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Italie : 2000 personnes terrorisent la ville de Peschiera
Italie : 2000 personnes terrorisent la ville de Peschiera
par Invité...Ven 10 Juin 2022 - 11:28
C’est l’Afrique » : deux mille personnes agressent sexuellement des filles et font des ravages dans les villes italiennes au bord du lac
Stefano Montesi - Corbis/Corbis via Getty ImagesCHRIS TOMLINSON
7 juin 2022305
3:41
Une foule d’environ deux mille jeunes hommes, pour la plupart issus de l’immigration selon les rapports, a terrorisé des villes le long du lac de Garde dans le nord de l’Italie, avec des rapports de femmes agressées sexuellement, des vitrines brisées et des policiers attaqués.
Les incidents ont eu lieu jeudi dernier entre les villes de Peschiera et Castelnuovo le long du lac de Garde et ont vu la foule de jeunes, pour la plupart âgés de 16 à 20 ans, dont certains n’avaient que 12 ans, harceler et causer des ravages. Certains auraient crié pendant le saccage : « Nous sommes venus reconquérir Peschiera. C’est notre territoire, l’Afrique doit venir ici. »
Le maire de Castelnuovo, Giovanni Del Cero, était présent lors de l’émeute et a déclaré: « J’ai essayé de comprendre, mais ils ont crié des phrases absurdes, agitant des drapeaux de divers pays africains », rapporte le journal Corriere Della Sera.
Le journal italien Il Gionale cite des témoins affirmant que la foule était « pour la plupart nord-africaine » et
Un groupe d’environ 600 personnes a parcouru la région vers 13 heures, mais la situation est devenue incontrôlable après qu’un autre groupe d’environ 1 500 personnes soit arrivé au lac de Garde en train en provenance de Milan.
À la suite d’un vol, la foule a commencé à se bagarrer avec des bâtons et des couteaux, puis a commencé à saccager des entreprises le long du front de mer avec des bouteilles et des pierres jetées. La police anti-émeute a été déployée et s’est heurtée à la foule.
Orietta Gaiulli, maire de Peschiera, a commenté le chaos en disant: « Je ne sais pas s’il s’agissait d’immigrants de première ou de deuxième génération. Ce n’est qu’une race de criminels qui ont laissé une blessure profonde dans ma communauté. Nous avons vécu une journée de guerre. »
La police italienne fouille 18 jeunes issus de l’immigration soupçonnés d’agressions sexuelles à Milan NYE https://t.co/ocswqPR97q
— Breitbart London (@BreitbartLondon) 13 janvier 2022
Six adolescentes, âgées de 16 à 17 ans, ont également signalé que des membres de la foule étaient montés à bord d’un train pour Milan et avaient été harcelés et agressés sexuellement par plusieurs jeunes hommes.
« Nous étions entourés. La chaleur suffoquait et certains d’entre nous se sont évanouis », a déclaré l’une des victimes, ajoutant qu’elles avaient été agressées sexuellement alors qu’elles essayaient de se déplacer vers un autre wagon de train et qu’on leur avait dit : « Les femmes blanches ne montent pas ici. »
Les attaques, qui font écho aux agressions sexuelles perpétrées à Milan
par de jeunes migrants et des hommes issus de l’immigration pendant le réveillon du Nouvel An, ont été condamnées par Luca Zaia, gouverneur de la région de Vénétie, qui a appelé à la tolérance zéro pour de tels comportements et a demandé à la police de trouver les responsables.
« L’idée ne doit pas passer que des événements comme ceux-ci peuvent devenir ordinaires ou même, pire encore, que nous pouvons nous y habituer. Nous ne nous sommes même jamais adaptés au fait de mettre des alarmes dans la maison et de penser à nous fermer à l’intérieur. Je le répète, tolérance zéro », a-t-il déclaré.
Selon un rapport du service de presse ANSA, au moins dix filles ont déclaré avoir été victimes d’agressions sexuelles, avec environ 30 jeunes hommes impliqués dans les attaques.
Le chef de la Ligue, Matteo Salvini, a répondu aux attaques en disant que les responsables devraient être punis, même si cela signifiait abaisser l’âge de la responsabilité pénale pour le faire et a fait valoir que son parti essayait de s’attaquer au problème des gangs d’adolescents, connus sous le nom de « Baby Gangs » en Italie, depuis des années.
L’incident est devenu un sujet de discussion majeur en Italie et les politiciens sur divers points du spectre politique ont cherché à répartir les responsabilités. Les militants de gauche, rapporte Il Giornale, se sont empressés de donner leur point de vue sur les événements, blâmant les hommes de droite pour la culture du viol existante et rejetant l’affirmation selon laquelle l’immigration pourrait avoir eu un impact sur les événements de la journée.
