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Le FN ne croit pas au retour de Marion Maréchal-Le Pen dans le combat politique
Re: Le FN ne croit pas au retour de Marion Maréchal-Le Pen dans le combat politique
Perle a écrit:elles ne seront jamais en rivalité !Caïman13 a écrit:Marion Maréchal Le Pen, dans une interview à Valeurs Actuelles annonce qu'elle est en passe de créer une Académie des Sciences Politiques.
Très intéressant et très malin !
Elle est certainement plus intelligente que sa tata...
elles fusionneront sur le fond !
faut pas oublier qu'elles sont très attachées l'une à l'autre
marine lui à servi de seconde MAMAN
Oui, sur ce plan tu as raison. Mais Marion est beaucoup plus intelligente sur tous les plans et surtout au point de vue politique. En créant cette école de formation d'élites économiques, elle va donner naissance aux futurs cadres de demain et cela, qui n'est pas politicien, est une excellente manière de reprendre pied dans le système, au nez et à la barbe de la "famille" !
Re: Le FN ne croit pas au retour de Marion Maréchal-Le Pen dans le combat politique
Marion Maréchal-Le Pen est inscrite dans une école publique jusqu'au CM1 :
y recevant des menaces de mort d'après son père, Samuel Maréchal, et sur les conseils d'une enseignante qui suggère de rejoindre l'enseignement privé, elle est ensuite inscrite à l'institution traditionaliste Saint-Pie-X deSaint-Cloud, qu'elle fréquente jusqu'à la cinquième2,15.
Elle juge cette expérience « fondamental[e] dans [son] apprentissage »2.
Elle y côtoie notamment Madeleine de Jessey16.
En parallèle de ses études, elle travaille en 2011 comme serveuse à l'hôtel Pershing Hall.
Son employeur la renvoie quand il découvre qu'elle est la petite-fille de Jean-Marie Le Pen17.
En 2012, elle obtient un master 1 en droit public à l'université Panthéon-Assas18,19.
Elle abandonne ensuite ses études pour se consacrer pleinement à sa fonction de députée20.
y recevant des menaces de mort d'après son père, Samuel Maréchal, et sur les conseils d'une enseignante qui suggère de rejoindre l'enseignement privé, elle est ensuite inscrite à l'institution traditionaliste Saint-Pie-X deSaint-Cloud, qu'elle fréquente jusqu'à la cinquième2,15.
Elle juge cette expérience « fondamental[e] dans [son] apprentissage »2.
Elle y côtoie notamment Madeleine de Jessey16.
En parallèle de ses études, elle travaille en 2011 comme serveuse à l'hôtel Pershing Hall.
Son employeur la renvoie quand il découvre qu'elle est la petite-fille de Jean-Marie Le Pen17.
En 2012, elle obtient un master 1 en droit public à l'université Panthéon-Assas18,19.
Elle abandonne ensuite ses études pour se consacrer pleinement à sa fonction de députée20.
Re: Le FN ne croit pas au retour de Marion Maréchal-Le Pen dans le combat politique
Débuts (2008-2012
Elle explique avoir été rapidement obligée de se politiser car étant identifiée « comme petite-fille de Jean-Marie Le Pen »26.Au lycée27, elle est d'abord proche de « certains milieux de jeunes UMP » et s'affirme « séduite par le personnage de Nicolas Sarkozy »28.
Après avoir été déçue par celui-ci28, elle adhère au Front national à l'âge de 18 ans18 et milite au Front national de la jeunesse (FNJ), alors dirigé par David Rachline29.
Marie-Christine Arnautu affirme que « si elle est revenue vers le Front national, ce n'est certainement pas sous l'impulsion de son père, de sa mère ou de son grand-père, ni même de ses amis :
c'est parce qu'elle-même a décidé que c'était là que ça devait se passer »27.
