équilibre européen pour un demi-siècle jusqu’à la chute du Mur de Berlin en 1989.

Ce pacte des diables comporte des clauses secrètes qui ne seront dévoilées par les soviétiques qu'en 1989 !

http://www.lafauteadiderot.net/Le-23-aout-1939-le-pacte-germano

"Soixante ans après sa conclusion, le 23 août 1939, le Pacte germano-soviétique - ou Pacte Molotov-Ribbentrop, du ministre des affaires étrangères du Reich Joachim Von Ribbentrop et du commissaire aux affaires étrangères soviétique Viatcheslav Molotov - continue d’alimenter les passions et de nourrir des polémiques plus idéologiques qu’historiques. L’accord d’août 39 est une pièce de choix pour les tenants de la thèse des deux totalitarismes ; du « Hitler = Staline », dont les ressorts et les objectifs sont d’avantage l’anticommunisme que la recherche d’une vérité historique.

Cependant, des travaux sérieux ont été menés sur le sujet, comme l’exposé, entre autres, présenté par Claire Descamps à la Sorbonne le 10 mars 2009. Celle-ci démontre que le Pacte est « un texte de circonstance » et insiste sur le fait qu’ « il est préférable de refuser l’explication par l’idéologie, qui est souvent donnée par les historiens ».

On ne saurait en effet juger des évènements de l’époque d’après des valeurs mais à partir des faits et des contextes politico-idéologiques qui prévalent au lendemain de la première guerre mondiale et de la Révolution d’octobre.

On sait que Britanniques et Français font payer à l’Allemagne vaincue un lourd tribut de guerre qui une des causes de la montée du fascisme et de l’accession de Hitler au pouvoir. On sait aussi, que les mêmes puissances tiennent l’URSS et le communisme pour ennemis principaux et qu’ils s’acharnent à isoler Moscou ou à diriger contre elle une série de provocations.

A partir de 1933, les diplomaties française et britannique vont être marquées par l’ambivalence : faut-il accepter les offres insistantes de l’URSS en matière de sécurité collective que présente le commissaire aux Affaires étrangères Litvinov à la Société des nations (SDN) à Genève ? Faut-il, au contraire, encourager le « Drang nach Osten » (la poussée vers l’Est) du Chancelier nazi en espérant qu’il s’attaque aux Soviets et qu’ainsi les uns et les autres s’épuisent ? Dans son journal, le ministre des affaires étrangères des Etats-Unis, Harold Ickes, affirme que « l’Angleterre caressait l’espoir de provoquer un affrontement entre la Russie et l’Allemagne pour ne pas se compromettre elle-même ».

Les six ans qui séparent l’établissement de la dictature hitlérienne de la signature du Pacte témoignent de ces hésitations qu’on pourrait traduire de façon triviale : « Qui bouffera qui ? »...


De Moscou à Paris, crimes, mensonges et trahisons

Encore au pouvoir dans 4 pays (Chine, Vietnam, Laos, Cuba) le communisme a causé au moins 100 millions de morts aux XXe siècle. Un siècle aussi de chape de plomb et de terrorrisme intellectuel.

ANGKAR Signifiant “organisation”, le mot désignait le comité central des Khmers rouges au Cambodge (1975-1979). Ils sont responsables de la mort d'au moins 2 millions de personnes soit un quart de la population de l'époque. "Si nous les avions laissés vivre la ligne du Parti aurait été détournée ; ils étaient des ennemis du peuple". Principaux visés : les habitants des villes, intellectuels et bouddhistes, jugés "impurs".
Les minorités chinoises et catholiques, l'ethnie musulmane des Chams dit "Khmers islam" objet d'une répression féroce : religieux exécutés, corans brûlés, mosquées rasées. Dans la zone sud ouest du pays où ils sont concentrés la consommation de porc est rendue obligatoire 2 fois par mois !

https://www.epresse.fr/magazine/valeurs-actuelles-hors-serie/2020-09-11/sommaire


Aux sources du mal…

Goulags, grandes famines, procès de Moscou... L'URSS de Lénine et Trotski n'a pas attendu Staline pour purger et massacrer. La saga sanglante du pouvoir soviétique.
...

