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Les communistes Français n’ont pas de sang sur les mains.

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Message n° 1

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Message par Invité...Lun 18 Juin 2018 - 11:39


Les communistes Français n’ont pas de sang sur les mains.

Citez moi une seule victime des communistes en France depuis 1920 ?

Moi je peux vous citer des quantités de noms de personnes qui ont été assassinés par l'extreme droite en France depuis les années 20 ( dont d'ailleurs beaucoup ont leur nom sur un plaque de rue ). rappelez nous combien de militants de l'extreme droite ont eu une rue portant leur nom en France ?

Pas de rue Pétain
Pas de rue Darnand
Pas de rue Mauras
Pas de rue Léon Daudet
Pas de rue Laval
Pas de rue Henriot
Pas de rue Déat
Pas de rue Doriot etc..etc ..

Par contre voici quelques uns des communistes assassinés par l'extrême droite dont une rue ou une place porte le nom :


Gabriel Péri
Danielle Casanova
Guy Mocquet
Colonel Fabien ( Pierre Georges )
Jean - Pierre Timbaud
Serge Duhourquet,
Ceux de l'affiche rouge et du groupe Manoukian


Etc..etc et tous les anonymes militants PCF assassinés dans leur régions.


Tous les déportés pour appartenance au PCF dont Marie - Claude Vaillant -Couturier reconnue unanimement pour son courage lors du procès de Nuremberg .

Non les communistes Français n'ont pas de sang sur les mains !
Ceux qui ont du sang sur les mains sont ceux figurant sur la première liste de noms !

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Message n° 2

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Message par Invité...Lun 18 Juin 2018 - 12:04


J'ai pris le premier de ta liste , voici ce que j'ai lu


Arrestation et exécution

Le 18 mai 1941, à 20 h 15, Gabriel est arrêté[26] « dans des circonstances qui demeurent mystérieuses » affirme Guillaume Bourgeois. En effet, dans l’ouvrage collectif Histoire du Parti communiste français, il est signalé que « Péri fut dénoncé par Hermann Bertelé, dit « Armand », adjoint du responsable aux cadres choisi par Duclos, Maurice Tréand, celui qui avait organisé les démarches auprès du Führer occupant, pour la reparution de L’Humanité avec imprimatur nazi ». En fait, le dénommé Armand est Edmond Foeglin, adjoint de Maurice Tréand à la commission des cadres depuis 1938 où il gère les « listes noires » du PCF. Il semblerait être l’initiateur du déménagement de Péri à la porte de la Villette, chez André Chaintron. Ce déménagement chez un militant communiste connu des services de police et frère de Jean Chaintron, chef communiste de la zone sud déjà arrêté et condamné à mort, est une « grave faute » au regard des mesures visant à la sécurité de Péri. Ainsi, assurant une partie des liaisons depuis la mise au placard de Tréand à l’automne 1941, Foeglin qui connaît la plupart des adresses des cadres communistes parisiens, est arrêté alors qu’il se rend chez Jean Catelas qui venait d’être dénoncé. « Foeglin aurait alors proposé au commissaire de police d'échanger sa libération contre des informations concernant le fonctionnement clandestin du Parti communiste et la planque d'un de ses dirigeants : Gabriel Péri », signale la biographie du Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français.

Le rapport des renseignements généraux confirme quelques éléments : « Gabriel Péri est arrêté à la porte de Champerret, probablement dénoncé par un camarade. Bien qu'ayant pris ses distances avec le PC depuis le pacte germano-soviétique ». Toutefois, « l’affaire de l’arrestation de Péri » prit une tournure plus polémique après-guerre, Pierre Teruel-Mania accusant Jacques Duclos d’avoir livré Péri à la police. Duclos s’en est fortement défendu dans ses Mémoires.


Alors?
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Message n° 3

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Message par Invité...Lun 18 Juin 2018 - 18:49


C'est vrai que durant la "neutralité" du PCF jusqu'au 21 juin 1941, le parti se livra à une véritable chasse aux militants qui n'étaient pas du tout d'accord avec le pacte Hitler/Staline. Son organisation clandestine (OS) exécuta un certain nombre de ces militants après les avoir enlevés.
Et ne parlons pas de l'épuration dit "sauvage" où des Cours martiales dirigées par des FTP communistes jugèrent et condamnèrent à mort des milliers de Français, miliciens mais aussi parfaitement innocents, dont le seul crime avait été d'être non-communistes !.
Ces faits sont avérés.
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Message n° 4

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Message par Invité...Lun 18 Juin 2018 - 19:32


Deuxième exemple, le colonel Fabien,de sonvrai nom Pierre Georges
Pierre Georges cependant ne pose pas le pied en terre allemande : le 27 décembre 1944, il est tué par l'explosion d'une mine qu'il était en train d'examiner, à Habsheim près de Mulhouse[16],[1].

Les circonstances exactes de sa mort restent mal établies[16],[1]. Néanmoins, selon les mémoires de Daniel Seither, il aurait été tué en voulant manipuler un modèle de mine qu'il prétendait connaître, cette manipulation entrant dans la préparation d'une opération de franchissement du Rhin prévue le lendemain[17]. Son agent de liaison Gilberte Lavaire, le lieutenant-colonel Dax (Marcel Pimpaud 1912-1944), son bras droit, trois capitaines, Blanco, Lebon, Pierre Katz[16],[1], avocat de 33 ans, et un lieutenant périssent avec lui. Neuf personnes sont blessées par l’explosion[16],[1].

