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Italie. Giorgia Meloni forme son gouvernement et peaufine son programme antisoci
Italie. Giorgia Meloni forme son gouvernement et peaufine son programme antisoci
Italie. Giorgia Meloni forme son gouvernement et peaufine son programme antisocial.
La dirigeante d’extrême droite a présenté son gouvernement vendredi avant de prêter serment samedi. L’arrivée des héritiers du fascisme aux manettes présente un danger pour les droits des femmes et pourrait libérer les violences contre les migrants et les homosexuels.
Il s’agira du gouvernement le plus à droite de l’histoire de la République. Un gouvernement de régression sur le plan des droits. Au terme des consultations menées par le président de la République, Sergio Mattarella, avec les responsables des institutions et les forces politiques, Giorgia Meloni, dont le parti d’extrême droite, Frères d’Italie, est arrivé en tête des législatives, et a reçu dans le week-end le mandat de former le prochain exécutif italien. Elle dirige un gouvernement où figure en bonne place un autre parti d’extrême droite, la Ligue, mais aussi les amis de Silvio Berlusconi, même si celui-ci donne du fil à retordre à la leader postfasciste (lire notre encadré).
La fin du ministère de la Parité et l’entrave au droit à l’IVG
En Ligurie, les élus fréristes ont déposé une résolution afin que, dans tout établissement hospitalier ou dispensaire de santé où est pratiquée l’interruption volontaire de grossesse, des associations anti-IVG aient droit de cité avec un local. La cheffe de Frères d’Italie entretient la confusion. Elle déclare, certes, ne pas vouloir remettre en cause le droit à l’IVG ; mais elle développe un discours « provie » qui n’est pas sans effets politiques. L’objectif serait de « donner le choix » aux femmes de ne pas mettre fin à leur grossesse.
Dans les Marches, le long de la mer Adriatique, gouvernées par les amis de Giorgia Meloni, l’accès au droit à l’IVG est restreint, notamment pour ce qui concerne la pilule abortive, quasiment interdite. « Les dernières 48 heures sont inquiétantes », alerte Vittoria Tola, responsable de l’Union des femmes italiennes.
Le député berlusconien Maurizio Gasparri vient de présenter une proposition de loi qui accorde la personnalité juridique au fœtus et instaure une « journée du fœtus ». Autre mesure, la fin du ministère de la Parité, dont les compétences seraient regroupées avec le Sport ou la Jeunesse. « Ils mettent ensemble des choses qui n’ont rien à voir entre elles. C’est un risque d’invisibilisation des femmes. Et ça ne pose plus la question des droits des femmes », déplore la militante pour qui la droite italienne « a toujours eu, pour les femmes, un comportement néopatriarcal et ne s’est jamais préoccupée de leurs droits ».
Les personnes LGBT sont elles aussi visées par le discours réactionnaire. En 2016, Giorgia Meloni s’était illustrée par un vote contre la reconnaissance des unions civiles pour les couples de même sexe.
La dirigeante d’extrême droite a présenté son gouvernement vendredi avant de prêter serment samedi. L’arrivée des héritiers du fascisme aux manettes présente un danger pour les droits des femmes et pourrait libérer les violences contre les migrants et les homosexuels.
Il s’agira du gouvernement le plus à droite de l’histoire de la République. Un gouvernement de régression sur le plan des droits. Au terme des consultations menées par le président de la République, Sergio Mattarella, avec les responsables des institutions et les forces politiques, Giorgia Meloni, dont le parti d’extrême droite, Frères d’Italie, est arrivé en tête des législatives, et a reçu dans le week-end le mandat de former le prochain exécutif italien. Elle dirige un gouvernement où figure en bonne place un autre parti d’extrême droite, la Ligue, mais aussi les amis de Silvio Berlusconi, même si celui-ci donne du fil à retordre à la leader postfasciste (lire notre encadré).
La fin du ministère de la Parité et l’entrave au droit à l’IVG
En Ligurie, les élus fréristes ont déposé une résolution afin que, dans tout établissement hospitalier ou dispensaire de santé où est pratiquée l’interruption volontaire de grossesse, des associations anti-IVG aient droit de cité avec un local. La cheffe de Frères d’Italie entretient la confusion. Elle déclare, certes, ne pas vouloir remettre en cause le droit à l’IVG ; mais elle développe un discours « provie » qui n’est pas sans effets politiques. L’objectif serait de « donner le choix » aux femmes de ne pas mettre fin à leur grossesse.