Elle entre en politique lors de l'élection municipale du 9 mars 2008 à Saint-Cloud, en se présentant en septième position sur la liste FN, qui obtient 6,3 % des voix30,31.
Lors des élections régionales de 2010, sollicitée par Marie-Christine Arnautu,
Marion Maréchal-Le Pen figure en deuxième position sur la liste du Front national dans les Yvelines32, en position non éligible26.
Elle explique alors y « faire ses classes » et se déclare proche de sa tante Marine Le Pen, qui n'est pas encore à la tête du parti32.
La liste menée en région Île-de-France par Marie-Christine Arnautu obtient 9,3 % des suffrages au premier tour33,34.
Re: Le FN ne croit pas au retour de Marion Maréchal-Le Pen dans le combat politique
À l'Assemblée nationale, elle siège en tant que députée non-inscrite53.
Elle est membre de lacommission des Affaires étrangères54,55.
Son assistant parlementaire spécialisé dans les médias et la communication est un ancien membre du « directoire » du Groupement de recherche et d'études pour la civilisation européenne (GRECE), ancien journaliste au mensuel Le Choc du mois et ancien militant RPR puis UMP56,57 ;
il travaille également auprès d'Aymeric Chauprade58. Ses deux autres assistants parlementaires sont Alexandre Heuzey (Paris) et Rémy Rayé (Carpentras) ; Victoria Dufour, ancienne trésorière du Groupe union défense à Lyon, a également été son assistante durant la première année de son mandat.
Elle a confié sa communication à une entreprise lyonnaise, Janus international, dirigée par des anciens de l'Action française57.
Elle vote pour certains textes gouvernementaux, comme la création du contrat de génération ou le projet de lutte contre la fraude fiscale59.
En 2013, dans le cadre du projet de loi retranscrivant des directives européennes en matière environnementale, elle dépose un amendement concernant les zones industrielles à risque classées Seveso, d’abord accepté et soutenu par le rapporteur PS du texte, Philippe Plisson, — une première pour Marion Maréchal-Le Pen — et finalement rejeté au sein de la commission du Développement durable et de l'Aménagement du territoire puis dans l’hémicycle, ce qui suscite une controverse60.
Elle signe ou cosigne une quinzaine de propositions de loi, dont une sur la reconnaissance du « génocide vendéen » en s'appuyant sur les travaux de l'historien Reynald Secher59,2.
Elle défend à l'Assemblée les fondamentaux du FN, comme la préférence nationale en matière de logement ou la suppression de l'Aide médicale d'État59.
Jean-Marie Pottier de Slate relève que « si le ton ou le vocabulaire sont souvent plus policés que ceux du grand-père, les interventions moins souvent interrompues
, elle ne recule pas devant les formules définitives » et se confronte plusieurs fois à Manuel Valls et Bernard Cazeneuve59.
Jérémy Collado de Slate souligne qu'elle est « connue du grand public pour ses interventions musclées à l'Assemblée nationale » et qu'elle « se lâche encore plus lorsqu'elle revient sur ses terres d'élection, pour séduire un électorat très marqué à droite »61.
Membre du groupe d'amitié France-Russie à l'Assemblée nationale, Marion Maréchal-Le Pen manifeste en commission un intérêt pour la question russe, critiquant notamment la non-livraison de deux frégates Mistral ou les sanctions commerciales contre la Russie, et se rend à plusieurs reprises en Russie à l'invitation des autorités (en décembre 2012, en octobre 2015 et en novembre 2016)59,62,63.
Elle indique qu'elle se rend régulièrement à l'ambassade de Russie, encouragée en ce sens par Marine Le Pen64. Le 22 janvier 2013, elle effectue une visite au Reichstag, à Berlin, à l'occasion des 50 ans du traité de l'Élysée, pour une rencontre entre les députés français et les députés allemands65.
En mars 2016, elle répond à l'invitation de la Ligue du Nord, parti populiste italien allié au FN au sein d'Europe des nations et des libertés, groupe politique du Parlement européen66.