Invité- Invité
Re: Italie : 2000 personnes terrorisent la ville de Peschiera
par Invité...Ven 10 Juin 2022 - 11:38
Il y a deux dossiers ouverts par le parquet de Vérone sur les événements du 2 juin sur le lac de Garde. Un pour les bagarres et les dégâts lors de la rave sur la plage entre Castelnuovo et Peschiera del Garda convoquée sur Tik Tok et un pour le harcèlement subi par au moins cinq filles mineures dans le train régional qui est retourné à Milan. Il n’y a pas de suspects pour l’instant, mais une trentaine de très jeunes seraient dans la ligne de mire des enquêteurs, identifiés grâce aux nombreuses vidéos de ce jour-là postées sur les réseaux sociaux, aux images de surveillance (même si le convoi n’avait pas de caméras) et aux témoignages.
Les jeunes victimes, âgées de 16 et 17 ans, ont décrit certains des agresseurs qui les ont encerclées, insultées et tâtonnées dans la foule du train. Au total, ils ont enregistré dans les plaintes déposées auprès du Polfer à Milan, une centaine de garçons pour la plupart mineurs ou un peu plus âgés et « principalement des Nord-Africains ». Les provocateurs des émeutes au lac, où le Celere devait intervenir en tenue anti-émeute, seraient les mêmes que ceux qui ont pris d’assaut le convoi pour retourner à Milan. Et les Milanais ou les Lombards seraient les harceleurs. Il s’agirait de jeunes étrangers de deuxième génération. Le rassemblement hors-la-loi s’appelait « L’Afrique à Peschiera », beaucoup des 2 500 participants avaient des drapeaux de pays africains et « C’est l’Afrique, nous sommes venus conquérir Peschiera » était le cri adressé au maire de Castelnuovo del Garda, Giovanni Dal Cero, qui est intervenu lorsque la situation est devenue incontrôlable. Et ce n’est pas tout. Les adolescents harcelés ont rapporté des phrases telles que « les femmes blanches ne montent pas dans ce train ». Les victimes de la meute, qui revenaient d’un voyage à Gardaland, ont réussi à descendre à Desenzano grâce à l’aide d’un passager, également un jeune étranger.
Le maire de Peschiera, Orietta Gaiulli, avait déjà lancé une alarme le 30 mai pour d’éventuels problèmes d’ordre public dans les zones voisines après avoir vu des messages et des vidéos sociales annonçant la rave, a-t-il écrit dans une lettre au gouvernement, au préfet, au questeur et au commandant provincial des carabiniers de Vérone. Le maire demande maintenant « la démission de ceux qui n’ont pas écouté ma demande d’aide, une superficialité qui a provoqué les événements du 2 juin à Peschiera del Garda ».
Pendant ce temps, la controverse politique a lieu sur les événements de Garda. Après les remarques de certains représentants de centre-droit, avec Giorgia Meloni en tête, sur le silence ou le profil bas des féministes et la gauche sur le harcèlement du train. Michela Marzano, philosophe et professeur d’université, écrit dans Repubblica que « la violence est toujours inacceptable. Mais il y a un inévitable « mais ». Et qui sont les « principaux promoteurs » de la « culture du viol » ? Ceux qui (à droite bien sûr) ont sabordé le projet de loi Zan et fait de la « moralité » à gauche, « alimentant la haine et la violence ». La sénatrice du Parti démocrate Valeria Valente, présidente de la Commission des féminicides, ajoute : « Ce qui s’est passé est un fait très grave. Nous sommes proches des filles et de leurs familles », mais « ce qui m’indigne, c’est la spéculation politique » et « l’indignation de la propagande ». L’immigration « n’a pas grand-chose à voir avec cela », poursuit-il et demande d’approuver le « projet de loi visant à établir le crime de harcèlement sexuel, arrêté dans les commissions de la Justice et du Travail au Sénat ». Alors que Debora Serracchiani, dirigeante du Parti démocrate à la Chambre : « La violence à l’égard des femmes est inacceptable. Tout le temps. Peu importe qui l’exerce. Et la sénatrice dem Valeria Fedeli unit « l’histoire des Alpini et celle récente de Peschiera del Garda ». Puis : « La droite n’exploite pas la gravité de l’information à des fins électorales. » Le gouverneur de Vénétie, Luca Zaia, revient sur la condamnation sans benaltrismo à Tgr 24: « C’était une dévastation, c’étaient des actes délinquants qui doivent être punis sans si ni mais ». Il est nécessaire d'« abaisser le seuil d’âge pour la punition » et de sortir de l’idée que l’Italie est « devenue le Bengodi de l’impunité ».