Lénine : derrière le mythe, le tyran

Encore encensé par les communistes, et au delà, le chef de la révolution bolchevique de 1917 fut en réalité le vrai "inventeur du totalitarisme".

Portrait d'un fanatique habité par une seule quête : la prise du pouvoir.

Saturé de médicaments, le côté droit du visage paralysé à la suite de plusieurs accidents vasculaires cérébraux, il ne reste à Lénine que 39 jours à vivre en ce 13 décembre

Goulags, dans les entrailles de l'enfer rouge

Par une main de fer, emmenons l'humanité vers le bonheur ! C'est ici, sous cette gigantesque inscription placardée à l'entrée du camp que tout a commencé. Solovki îlot glacé de la mer Blanche balayé par les bourrasques.
Le premier goulag ouvert en 1923 fermera ses portes en 1939.



https://www.la-croix.com/Monde/Europe/Larchipel-Solovki-fragile-memoire-premier-goulag-2019-09-10-1201046522
"Dans le nord-ouest de la Russie, nichées juste en dessous du cercle polaire dans la mer Blanche, les petites îles sont saisies par les glaces huit mois de l’année. L’été, lorsque les 900 habitants s’affairent pour accueillir les touristes au milieu des cris de mouettes, Iouri Brodski quitte son appartement moscovite et retrouve les Solovki. Il vit près du monastère, patrimoine architectural protégé par l’Unesco au cœur de l’histoire de l’archipel. « Le nœud de notre tragique passé qu’il ne faut pas oublier », insiste-t-il.

La terreur stalinienne
Créé par des moines au XVIe siècle, ce monastère aux fins bulbes boisés et aux imposantes fortifications a servi aux bolcheviques, après la révolution de 1917, de premier laboratoire du goulag. L’île avait été choisie par les communistes car, ironie de l’histoire, les moines y avaient installé au fil des siècles toutes les infrastructures qui se sont révélées indispensables pour un camp au milieu de nulle part, havre monacal transformé en enfer carcéral".


Près de 25 millions de déportés périrent dans ces "camps de travail". Le système concentrationnaire fut un pilier du régime.

“Léon Trotski, le jumeau de Staline”

À en croire l’histoire officielle, les crimes du communisme seraient à mettre sur le dos du seul Staline, dédouanant Lénine et surtout Trotsky.

Trotsky écrit en 1921 "la meilleure place pour un gréviste, ce moustique jaune et nuisible, c'est le camp de concentration."


Lyssenko, le savant fou

Science prolétarienne contre « science bourgeoise ». Jamais l'absurdité du matérialisme scientifique en URSS n'a été mieux personnifiée que par le "biologiste" Trofim Lyssenko (1898 - 1976)que ses effarants travaux feront promouvoir "héros de l'Union sovétique".

https://www.lemonde.fr/archives/article/2003/02/25/trofim-lyssenko-agronome-farfelu-et-heros-de-la-science-proletarienne_310721_1819218.html

"Bravo, camarade Lyssenko, bravo !" Ces félicitations, lancées par Staline au 2e congrès des fermiers collectifs de choc, en février 1935, marquent le début de la mainmise d'un obscur technicien agricole sur tout un pan de la science soviétique. Sous sa férule, celle-ci accumulera pendant trois décennies errements conceptuels et impasses agronomiques – et enverra périr en déportation certains de ses plus brillants représentants.