En novembre 2016, elle se félicite de la victoire de Donald Trump à l'élection présidentielle américaine, en raison de son « refus de l'ingérence à l'étranger » et de son engagement « pour une politique qui serait moins belliqueuse, pour discuter et travailler avec la Russie »67.
Alors que Stephen Bannon, directeur de campagne puis conseiller en chef de Donald Trump à la Maison blanche, la qualifie d'« étoile montante » et annonce son intention d'ouvrir une antenne de son média Breitbart News en France, elle se dit prête à « travailler » avec celui-ci68.
Elle est membre de lacommission des Affaires étrangères54,55.
Son assistant parlementaire spécialisé dans les médias et la communication est un ancien membre du « directoire » du Groupement de recherche et d'études pour la civilisation européenne (GRECE), ancien journaliste au mensuel Le Choc du mois et ancien militant RPR puis UMP56,57 ;
il travaille également auprès d'Aymeric Chauprade58. Ses deux autres assistants parlementaires sont Alexandre Heuzey (Paris) et Rémy Rayé (Carpentras) ; Victoria Dufour, ancienne trésorière du Groupe union défense à Lyon, a également été son assistante durant la première année de son mandat.
Elle a confié sa communication à une entreprise lyonnaise, Janus international, dirigée par des anciens de l'Action française57.
Elle vote pour certains textes gouvernementaux, comme la création du contrat de génération ou le projet de lutte contre la fraude fiscale59.
En 2013, dans le cadre du projet de loi retranscrivant des directives européennes en matière environnementale, elle dépose un amendement concernant les zones industrielles à risque classées Seveso, d’abord accepté et soutenu par le rapporteur PS du texte, Philippe Plisson, — une première pour Marion Maréchal-Le Pen — et finalement rejeté au sein de la commission du Développement durable et de l'Aménagement du territoire puis dans l’hémicycle, ce qui suscite une controverse60.
Elle signe ou cosigne une quinzaine de propositions de loi, dont une sur la reconnaissance du « génocide vendéen » en s'appuyant sur les travaux de l'historien Reynald Secher59,2.
Elle défend à l'Assemblée les fondamentaux du FN, comme la préférence nationale en matière de logement ou la suppression de l'Aide médicale d'État59.
Jean-Marie Pottier de Slate relève que « si le ton ou le vocabulaire sont souvent plus policés que ceux du grand-père, les interventions moins souvent interrompues
, elle ne recule pas devant les formules définitives » et se confronte plusieurs fois à Manuel Valls et Bernard Cazeneuve59.
Jérémy Collado de Slate souligne qu'elle est « connue du grand public pour ses interventions musclées à l'Assemblée nationale » et qu'elle « se lâche encore plus lorsqu'elle revient sur ses terres d'élection, pour séduire un électorat très marqué à droite »61.
Membre du groupe d'amitié France-Russie à l'Assemblée nationale, Marion Maréchal-Le Pen manifeste en commission un intérêt pour la question russe, critiquant notamment la non-livraison de deux frégates Mistral ou les sanctions commerciales contre la Russie, et se rend à plusieurs reprises en Russie à l'invitation des autorités (en décembre 2012, en octobre 2015 et en novembre 2016)59,62,63.
Elle indique qu'elle se rend régulièrement à l'ambassade de Russie, encouragée en ce sens par Marine Le Pen64. Le 22 janvier 2013, elle effectue une visite au Reichstag, à Berlin, à l'occasion des 50 ans du traité de l'Élysée, pour une rencontre entre les députés français et les députés allemands65.
En mars 2016, elle répond à l'invitation de la Ligue du Nord, parti populiste italien allié au FN au sein d'Europe des nations et des libertés, groupe politique du Parlement européen66.
En novembre 2016, elle se félicite de la victoire de Donald Trump à l'élection présidentielle américaine, en raison de son « refus de l'ingérence à l'étranger » et de son engagement « pour une politique qui serait moins belliqueuse, pour discuter et travailler avec la Russie »67.