Dans les Marches, le long de la mer Adriatique, gouvernées par les amis de Giorgia Meloni, l’accès au droit à l’IVG est restreint, notamment pour ce qui concerne la pilule abortive, quasiment interdite. « Les dernières 48 heures sont inquiétantes », alerte Vittoria Tola, responsable de l’Union des femmes italiennes.
Le député berlusconien Maurizio Gasparri vient de présenter une proposition de loi qui accorde la personnalité juridique au fœtus et instaure une « journée du fœtus ». Autre mesure, la fin du ministère de la Parité, dont les compétences seraient regroupées avec le Sport ou la Jeunesse. « Ils mettent ensemble des choses qui n’ont rien à voir entre elles. C’est un risque d’invisibilisation des femmes. Et ça ne pose plus la question des droits des femmes », déplore la militante pour qui la droite italienne « a toujours eu, pour les femmes, un comportement néopatriarcal et ne s’est jamais préoccupée de leurs droits ».
Les personnes LGBT sont elles aussi visées par le discours réactionnaire. En 2016, Giorgia Meloni s’était illustrée par un vote contre la reconnaissance des unions civiles pour les couples de même sexe.
Re: Italie. Giorgia Meloni forme son gouvernement et peaufine son programme antisoci
elle t'emmerde hein, la Giorgia......faudra t'y faire....
Re: Italie. Giorgia Meloni forme son gouvernement et peaufine son programme antisoci
L'adoption par un couple ne pouvant concevoir , plutôt qu'un avortement ?Kristobal a écrit:Italie. Giorgia Meloni forme son gouvernement et peaufine son programme antisocial.
La dirigeante d’extrême droite a présenté son gouvernement vendredi avant de prêter serment samedi. L’arrivée des héritiers du fascisme aux manettes présente un danger pour les droits des femmes et pourrait libérer les violences contre les migrants et les homosexuels.
Il s’agira du gouvernement le plus à droite de l’histoire de la République. Un gouvernement de régression sur le plan des droits. Au terme des consultations menées par le président de la République, Sergio Mattarella, avec les responsables des institutions et les forces politiques, Giorgia Meloni, dont le parti d’extrême droite, Frères d’Italie, est arrivé en tête des législatives, et a reçu dans le week-end le mandat de former le prochain exécutif italien. Elle dirige un gouvernement où figure en bonne place un autre parti d’extrême droite, la Ligue, mais aussi les amis de Silvio Berlusconi, même si celui-ci donne du fil à retordre à la leader postfasciste (lire notre encadré).
La fin du ministère de la Parité et l’entrave au droit à l’IVG
En Ligurie, les élus fréristes ont déposé une résolution afin que, dans tout établissement hospitalier ou dispensaire de santé où est pratiquée l’interruption volontaire de grossesse, des associations anti-IVG aient droit de cité avec un local. La cheffe de Frères d’Italie entretient la confusion. Elle déclare, certes, ne pas vouloir remettre en cause le droit à l’IVG ; mais elle développe un discours « provie » qui n’est pas sans effets politiques. L’objectif serait de « donner le choix » aux femmes de ne pas mettre fin à leur grossesse.
Dans les Marches, le long de la mer Adriatique, gouvernées par les amis de Giorgia Meloni, l’accès au droit à l’IVG est restreint, notamment pour ce qui concerne la pilule abortive, quasiment interdite. « Les dernières 48 heures sont inquiétantes », alerte Vittoria Tola, responsable de l’Union des femmes italiennes.
Le député berlusconien Maurizio Gasparri vient de présenter une proposition de loi qui accorde la personnalité juridique au fœtus et instaure une « journée du fœtus ». Autre mesure, la fin du ministère de la Parité, dont les compétences seraient regroupées avec le Sport ou la Jeunesse. « Ils mettent ensemble des choses qui n’ont rien à voir entre elles. C’est un risque d’invisibilisation des femmes. Et ça ne pose plus la question des droits des femmes », déplore la militante pour qui la droite italienne « a toujours eu, pour les femmes, un comportement néopatriarcal et ne s’est jamais préoccupée de leurs droits ».
Les personnes LGBT sont elles aussi visées par le discours réactionnaire. En 2016, Giorgia Meloni s’était illustrée par un vote contre la reconnaissance des unions civiles pour les couples de même sexe.