Né en 1898 en Ukraine, Trofim Denissovitch Lyssenko se fait d'abord connaître par des expériences menées dans les années 1920 en Azerbaïdjan, où il soumet des graines au froid pour accélérer leur germination.
Il attribue à ce phénomène de "vernalisation" des vertus sans pareil et propose de modifier les pratiques culturales, au moment où Staline veut parfaire la collectivisation des terres.
Au début des années 1930, les biologistes russes se partagent en deux camps.
Les mendéliens font des gènes le support invariant de l'hérédité.
Les autres penchent pour la "transmission héréditaire des caractères acquis".

Cette approche néo-lamarckienne a le mérite de cadrer avec les vues d'Engels sur la façon dont le travail a façonné l'évolution du singe à l'homme (la première sera utilisée par les nazis pour élaborer leurs thèses raciales).

Pourfendeur des thèses génétiques, Lyssenko leur substitue une théorie postulant que le milieu environnant prime sur les caractères génétiques et peut modifier radicalement l'évolution des espèces.

Farfelues, ses théories, pour schématiser, pronostiquent que si l'on coupe chaque fois la queue à cent générations de souris, la 101e naîtra sans queue...

Encouragé par Staline, qui a besoin de boucs émissaires pour expliquer le terrible échec de sa réforme agraire, Lyssenko, jetant le discrédit sur la génétique mendélienne qualifiée de "réactionnaire" et "contraire aux doctrines du parti", confisque la biologie soviétique et s'emploie alors à disqualifier ses adversaires "hitléro-trostkistes".
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Message par Invité...Mar 3 Mai 2022 - 18:51


Staline pour mater en Ukraine alors "grenier à blé" de l'Europe, la résistance paysanne contre la collectivisation des terres et les poussées nationalistes qui l'accompagnaient usa de l'arme de la faim. Au nom de la lutte des classes le koulak (paysan propriétaire des terres) est désigné comme ennemi public numéro un. Des brigades constituées sont envoyées dans les campagnes pour tout réquisitionner.
La famine fait rapidement rage les paysans ne peuvent quittter leurs villages pour chercher des secours en ville et attendent la mort dans les campagnes.

https://in-dies.com/2020/08/07/7-aout-1932-promulgation-de-la-loi-des-epis-et-holodomor/

Considéré comme un génocide par l’Ukraine, qui s’efforce de le faire reconnaître universellement et surtout par la Russie depuis des années, l’Holodomor qui a eu lieu en 1932-1933 prend sa source en URSS à la fin des années 1920…

L’extermination du capitalisme

En 1921-1922, la Russie peine à se relever de la Première Guerre mondiale (1914-1918), de la révolution et de la guerre civile (1917-1921). Une gigantesque famine fait plus de 5 millions de morts, surtout dans la région de la Volga.
Lénine demande l’aide de l’étranger et instaure la Nouvelle Politique Economique (NEP), une politique de libéralisation économique visant à redynamiser l’agriculture et l’industrie.
Il s’agit bien sûr de «faire au capitalisme une place limitée pour un temps limité», mais Lénine ne fixe pas pour autant de délai.

En résulte une prospérité retrouvée vers la fin de la décennie, avec une production agricole et industrielle en bon état de marche.
Mais aux yeux de Staline, qui a succédé à Lénine à sa mort en 1924, il ne s’agirait pas que les paysans deviennent trop aisés et puissent nuir au bolchévisme, communiste.

En 1928, dans le cadre d’un « premier plan quinquennal » (1928-1933), il entreprend donc de faire collectiviser les terres en créant les kolkhozes (fermes collectives) et sovkhoses (fermes modèles).
Il ordonne également l’augmentation drastique de la production de blé, dont une partie doit être destinée à l’exportation. En revanche, il fait baisser de 20% le prix du blé vendu par les paysans à l’Etat. Ce qui revient à travailler plus pour… gagner moins.

En 1930, Staline officialise par un décret la fin de la NEP – et donc de la moindre trace restante de capitalisme.
Il lance également la « dékoulakisation » soit l’élimination de la classe des « koulaks » (prêteurs sur gages,en russe), terme employé pour désigner ces paysans aisés et nuisibles.