Alors que Stephen Bannon, directeur de campagne puis conseiller en chef de Donald Trump à la Maison blanche, la qualifie d'« étoile montante » et annonce son intention d'ouvrir une antenne de son média Breitbart News en France, elle se dit prête à « travailler » avec celui-ci68.
Re: Le FN ne croit pas au retour de Marion Maréchal-Le Pen dans le combat politique
En août 2015, Marion Maréchal-Le Pen est invitée à prendre la parole aux universités d’étéorganisées par l'Observatoire socio-politique du diocèse de Fréjus-Toulon et par la Province des dominicains de Toulouse à la Sainte-Baume (Var).
D'après l'hebdomadaire chrétien La Vie, c'est la première fois qu'« un élu du Front national de premier plan est invité à prendre la parole en tant que catholique lors d'une rencontre organisée par des représentants de l'Église »69.
Jean-Pierre Denis, directeur de la rédaction de La Vie, estime à ce sujet qu'« une digue a sauté » entre l'Église et le FN, tout en considérant « qu'une majorité des évêques français doit être hostile à ce dialogue »70.
De son côté, Jean-Michel Di Falco, évêque de Gap et d'Embrun, indique que « cette initiative ne [le] choque pas », tout en précisant qu'il « ne partage pas l’ensemble des idées de ce parti »71.
Pour le sociologue Philippe Portier, « cette invitation est le point d’aboutissement d’une réflexion menée depuis une dizaine d’années par les catholiques »72.
Élue dans un contexte de recomposition de la droite vauclusienne73, elle tente elle-même de prolonger ce processus à son profit74.
Ne souhaitant pas mener une liste aux élections municipales de 2014, elle opte pour une présence, en 10e position, sur la liste FN à Sorgues (Vaucluse) ;
la liste est devancée par celle du candidat UMP sortant, qui l'emporte au premier tour75.
Invitée en mai 2016 avec Louis Aliot et Gilbert Collard du Rendez-vous de Béziers, rassemblement de personnalités de droite et d'extrême droite organisé par Robert Ménard,
elle le quitte prématurément pour manifester son désaccord avec certains propos tenus à cette occasion sur son parti, notamment par le maire de Béziers76.
Elle destine sa réserve parlementaire à plusieurs chantiers dans sa circonscription, mais également à des communes situées en dehors de celle-ci et dirigées par le FN ou des alliés (Le Pontet, Camaret-sur-Aigues), contrairement à l'usage parlementaire77.
Après l'attentat du 14 juillet 2016 à Nice, elle annonce qu'elle rejoint la réserve opérationnelle, rappelée à cette occasion par l'exécutif, et appelle les « patriotes » à faire de même78.
En septembre 2016, elle dépose son dossier pour intégrer le 21e régiment d'infanterie de marine (RIMA) de Fréjus« parce que c'est une ancienne troupe coloniale et qu'il participe à de nombreuses opérations extérieures »79.
Mais, en février 2017, l'armée ne donne pas une suite favorable à sa demande alors que plusieurs parlementaires ont déjà rejoint les rangs de la réserve opérationnelle80.
D'après l'hebdomadaire chrétien La Vie, c'est la première fois qu'« un élu du Front national de premier plan est invité à prendre la parole en tant que catholique lors d'une rencontre organisée par des représentants de l'Église »69.
Jean-Pierre Denis, directeur de la rédaction de La Vie, estime à ce sujet qu'« une digue a sauté » entre l'Église et le FN, tout en considérant « qu'une majorité des évêques français doit être hostile à ce dialogue »70.
De son côté, Jean-Michel Di Falco, évêque de Gap et d'Embrun, indique que « cette initiative ne [le] choque pas », tout en précisant qu'il « ne partage pas l’ensemble des idées de ce parti »71.
