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Bonjour ~ Bonsoir
Re: Bonjour ~ Bonsoir
Mais si, mais pas sous cette appellation "PETITS PONEYS"Perle a écrit:connais pas cette bestioleNadja a écrit:On avait vu des poddoks ! ce que j'aimais c'était de voir les animaux en liberté !
Re: Bonjour ~ Bonsoir
ha voilà , il y en à plein au Parc qui traînent des petits dans leur charrette,Maréaction a écrit:Mais si, mais pas sous cette appellation "PETITS PONEYS"Perle a écrit:connais pas cette bestioleNadja a écrit:On avait vu des poddoks ! ce que j'aimais c'était de voir les animaux en liberté !
Re: Bonjour ~ Bonsoir
Perle a écrit:connais pas cette bestioleNadja a écrit:On avait vu des poddoks ! ce que j'aimais c'était de voir les animaux en liberté !
Normal. Ca s'appelle des pottoks. (prononcez potioc)
Re: Bonjour ~ Bonsoir
elle est sportive la minette
potioc , ok mais voilà
Le pottok est une race de poneys vivant principalement à l'ouest du Pays basque, dans les Pyrénées. D'origine très ancienne (probablement du Paléolithique), il présente des ressemblances morphologique avec les chevaux des peintures rupestres de la même région. Utilisé pendant des siècles par les habitants du Pays basque pour divers travaux d'agriculture, il fut également mis au travail dans les mines.
Re: Bonjour ~ Bonsoir
Le Pottok est Installé depuis des millénaires au Pays Basque.
Naturellement la morphologie du Pottok a évolué avec les conditions écologiques et historiques, mais personne ne conteste que le Pottok, après tant d‘années accroché aux montagnes du Pays Basque, constitue une race primitive locale.
Provenant, il y a un million d'années, d'Amérique du nord, passant par le pont naturel réunissant alors l'Alaska et la Sibérie, le cheval proche de celui de Prevalski s'établit d'abord en Asie puis émigre en Europe, alors qu'il disparaît complètement en Amérique.
Il s'installe dans les montagnes du Pays Basque et résiste au climat très perturbé des dernières glaciations de la fin du quaternaire. Les découvertes préhistoriques faites dans les grottes de Sare, d'Oxocelhaya, d'Isturitz représentent des chevaux d'un type proche du Pottok actuel. Naturellement sa morphologie a évolué avec les conditions écologiques et historiques, mais personne ne conteste le fait que le Pottok, après tant d'années accroché à nos montagnes, constitue une race primitive locale.
Les Basques eurent la sagesse de ne pas décimer les troupeaux de petits chevaux, comme cela se passa dans beaucoup d'autres régions ; au contraire ils l'exploitèrent avec d'autant plus de facilité que le pottok ne demandait aucun soin particulier : il suffisait de venir chercher dans la montagne les produits de l'année, généralement destinés à la boucherie.
Au 19ème siècle, on l'utilisait dans les mines de la région mais aussi dans celles du Nord et de l'Est de la France, car de petite taille, robuste et peu exigeant. Il fait partie de la culture basque et fût très utilisé dans la contrebande entre France et Espagne. Il fit rêver beaucoup d'enfants, lorsqu'il paradait dans les cirques avec sa belle robe pie. Aujourd'hui, chaque Pottok a son propriétaire et il est de tradition chez les éleveurs de donner au petit enfant une pouliche, qui procurera par la suite un petit pécule.
Ils vivent librement en horde d'une vingtaine de juments accompagnées de leur bel étalon sur les versants des massifs de la Rhune, de l'Artzamendi, du Baïgura et de l'Ursuya où ils participent à l'entretien de la montagne. D'autres sont élevés en prairie, destinés aux activités sportives et de loisirs.
Naturellement la morphologie du Pottok a évolué avec les conditions écologiques et historiques, mais personne ne conteste que le Pottok, après tant d‘années accroché aux montagnes du Pays Basque, constitue une race primitive locale.
Provenant, il y a un million d'années, d'Amérique du nord, passant par le pont naturel réunissant alors l'Alaska et la Sibérie, le cheval proche de celui de Prevalski s'établit d'abord en Asie puis émigre en Europe, alors qu'il disparaît complètement en Amérique.
Il s'installe dans les montagnes du Pays Basque et résiste au climat très perturbé des dernières glaciations de la fin du quaternaire. Les découvertes préhistoriques faites dans les grottes de Sare, d'Oxocelhaya, d'Isturitz représentent des chevaux d'un type proche du Pottok actuel. Naturellement sa morphologie a évolué avec les conditions écologiques et historiques, mais personne ne conteste le fait que le Pottok, après tant d'années accroché à nos montagnes, constitue une race primitive locale.
Les Basques eurent la sagesse de ne pas décimer les troupeaux de petits chevaux, comme cela se passa dans beaucoup d'autres régions ; au contraire ils l'exploitèrent avec d'autant plus de facilité que le pottok ne demandait aucun soin particulier : il suffisait de venir chercher dans la montagne les produits de l'année, généralement destinés à la boucherie.
Au 19ème siècle, on l'utilisait dans les mines de la région mais aussi dans celles du Nord et de l'Est de la France, car de petite taille, robuste et peu exigeant. Il fait partie de la culture basque et fût très utilisé dans la contrebande entre France et Espagne. Il fit rêver beaucoup d'enfants, lorsqu'il paradait dans les cirques avec sa belle robe pie. Aujourd'hui, chaque Pottok a son propriétaire et il est de tradition chez les éleveurs de donner au petit enfant une pouliche, qui procurera par la suite un petit pécule.
Ils vivent librement en horde d'une vingtaine de juments accompagnées de leur bel étalon sur les versants des massifs de la Rhune, de l'Artzamendi, du Baïgura et de l'Ursuya où ils participent à l'entretien de la montagne. D'autres sont élevés en prairie, destinés aux activités sportives et de loisirs.
Re: Bonjour ~ Bonsoir
Lors de la visite de la Rhune, nous en avions vu beaucoup! et pas sauvages du tout
Re: Bonjour ~ Bonsoir
Caïman13 a écrit:Heureusement qu'il n'y a pas pour les chevaux de ligue pour la mixité !
Je parie que ça vous tente, la réincarnation en étalon pottok.