La vague tueuse du bolchévisme

Staline dépêche 25000 agents de l’Etat et des jeunesses communistes dans les campagnes avec pour mission de répartir quelque 25 millions de familles dans les kolkhozes et les sovkhoses.

La réorganisation se fait par la violence et la menace de la déportation.
Beaucoup de paysans préfèrent abattre leur bétail plutôt que de le donner à l’Etat. Le cheptel diminue de moitié.
Fin 1931, la « dékoulakisation » est terminée et 70% des terres sont collectivisées.

Pendant ce temps, et courant 1932 également, la production de blé a diminué. Qu’importe, les quantités réquisitionnées par l’Etat continuent d’augmenter, ne laissant plus assez aux paysans des fermes collectives de quoi nourrir leurs familles.
La famine est en marche. Au Kasakhstan, elle a déjà tué entre 1 et 1,5 million de morts.

Face à l’Ukraine, territoire très fertile qui compte beaucoup de petits propriétaires qui continuent de résister, le gouvernement bolchévique a accentué la pression ainsi que la réquisition des récoltes.
En plus de la réorganisation de la campagne ukrainienne en kolkhozes et sovkhozes, le gouvernement promulgue, le 7 août 1932, la «loi des épis».

Alors que la famine a franchi un nouveau palier et continue de s’étendre, Staline assène un nouveau coup à la population avec cette loi en menaçant de déportation, voire de peine de mort (c’est pareil…) quiconque volerait le moindre épi de maïs dans un champ ou quoi que ce soit d’autre appartenant à l’Etat.
Cette loi ne fait donc qu’ajouter encore un peu à l’horreur : des milliers d’Ukrainiens sont tués ou déportés (c’est pareil…).

Le coup de grâce survient en décembre, avec l’institution d’un passeport et l’interdiction de quitter son village sans autorisation.
Condamnés à mourir de faim chez eux sans plus aucunes ressources, des Ukrainiens se suicident quand d’autres se livrent au cannibalisme, mangeant le plus souvent leurs propres enfants ou ceux des voisins… Cet ultime recours est à ce point répandu que des affiches sont placardées par les autorités bolchéviques dans les villages pour rappeler que «Manger son enfant est un acte barbare».

Exterminer 3 à 6 millions d’Ukrainiens par la faim, l’est tout autant…

Nié pendant des décennies par le gouvernement soviétique, l’Holodomor est finalement reconnu lors de l’ouverture des archives de l’URSS, après son effondrement en 1991.
Le 28 novembre 2006, l’Ukraine va plus loin et fait voter une loi qui affirme que «la famine provoquée par les Soviétiques est un génocide contre le peuple ukrainien».
Reconnu par de nombreuses nations dans le monde, ce génocide ne l’est toujours pas par la Russie…
Le génocide occulté
À l'étranger, où filtrent malgré tout des informations sur la famine et les excès de la « dékoulakisation », les communistes trouvent des gens complaisants, cyniques ou naïfs pour relayer leurs mensonges sur la prospérité de l'Union soviétique et de ses habitants.

Le cas le plus notable est celui d'Édouard Herriot, maire de Lyon et chef du parti radical français, qui se rend en URSS à l'été 1933. Il aspire à un rapprochement entre la France et l'URSS pour contenir l'Allemagne, qui vient de tomber aux mains des nazis.

De ce fait, après avoir parcouru l'Ukraine en compagnie des officiels soviétiques, il déclare, péremptoire : « J'ai traversé l'Ukraine. Eh bien ! je vous affirme que je l'ai vue tel un jardin en plein rendement. » Il est vrai que les communistes ont fait ce qu'il fallait pour cela, maquillant les villages où devait passer le leader occidental.

