MONDIAL DE FOOT AU QATAR.

[Invité]

Au Qatar, les conditions de travail confinent à l'esclavagisme.

Ce pays dans lequel la coupe du monde de football est prévue en 2022 reconnait 37 morts sur les chantiers dont 34 ne sont pas comptabilisés comme accidents du travail.

Stades, hôtels, aéroport et ville nouvelle sont sortis de terre en seulement 10 ans grâce à des milliers de travailleurs migrants pour lesquels l'eldorado, s'est transformé en enfer.

Selon le quotidien  britannique "The Guardian", 6 500 d'entre eux seraient morts depuis 2011. Tout simplement effroyable!!!!

Pas un mot de nos édiles lepenistes, ils préfèrent se lamenter et faire peur avec les 250 morts du terrorisme dans notre pays dans le même laps de temps.

Mais là, ce sont des travailleurs immigrés qui meurent alors, silence dans les rangs!!!

[Invité]

Tu n'as pas raison, je l'ai évoqué par le passé.

[Invité]

Tu n'as pas raison, je l'ai évoqué par le passé.

???

[Invité]

Tu n'as pas raison, je l'ai évoqué par le passé.

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Mais où ça  ? Tu as évoqué les conditions de travail proche de l'esclavagisme imposé à ces travailleurs  ?  Tu as dénoncé les morts  ?.
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[Invité]

Tu n'as pas raison, je l'ai évoqué par le passé.

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Mais où ça  ? Tu as évoqué les conditions de travail proche de l'esclavagisme imposé à ces travailleurs  ?  Tu as dénoncé les morts  ?.
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Tout à fait.

[Invité]

6 500 d'entre eux seraient morts depuis 2011.
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et les médias se taisent  !!!!

[Invité]

Tu n'as pas raison, je l'ai évoqué par le passé.

Et ça  ??



Au Qatar, plus de 34 000 plaintes pour salaire non versé


Mondial de football Une enquête de l’Organisation internationale du travail établit que les salaires non payés sont les principales causes de recours des travailleurs migrants exploités sur les chantiers des stades et autres grandes infrastructures de la pétromonarchie. Quand ils ont pu se pourvoir devant un tribunal...

Les victimes de l’esclavagisme mis en œuvre pour construire les stades et autres infrastructures de la Coupe du monde de football au Qatar se révoltent. Selon un rapport de l’Organisation internationale du travail (OIT), elles sont 34 425 à avoir porté plainte pour non-versement de leur salaire entre octobre 2021 et octobre 2022.
Toujours plus sur la défensive à mesure qu’approche le début de la compétition, le 20 novembre, et de l’afflux sur place d’une multitude de témoins potentiels et de journalistes, les autorités de la pétromonarchie ont dû lâcher un peu de lest en faisant, in extremis, quelques « réformes » sociales et juridiques. 
C’est dans cette brèche que se sont engouffrés certains ouvriers du Mondial pour recourir en justice, sachant que, pour ceux qui ont osé franchir le pas, le nombre réel de délits pratiqués par les groupes locaux du BTP doit forcément être démultiplié. «  Les principales causes des plaintes, relève l’OIT, concernent le non-paiement des salaires et des indemnités de fin de contrat, et les congés annuels non accordés ou non payés.  » 

L’organisation onusienne pointe elle-même l’ampleur cachée.

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