Pour le sociologue Philippe Portier, « cette invitation est le point d’aboutissement d’une réflexion menée depuis une dizaine d’années par les catholiques »72.
Élue dans un contexte de recomposition de la droite vauclusienne73, elle tente elle-même de prolonger ce processus à son profit74.
Ne souhaitant pas mener une liste aux élections municipales de 2014, elle opte pour une présence, en 10e position, sur la liste FN à Sorgues (Vaucluse) ;
la liste est devancée par celle du candidat UMP sortant, qui l'emporte au premier tour75.
Invitée en mai 2016 avec Louis Aliot et Gilbert Collard du Rendez-vous de Béziers, rassemblement de personnalités de droite et d'extrême droite organisé par Robert Ménard,
elle le quitte prématurément pour manifester son désaccord avec certains propos tenus à cette occasion sur son parti, notamment par le maire de Béziers76.
Elle destine sa réserve parlementaire à plusieurs chantiers dans sa circonscription, mais également à des communes situées en dehors de celle-ci et dirigées par le FN ou des alliés (Le Pontet, Camaret-sur-Aigues), contrairement à l'usage parlementaire77.
Après l'attentat du 14 juillet 2016 à Nice, elle annonce qu'elle rejoint la réserve opérationnelle, rappelée à cette occasion par l'exécutif, et appelle les « patriotes » à faire de même78.
En septembre 2016, elle dépose son dossier pour intégrer le 21e régiment d'infanterie de marine (RIMA) de Fréjus« parce que c'est une ancienne troupe coloniale et qu'il participe à de nombreuses opérations extérieures »79.
Mais, en février 2017, l'armée ne donne pas une suite favorable à sa demande alors que plusieurs parlementaires ont déjà rejoint les rangs de la réserve opérationnelle80.
Re: Le FN ne croit pas au retour de Marion Maréchal-Le Pen dans le combat politique
Caïman13 a écrit:Perle a écrit:elles ne seront jamais en rivalité !Caïman13 a écrit:Marion Maréchal Le Pen, dans une interview à Valeurs Actuelles annonce qu'elle est en passe de créer une Académie des Sciences Politiques.
Très intéressant et très malin !
Elle est certainement plus intelligente que sa tata...
elles fusionneront sur le fond !
faut pas oublier qu'elles sont très attachées l'une à l'autre
marine lui à servi de seconde MAMAN
Oui, sur ce plan tu as raison. Mais Marion est beaucoup plus intelligente sur tous les plans et surtout au point de vue politique. En créant cette école de formation d'élites économiques, elle va donner naissance aux futurs cadres de demain et cela, qui n'est pas politicien, est une excellente manière de reprendre pied dans le système, au nez et à la barbe de la "famille" !
elles n'ont pas eu le même parcours !
une nouvelle génération qui voit les choses autrement
Marine à du supporter le poids de son Père , et le reste
une entreprise familiale est loin d'être simple .;
Marion sait s'en éloigner ..un gros travail est fait par Marine qui lui donne cette perspective
Re: Le FN ne croit pas au retour de Marion Maréchal-Le Pen dans le combat politique
Et son curé n'a pas engueulé cette catholique ..d'avoir consommé avant mariage ?Perle a écrit:Marion Maréchal-Le Pen se marie, le 29 juillet 2014 à Saint-Cloud, avec Matthieu Decosse, âgé de 30 ans, chef d'entreprise dans l'événementiel21.
Le 3 septembre suivant, elle accouche d'une fille, prénommée Olympe en hommage à Olympe de Gouges12,22.
Elle se sépare de Matthieu Decosse en 201623,24.
Re: Le FN ne croit pas au retour de Marion Maréchal-Le Pen dans le combat politique
Çà-ne-nous-regarde-pas !
Re: Le FN ne croit pas au retour de Marion Maréchal-Le Pen dans le combat politique
pour une fois d'accord avec le croco !