Re: Italie. Giorgia Meloni forme son gouvernement et peaufine son programme antisoci
En plus si c'est contre de l'argent encore mieux ..une sorte de GPA quoiMina a écrit:L'adoption par un couple ne pouvant concevoir , plutôt qu'un avortement ?Kristobal a écrit:Italie. Giorgia Meloni forme son gouvernement et peaufine son programme antisocial.
La dirigeante d’extrême droite a présenté son gouvernement vendredi avant de prêter serment samedi. L’arrivée des héritiers du fascisme aux manettes présente un danger pour les droits des femmes et pourrait libérer les violences contre les migrants et les homosexuels.
Il s’agira du gouvernement le plus à droite de l’histoire de la République. Un gouvernement de régression sur le plan des droits. Au terme des consultations menées par le président de la République, Sergio Mattarella, avec les responsables des institutions et les forces politiques, Giorgia Meloni, dont le parti d’extrême droite, Frères d’Italie, est arrivé en tête des législatives, et a reçu dans le week-end le mandat de former le prochain exécutif italien. Elle dirige un gouvernement où figure en bonne place un autre parti d’extrême droite, la Ligue, mais aussi les amis de Silvio Berlusconi, même si celui-ci donne du fil à retordre à la leader postfasciste (lire notre encadré).
La fin du ministère de la Parité et l’entrave au droit à l’IVG
En Ligurie, les élus fréristes ont déposé une résolution afin que, dans tout établissement hospitalier ou dispensaire de santé où est pratiquée l’interruption volontaire de grossesse, des associations anti-IVG aient droit de cité avec un local. La cheffe de Frères d’Italie entretient la confusion. Elle déclare, certes, ne pas vouloir remettre en cause le droit à l’IVG ; mais elle développe un discours « provie » qui n’est pas sans effets politiques. L’objectif serait de « donner le choix » aux femmes de ne pas mettre fin à leur grossesse.
Dans les Marches, le long de la mer Adriatique, gouvernées par les amis de Giorgia Meloni, l’accès au droit à l’IVG est restreint, notamment pour ce qui concerne la pilule abortive, quasiment interdite. « Les dernières 48 heures sont inquiétantes », alerte Vittoria Tola, responsable de l’Union des femmes italiennes.
Le député berlusconien Maurizio Gasparri vient de présenter une proposition de loi qui accorde la personnalité juridique au fœtus et instaure une « journée du fœtus ». Autre mesure, la fin du ministère de la Parité, dont les compétences seraient regroupées avec le Sport ou la Jeunesse. « Ils mettent ensemble des choses qui n’ont rien à voir entre elles. C’est un risque d’invisibilisation des femmes. Et ça ne pose plus la question des droits des femmes », déplore la militante pour qui la droite italienne « a toujours eu, pour les femmes, un comportement néopatriarcal et ne s’est jamais préoccupée de leurs droits ».
Les personnes LGBT sont elles aussi visées par le discours réactionnaire. En 2016, Giorgia Meloni s’était illustrée par un vote contre la reconnaissance des unions civiles pour les couples de même sexe.
Bon enfin c'est déjà le cas ..accoucher sous X et abandonner l'enfant qui sera adopté
Re: Italie. Giorgia Meloni forme son gouvernement et peaufine son programme antisoci
1Tout de suite le côté vénal..Mig a écrit:En plus si c'est contre de l'argent encore mieux ..une sorte de GPA quoiMina a écrit:L'adoption par un couple ne pouvant concevoir , plutôt qu'un avortement ?Kristobal a écrit:Italie. Giorgia Meloni forme son gouvernement et peaufine son programme antisocial.
La dirigeante d’extrême droite a présenté son gouvernement vendredi avant de prêter serment samedi. L’arrivée des héritiers du fascisme aux manettes présente un danger pour les droits des femmes et pourrait libérer les violences contre les migrants et les homosexuels.
Il s’agira du gouvernement le plus à droite de l’histoire de la République. Un gouvernement de régression sur le plan des droits. Au terme des consultations menées par le président de la République, Sergio Mattarella, avec les responsables des institutions et les forces politiques, Giorgia Meloni, dont le parti d’extrême droite, Frères d’Italie, est arrivé en tête des législatives, et a reçu dans le week-end le mandat de former le prochain exécutif italien. Elle dirige un gouvernement où figure en bonne place un autre parti d’extrême droite, la Ligue, mais aussi les amis de Silvio Berlusconi, même si celui-ci donne du fil à retordre à la leader postfasciste (lire notre encadré).