La famine et son aspect intentionnel ne font plus guère débat parmi les historiens. Quant aux députés ukrainiens, ils ont voté le 28 novembre 2006 une loi affirmant que « la famine provoquée par les Soviétiques est un génocide contre le peuple ukrainien »
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Message par Invité...Mar 3 Mai 2022 - 18:54


NKVD

Avant de devenir le KGB cette police du régime sera le bras armé de la dictature du prolétariat jouant un rôle de premier plan dans la "terreur rouge" (1918) qui fera 15 000 victimes

Sergueï Melgouvnov


Né quelques mois après Staline, l'historien et journaliste Sergueï Melgounov, socialiste russe modéré, dénonce la politique de terreur instaurée dans le pays après la révolution d'Octobre. Pour évoquer les horreurs de la guerre civile et du « communisme militaire », Melgounov ne s'en tient pas au terme «atroce». Il explicite le mot, comme on défroisse une page pour en étaler l'insoutenable contenu. La valeur de ses propos est d'autant plus précieuse qu'il fait parler les victimes et leurs bourreaux, grâce notamment aux nombreux documents et récits qu'il a pu recueillir. En ce sens, son témoignage préfigure celui de Soljenitsyne sur le Goulag. Contre Lénine, contre Staline, Melgounov et Soljenitsyne ont brandi la morale de l'homme face aux prétendues raisons de l'histoire et de l'État.


Les "moscoutaires" des Brigades Internationales !

Crées par Staline pour affronter Franco durant la guerre d'Espagne (1936-1939) elles ont été élevées au rang de mythe. Loin de la sombre réalité révélée par l'ex brigadiste Sygmunt Stein.

https://www.seuil.com/ouvrage/ma-guerre-d-espagne-sygmunt-stein/9782021039320


Ma guerre d'Espagne

Brigades internationales : la fin d'un mythe

Sygmunt Stein

Traduit par : Marina Alexeeva-Antipov

Pour beaucoup, le mythe des Brigades internationales reste aujourd’hui encore intact. Et pourtant, derrière l’aventure héroïque de milliers de volontaires venus de tous les pays au secours de la République espagnole, se cache une autre vérité, déconcertante et douloureuse, que révèle ce témoignage sauvé de l’oubli.

Sygmunt Stein, militant communiste juif en Tchécoslovaquie, bouleversé par les procès de Moscou qui ébranlent sa foi révolutionnaire, va chercher en Espagne l’étincelle qui ranimera ses idéaux. Mais arrivé à Albacete, siège des Brigades internationales, il se voit nommé commissaire de la propagande, poste où il découvre jour après jour l’étendue de l’imposture stalinienne. Très vite, la réalité s’impose à lui : « La Russie craignait d’avoir une république démocratique victorieuse en Europe occidentale, et sabotait pour cette raison le duel sanglant entre les forces démocratiques et le fascisme. » Tout ce qu’il croyait combattre dans le fascisme, à commencer par l’antisémitisme, il le retrouve dans son propre camp. La déception est à la mesure de l’espoir qui l’avait mené en Espagne : immense. Affecté par la suite à la compagnie juive Botwin, il sera envoyé au front pour servir de chair à canon.

Des exécutions arbitraires du « boucher d’Albacete », André Marty, aux banquets orgiaques des commissaires politiques, en passant par les impostures de la propagande soviétique, Sygmunt Stein dénonce violemment dans son livre, écrit en yiddish dans les années 1950, et resté inédit en français, la légende dorée des Brigades internationales

https://www.epresse.fr/magazine/valeurs-actuelles-hors-serie/2020-09-11/sommaire


Castro, l'icône sanglante, le "Lider maximo" a imposé une implacable dictature, fait massacrer ses opposants, armé les terroristes et ruiné son pays.

Arnaud Folch

Les tueurs du comandante

Pour se maintenir pendant plus d'un demi siècle au pouvoir malgré son fiasco, le régime castriste, véritable Etat policier peut compter sur une demi douzaine d'unités spécialement dévolues à la répression :

Le G2 équivalent du KGB soviétique, à la fois police politique, armée d'élite et complexe industriel, les Guêpes noires et le Secteur 40, unités de tueurs hautement entrainés, proches des Spetsnaz soviétiques : les Brigades de réaction rapide unités blindées spéciales chargées de briser les soulèvements populaires, notamment au sein de la communauté noire. l'Unité 49 garde personnelle des dirigeants, l'Unité 1 chargées d'éliminer les dirigeants tombés en disgrâce.