Les jeunes victimes, âgées de 16 et 17 ans, ont décrit certains des agresseurs qui les ont encerclées, insultées et tâtonnées dans la foule du train. Au total, ils ont enregistré dans les plaintes déposées auprès du Polfer à Milan, une centaine de garçons pour la plupart mineurs ou un peu plus âgés et « principalement des Nord-Africains ». Les provocateurs des émeutes au lac, où le Celere devait intervenir en tenue anti-émeute, seraient les mêmes que ceux qui ont pris d’assaut le convoi pour retourner à Milan. Et les Milanais ou les Lombards seraient les harceleurs. Il s’agirait de jeunes étrangers de deuxième génération. Le rassemblement hors-la-loi s’appelait « L’Afrique à Peschiera », beaucoup des 2 500 participants avaient des drapeaux de pays africains et « C’est l’Afrique, nous sommes venus conquérir Peschiera » était le cri adressé au maire de Castelnuovo del Garda, Giovanni Dal Cero, qui est intervenu lorsque la situation est devenue incontrôlable. Et ce n’est pas tout. Les adolescents harcelés ont rapporté des phrases telles que « les femmes blanches ne montent pas dans ce train ». Les victimes de la meute, qui revenaient d’un voyage à Gardaland, ont réussi à descendre à Desenzano grâce à l’aide d’un passager, également un jeune étranger.
Le maire de Peschiera, Orietta Gaiulli, avait déjà lancé une alarme le 30 mai pour d’éventuels problèmes d’ordre public dans les zones voisines après avoir vu des messages et des vidéos sociales annonçant la rave, a-t-il écrit dans une lettre au gouvernement, au préfet, au questeur et au commandant provincial des carabiniers de Vérone. Le maire demande maintenant « la démission de ceux qui n’ont pas écouté ma demande d’aide, une superficialité qui a provoqué les événements du 2 juin à Peschiera del Garda ».
Pendant ce temps, la controverse politique a lieu sur les événements de Garda. Après les remarques de certains représentants de centre-droit, avec Giorgia Meloni en tête, sur le silence ou le profil bas des féministes et la gauche sur le harcèlement du train. Michela Marzano, philosophe et professeur d’université, écrit dans Repubblica que « la violence est toujours inacceptable. Mais il y a un inévitable « mais ». Et qui sont les « principaux promoteurs » de la « culture du viol » ? Ceux qui (à droite bien sûr) ont sabordé le projet de loi Zan et fait de la « moralité » à gauche, « alimentant la haine et la violence ». La sénatrice du Parti démocrate Valeria Valente, présidente de la Commission des féminicides, ajoute : « Ce qui s’est passé est un fait très grave. Nous sommes proches des filles et de leurs familles », mais « ce qui m’indigne, c’est la spéculation politique » et « l’indignation de la propagande ». L’immigration « n’a pas grand-chose à voir avec cela », poursuit-il et demande d’approuver le « projet de loi visant à établir le crime de harcèlement sexuel, arrêté dans les commissions de la Justice et du Travail au Sénat ». Alors que Debora Serracchiani, dirigeante du Parti démocrate à la Chambre : « La violence à l’égard des femmes est inacceptable. Tout le temps. Peu importe qui l’exerce. Et la sénatrice dem Valeria Fedeli unit « l’histoire des Alpini et celle récente de Peschiera del Garda ». Puis : « La droite n’exploite pas la gravité de l’information à des fins électorales. » Le gouverneur de Vénétie, Luca Zaia, revient sur la condamnation sans benaltrismo à Tgr 24: « C’était une dévastation, c’étaient des actes délinquants qui doivent être punis sans si ni mais ». Il est nécessaire d'« abaisser le seuil d’âge pour la punition » et de sortir de l’idée que l’Italie est « devenue le Bengodi de l’impunité ».
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Re: Italie : 2000 personnes terrorisent la ville de Peschiera
par Invité...Ven 10 Juin 2022 - 11:45
Partout en Europe ce genre de scènes se répète. Mais ce n'est qu'un "sentiment " pour les gouvernements bien protégés dans leurs tours d'ivoire!
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Re: Italie : 2000 personnes terrorisent la ville de Peschiera
par Invité...Ven 10 Juin 2022 - 12:52
Et pour la gauchiasserie !
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