La fin du ministère de la Parité et l’entrave au droit à l’IVG
En Ligurie, les élus fréristes ont déposé une résolution afin que, dans tout établissement hospitalier ou dispensaire de santé où est pratiquée l’interruption volontaire de grossesse, des associations anti-IVG aient droit de cité avec un local. La cheffe de Frères d’Italie entretient la confusion. Elle déclare, certes, ne pas vouloir remettre en cause le droit à l’IVG ; mais elle développe un discours « provie » qui n’est pas sans effets politiques. L’objectif serait de « donner le choix » aux femmes de ne pas mettre fin à leur grossesse.
Dans les Marches, le long de la mer Adriatique, gouvernées par les amis de Giorgia Meloni, l’accès au droit à l’IVG est restreint, notamment pour ce qui concerne la pilule abortive, quasiment interdite. « Les dernières 48 heures sont inquiétantes », alerte Vittoria Tola, responsable de l’Union des femmes italiennes.
Le député berlusconien Maurizio Gasparri vient de présenter une proposition de loi qui accorde la personnalité juridique au fœtus et instaure une « journée du fœtus ». Autre mesure, la fin du ministère de la Parité, dont les compétences seraient regroupées avec le Sport ou la Jeunesse. « Ils mettent ensemble des choses qui n’ont rien à voir entre elles. C’est un risque d’invisibilisation des femmes. Et ça ne pose plus la question des droits des femmes », déplore la militante pour qui la droite italienne « a toujours eu, pour les femmes, un comportement néopatriarcal et ne s’est jamais préoccupée de leurs droits ».
Les personnes LGBT sont elles aussi visées par le discours réactionnaire. En 2016, Giorgia Meloni s’était illustrée par un vote contre la reconnaissance des unions civiles pour les couples de même sexe.
Bon enfin c'est déjà le cas ..accoucher sous X et abandonner l'enfant qui sera adopté
2c'est de moins en moins le cas puisque les femmes avortent..
Re: Italie. Giorgia Meloni forme son gouvernement et peaufine son programme antisoci
Giorgia.... une chance pour l'Itatie......
ça change des propos de Hollande ...".l'Islam...une chance pour la France"
Tiens en parlant d'Islam,le seul Imam normalement constitué en France ,celui de la grande Mosquée de Drancy , les barbus veulent le tuer ......quelle époque.....sans parler de l'autre con ,qui remet "l'Islam de France" sur le tapis" si j'ose dire......... pauvre de nous...
ça change des propos de Hollande ...".l'Islam...une chance pour la France"
Tiens en parlant d'Islam,le seul Imam normalement constitué en France ,celui de la grande Mosquée de Drancy , les barbus veulent le tuer ......quelle époque.....sans parler de l'autre con ,qui remet "l'Islam de France" sur le tapis" si j'ose dire......... pauvre de nous...
Re: Italie. Giorgia Meloni forme son gouvernement et peaufine son programme antisoci
Ben oui ...dommage ..sinon on pourrait encore voir plus d'annonces sur facebook ou ailleurs des personnes en recherche de ses parents biologiquesMina a écrit:1Tout de suite le côté vénal..Mig a écrit:En plus si c'est contre de l'argent encore mieux ..une sorte de GPA quoiMina a écrit:L'adoption par un couple ne pouvant concevoir , plutôt qu'un avortement ?Kristobal a écrit:Italie. Giorgia Meloni forme son gouvernement et peaufine son programme antisocial.
La dirigeante d’extrême droite a présenté son gouvernement vendredi avant de prêter serment samedi. L’arrivée des héritiers du fascisme aux manettes présente un danger pour les droits des femmes et pourrait libérer les violences contre les migrants et les homosexuels.
Il s’agira du gouvernement le plus à droite de l’histoire de la République. Un gouvernement de régression sur le plan des droits. Au terme des consultations menées par le président de la République, Sergio Mattarella, avec les responsables des institutions et les forces politiques, Giorgia Meloni, dont le parti d’extrême droite, Frères d’Italie, est arrivé en tête des législatives, et a reçu dans le week-end le mandat de former le prochain exécutif italien. Elle dirige un gouvernement où figure en bonne place un autre parti d’extrême droite, la Ligue, mais aussi les amis de Silvio Berlusconi, même si celui-ci donne du fil à retordre à la leader postfasciste (lire notre encadré).
