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Bien être , et lucidité
Bien être , et lucidité
...efficacement contre la déchéance physique et intellectuelle qui touche beaucoup de nos cons citoyens virtuels !
Pour enrichir notre prestance,
dans la bienséance,
et dans la bienveillance,
créons des échéances.
Avec persévérance.
pour aborder une alliance,
dans une bonne ambiance,
en conscience et en cadence.
Avec clairvoyance et sans voyance,
au cours de nos bombances,
dense, et danses sans décadence,
et croustillance sans défaillance.
Avec efficience et expérience,
nous créerons des faïences,
flamboyance dans l'indépendance,
sans impatience, sans influence.
Sans gluance, sans l'inélégance
des pédants de l'impédance,
loin des insouciances des malveillances,
de suffisances des pharmacodépendances.
Les nuances de notre patience,
la pétillance et la résilience,
de nos saillances, de nos vaillances,
seront les variances du succès de nos séances.
Pour enrichir notre prestance,
dans la bienséance,
et dans la bienveillance,
créons des échéances.
Avec persévérance.
pour aborder une alliance,
dans une bonne ambiance,
en conscience et en cadence.
Avec clairvoyance et sans voyance,
au cours de nos bombances,
dense, et danses sans décadence,
et croustillance sans défaillance.
Avec efficience et expérience,
nous créerons des faïences,
flamboyance dans l'indépendance,
sans impatience, sans influence.
Sans gluance, sans l'inélégance
des pédants de l'impédance,
loin des insouciances des malveillances,
de suffisances des pharmacodépendances.
Les nuances de notre patience,
la pétillance et la résilience,
de nos saillances, de nos vaillances,
seront les variances du succès de nos séances.
Re: Bien être , et lucidité
C'est l'histoire d'un Lol !
Il était une fois une belle d'entre les sexe-symboles,
Qui recherchait une sorte d'homme genre couille-molle,
Et pour séduire assurément et vite fait le naïf mariole,
Lui joua avec art et hardiesse l'air de la belle gaudriole.
Sur un air joyeux et entraînant de negro-spirituôl,
Elle lui fît l'obole d'une belle farandole créole,
de la zik, de belles guibolles, et de belles paroles,
une allégorie de bravades et de paraboles un peu folles.
En quelques babioles et quelques rondes avec yoles,
la tignole entortille et attire le trop mol spermiole,
de la bestiole diurne elle fit une belle luciole,
qui se mit vite à la colle avec du bol au bout du col.
Vint le temps espéré du béni-oui-oui des idoles,
celui où l'on ne prend jamais de torgnoles,
la belle et ses atouts est attirante comme un laguiole,
paradant, se pavanant, elle caracole en tête de gondole.
D'abord, elle le laissa volontiers s'amuser avec ses auréoles
stimulant de la taillole et des épaules la tête à popaul,
enivrant le troublant séduisant d'un éclatant « quel thymol »,
l'étourdissant de fumets suaves et capiteux pour son envol.
Puis, vint le cycle odieux des céphalées et du paracétamol,
où elle astique ses alvéoles en préférant le valium à l'homme,
il fût aussitôt assimilé à la variole et à la petite vérole,
c'est comme ça que l'amant s'étiole et devient une tafiole.
Survint ensuite le temps du vitriol qui le laissa sans aréoles,
depuis, il se gondole péniblement sur ses pauvres guibolles,
il sombra sans désir évident mais avec espoir dans l'alcool,
aujourd'hui on peut voir qu'il est bien conservé dans le formol.
Quant à la belle conquise elle poursuit certes ! avec bémol,
sirène son répertoire de chants mélodieux, son meilleur rôle,
pour ceux qui aiment le chant suave du martinet et du rossignol,,
leur ouvrant les grands bras accueillants de sa camisole !
Il était une fois une belle d'entre les sexe-symboles,
Qui recherchait une sorte d'homme genre couille-molle,
Et pour séduire assurément et vite fait le naïf mariole,
Lui joua avec art et hardiesse l'air de la belle gaudriole.
Sur un air joyeux et entraînant de negro-spirituôl,
Elle lui fît l'obole d'une belle farandole créole,
de la zik, de belles guibolles, et de belles paroles,
une allégorie de bravades et de paraboles un peu folles.
En quelques babioles et quelques rondes avec yoles,
la tignole entortille et attire le trop mol spermiole,
de la bestiole diurne elle fit une belle luciole,
qui se mit vite à la colle avec du bol au bout du col.
Vint le temps espéré du béni-oui-oui des idoles,
celui où l'on ne prend jamais de torgnoles,
la belle et ses atouts est attirante comme un laguiole,
paradant, se pavanant, elle caracole en tête de gondole.
D'abord, elle le laissa volontiers s'amuser avec ses auréoles
stimulant de la taillole et des épaules la tête à popaul,
enivrant le troublant séduisant d'un éclatant « quel thymol »,
l'étourdissant de fumets suaves et capiteux pour son envol.
Puis, vint le cycle odieux des céphalées et du paracétamol,
où elle astique ses alvéoles en préférant le valium à l'homme,
il fût aussitôt assimilé à la variole et à la petite vérole,
c'est comme ça que l'amant s'étiole et devient une tafiole.
Survint ensuite le temps du vitriol qui le laissa sans aréoles,
depuis, il se gondole péniblement sur ses pauvres guibolles,
il sombra sans désir évident mais avec espoir dans l'alcool,
aujourd'hui on peut voir qu'il est bien conservé dans le formol.
Quant à la belle conquise elle poursuit certes ! avec bémol,
sirène son répertoire de chants mélodieux, son meilleur rôle,
pour ceux qui aiment le chant suave du martinet et du rossignol,,
leur ouvrant les grands bras accueillants de sa camisole !
Re: Bien être , et lucidité
On dirait du Renaud, dans sa chanson en Sol mineur :-)
Andy Warhol à la Coupole
Peint les gambettes de Mistinguett.
Il les dessine, très longilignes,
Leur donne la forme du cou d'un cygne.
Lewis Carrol, à la Coupole,
Parle de fillettes en salopettes.
Il les devine, vêtues de jean's
Pleines de paillettes, sur les pommettes.
Elles me fascinent, toutes ces gamines,
Avec leurs mines de Marylin,
Sortant d'l'école, vers la Coupole,
Elles caracolent, et elles racolent.
Quand vient le soir, j'aime aller boire
Un verre d'alcool à la Coupole
Pour faire du gringue à toutes ces dingues,
À toutes ces folles, bien trop frivoles.
Toutes les idoles, de la Coupole,
Les midinettes, les gigolettes,
Les carolines en crinolines,
Ne sont en fait que des starlettes.
Andy Warhol à la Coupole
Peint les gambettes de Mistinguett.
Il les dessine, très longilignes,
Leur donne la forme du cou d'un cygne.
Lewis Carrol, à la Coupole,
Parle de fillettes en salopettes.
Il les devine, vêtues de jean's
Pleines de paillettes, sur les pommettes.
Elles me fascinent, toutes ces gamines,
Avec leurs mines de Marylin,
Sortant d'l'école, vers la Coupole,
Elles caracolent, et elles racolent.
Quand vient le soir, j'aime aller boire
Un verre d'alcool à la Coupole
Pour faire du gringue à toutes ces dingues,
À toutes ces folles, bien trop frivoles.
Toutes les idoles, de la Coupole,
Les midinettes, les gigolettes,
Les carolines en crinolines,
Ne sont en fait que des starlettes.
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