Alors?assassiné par l'extrême-droite lui aussi? Ça fait 2..qui ne correspondent pas à ton affirmation
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Message n° 5

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Message par Invité...Lun 18 Juin 2018 - 20:01


melusine a écrit:Deuxième exemple, le colonel Fabien,de sonvrai nom Pierre Georges
Pierre Georges cependant ne pose pas le pied en terre allemande : le 27 décembre 1944, il est tué par l'explosion d'une mine qu'il était en train d'examiner, à Habsheim près de Mulhouse[16],[1].

Les circonstances exactes de sa mort restent mal établies[16],[1]. Néanmoins, selon les mémoires de Daniel Seither, il aurait été tué en voulant manipuler un modèle de mine qu'il prétendait connaître, cette manipulation entrant dans la préparation d'une opération de franchissement du Rhin prévue le lendemain[17]. Son agent de liaison Gilberte Lavaire, le lieutenant-colonel Dax (Marcel Pimpaud 1912-1944), son bras droit, trois capitaines, Blanco, Lebon, Pierre Katz[16],[1], avocat de 33 ans, et un lieutenant périssent avec lui. Neuf personnes sont blessées par l’explosion[16],[1].

Alors?assassiné  par l'extrême-droite lui aussi? Ça  fait 2..qui ne correspondent pas à  ton affirmation




Tu as raison, Radio Paris avait annoncé qu'ils s'étaient tous suicidé !!!!!


Mais les collabos, eux n'ont aucune rue à leur nom, c'est curieux ??
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Message n° 6

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Message par Invité...Lun 18 Juin 2018 - 20:05


Octobre 1941, le gouvernement de Vichy livre à l’occupant allemand 48 otages, essentiellement des syndicalistes et des communistes. Ces otages, dont Guy Môquet, furent fusillés en représailles à l’exécution d’un officier allemand. Depuis 75 ans, leur mémoire est honorée.

Le 21 août 1941, à la suite de l’exécution d’un officier allemand dans le métro, à Paris, par le futur colonel Fabien, les Allemands décrètent que tous les Français mis en état d’arrestation sont désormais des otages susceptibles d’être fusillés. Pourtant, les actions armées contre l’occupant se multiplient. Le 20 octobre, vers 8 heures du matin, un officier allemand, le lieutenant-colonel Hotz, est abattu à Nantes. Les représailles allemandes sont alors monstrueuses. Le jour même, un officier allemand se présente au camp de Choisel pour y consulter la liste des détenus. Le lendemain, le général von Stülpnagel, commandant militaire en France, fait annoncer par voie d’affiche que, « en expiation de ce crime », 50 otages seront fusillés, ainsi que cinquante autres si les coupables ne sont pas arrêtés avant le 23 octobre, à minuit. Le choix des otages est laissé à la discrétion du gouvernement de Vichy.

Sur la liste de cent détenus présentée par les Allemands au ministre de l’Intérieur Pierre Pucheu, les noms retenus sont, pour l’essentiel, ceux de communistes. Parmi ces noms, celui de Guy Môquet, jeune communiste de 17 ans. Le 22 octobre, vingt-sept otages sont fusillés à Châteaubriant, seize otages sont assassinés à Nantes, et cinq autres au Mont-Valérien. Le lendemain, les Allemands dispersent les vingt-sept corps de Châteaubriant dans neuf cimetières des environs. Le dimanche suivant, malgré les interdictions, des fleurs sont déposées sur les tombes des martyrs.

Le 24 octobre, cinquante otages sont fusillés à Souge, près de Bordeaux, en représailles à l’exécution, le 22 octobre, par la Résistance du conseiller militaire Reimers. Avec le massacre de Châteaubriant, l’occupant allemand voulait terroriser la population française et la dresser contre les résistants. C’est l’effet inverse qui se produit. Partout, cette fusillade suscite l’indignation, et renforce le rejet de l’occupant.

Depuis 75 ans, le souvenir de ces victimes est honoré. Dans son communiqué de presse, l’amicale Châteaubriant-Voves-Rouillé-Aincourt, présidée par Odette Nilès, ancienne internée du camp de Choisel et petite amie de Guy Môquet, précise que « pour être “dignes d’eux” et saluer l’esprit qui les animait jusqu’aux dernières secondes de leur vie », il faut continuer de « se battre pour les valeurs de fraternité, de paix et de solidarité qu’ils défendaient ». Cette année, la cérémonie officielle en leur hommage, présidée par Odette Nilès et Alain Hunault, maire de Châteaubriant, et en présence de Pierre Laurent, secrétaire national du PCF, et de Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, se ponctuera par une grande évocation historique, écrite et mise en scène par Jean-Jacques Vanier. Le public sera « projeté » dans la tête des condamnés, au moment où ils se sont retrouvés face au peloton d’exécution. Ces dernières pensées, riches en émotion, seront interprétées par quelques grands noms du monde du spectacle tels qu’Yvan Le Bolloc’h, ainsi que des amateurs bénévoles de Châteaubriant et des choristes de « Meli Melo ».

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Message n° 7

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