La fin du ministère de la Parité et l’entrave au droit à l’IVG
En Ligurie, les élus fréristes ont déposé une résolution afin que, dans tout établissement hospitalier ou dispensaire de santé où est pratiquée l’interruption volontaire de grossesse, des associations anti-IVG aient droit de cité avec un local. La cheffe de Frères d’Italie entretient la confusion. Elle déclare, certes, ne pas vouloir remettre en cause le droit à l’IVG ; mais elle développe un discours « provie » qui n’est pas sans effets politiques. L’objectif serait de « donner le choix » aux femmes de ne pas mettre fin à leur grossesse.
Dans les Marches, le long de la mer Adriatique, gouvernées par les amis de Giorgia Meloni, l’accès au droit à l’IVG est restreint, notamment pour ce qui concerne la pilule abortive, quasiment interdite. « Les dernières 48 heures sont inquiétantes », alerte Vittoria Tola, responsable de l’Union des femmes italiennes.
Le député berlusconien Maurizio Gasparri vient de présenter une proposition de loi qui accorde la personnalité juridique au fœtus et instaure une « journée du fœtus ». Autre mesure, la fin du ministère de la Parité, dont les compétences seraient regroupées avec le Sport ou la Jeunesse. « Ils mettent ensemble des choses qui n’ont rien à voir entre elles. C’est un risque d’invisibilisation des femmes. Et ça ne pose plus la question des droits des femmes », déplore la militante pour qui la droite italienne « a toujours eu, pour les femmes, un comportement néopatriarcal et ne s’est jamais préoccupée de leurs droits ».
Les personnes LGBT sont elles aussi visées par le discours réactionnaire. En 2016, Giorgia Meloni s’était illustrée par un vote contre la reconnaissance des unions civiles pour les couples de même sexe.
Bon enfin c'est déjà le cas ..accoucher sous X et abandonner l'enfant qui sera adopté
2c[mark=yellow]'est de moins en moins le cas puisque les femmes avortent..[/mark]
Re: Italie. Giorgia Meloni forme son gouvernement et peaufine son programme antisoci
Il paraît que les gouvernements ne tiennent pas longtemps en Italie
Re: Italie. Giorgia Meloni forme son gouvernement et peaufine son programme antisoci
Le tableau en Europe ?
L’Italie rejoint ainsi la Hongrie et la Pologne, les deux seuls pays de l’UE où l’extrême droite dirige pour l’heure le gouvernement. En Hongrie, le Fidesz de Viktor Orbán est à la tête du pays depuis 2010. En avril 2022, le Premier ministre a été reconduit pour un quatrième mandat consécutif. Du côté de la Pologne, c’est le parti Droit et justice (PiS) qui gouverne depuis 2015. A compter de cette année et jusqu’en 2017, Beata Szydło menait l’exécutif, puis Mateusz Morawiecki lui a succédé jusqu’à maintenant. Le président de la République polonaise Andrzej Duda est également issu du parti ultraconservateur.
L’Italie rejoint ainsi la Hongrie et la Pologne, les deux seuls pays de l’UE où l’extrême droite dirige pour l’heure le gouvernement. En Hongrie, le Fidesz de Viktor Orbán est à la tête du pays depuis 2010. En avril 2022, le Premier ministre a été reconduit pour un quatrième mandat consécutif. Du côté de la Pologne, c’est le parti Droit et justice (PiS) qui gouverne depuis 2015. A compter de cette année et jusqu’en 2017, Beata Szydło menait l’exécutif, puis Mateusz Morawiecki lui a succédé jusqu’à maintenant. Le président de la République polonaise Andrzej Duda est également issu du parti ultraconservateur.
Re: Italie. Giorgia Meloni forme son gouvernement et peaufine son programme antisoci
Oh que tu es gentil... alors c'est pour éviter d'encombrer facebook ,les avortements ?(comme si tu t'en souciais des personnes qui recherchent)Mig a écrit:Ben oui ...dommage ..sinon on pourrait encore voir plus d'annonces sur facebook ou ailleurs des personnes en recherche de ses parents biologiquesMina a écrit:1Tout de suite le côté vénal..Mig a écrit:
En plus si c'est contre de l'argent encore mieux ..une sorte de GPA quoi
Bon enfin c'est déjà le cas ..accoucher sous X et abandonner l'enfant qui sera adopté
2c[mark=yellow]'est de moins en moins le cas puisque les femmes avortent..[/mark]
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