"Castro mimait Hitler devant un miroir, il se tenait debout avec un exemplaire de Mein Kampf et gesticulait à la manière hitlérienne."

José Andreu, camarade de Fidel Castro à l'Université de la Havane en 1952

"Cuba Nostra les secrets d'Etat de Fidel Castro" l'ex journaliste Alain Ammar fut l'un des premiers à dénoncer l'imposture cubaine.


Salvador Allende, Che Guevara, d'autres encore, moins connus mais dont le rôle fut essentiel : tous, ils portèrent pour une génération entière l'espoir d'un monde différent. Tous, ils ont disparu : officiellement suicidé, abattu, accidenté ou trahi après avoir croisé le chemin de Fidel Castro qui n'en a pas moins fait des icônes.


Aujourd'hui ces morts troublent la conscience. Mais se pencher sur la réalité de leur disparition, c'est s'attaquer au silence épais des secrets de l'Etat cubain.


Cuba nostra expose ces secrets extraits des coulisses d'un univers maffieux, corrompu et sanguinaire.


En revenant sur des événements enfouis dans l'histoire de Cuba, cet ouvrage met en lumière des épisodes que le régime castriste a toujours préféré laisser dans l'ombre. Deux ans d'enquête et des témoignages inédits pour comprendre comment Fidel Castro réussit encore à régner en maître absolu après un demi-siècle de pouvoir sans partage. Et découvrir l'envers d'une révolution qui s'est transformée en dictature pour le malheur de tout un peuple.


Quand le PCF pactisait avec Hitler - Valeurs actuelles

À la fin du mois d’août 1939, quelques jours après la signature du pacte germano-soviétique, Hélène Perdrière, ancienne de la troupe de la Comédie-Française, déjeune dans un restaurant de Bagnères-de-Bigorre (Hautes-Pyrénées) avec deux amis. Elle racontera l’épisode dans un livre de Guy Dupré, Histoire de rire et de pleurer (paru chez Fayard en 1969). « Nous commentions lugubrement les évènements quand un groupe d’une demi-douzaine de personnes, conduit par un petit homme gesticulant, prit place à la table voisine de la nôtre. Les nouvelles de Moscou semblaient les avoir portés au comble de l’euphorie. Tous riaient, parlaient haut et fort ; le petit homme avait commandé du champagne. “Qui est-ce ?” , demandais-je à mes compagnons. “C’est Jacques Duclos. ” » ( Il sera le candidat communiste à la présidentielle de 1969.)


Che Guevara le Saint Just des tropiques !


A la tête de l'économie cubaine de 1959 à 1965 Guevarra va appliquer à la lettre les recettes soviétiques : collectivisation et industrialisation à marche forcée d'une pays pourtant agricole.
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Message par Invité...Mar 3 Mai 2022 - 18:54


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Message par Invité...Mar 6 Sep 2022 - 18:17


Les derniers secrets de la Stasi

Le régime communiste est-allemand s'est effondré malgré sa toute puissante Sécurité d'Etat (Stasi) ses archives parlent. On y apprend notamment comment la RDA voulait envahir Berlin Ouest.

Depuis 1990 Normannenstrasse est un mémorial et un centre de recherches où l'on classe et exploite les archives récupérées.
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Message n° 6

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Message par Invité...Mar 6 Sep 2022 - 18:21


L'affaire Kurras 

Aujourd'hui oubliée, l' affaire Kurras eut à la fin des années 1969 des conséquences politiques considérables.
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Message n° 7

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Message par Invité...Mer 7 Sep 2022 - 17:14


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