Le sexe des anges !

[Invité]

Mais quel est donc le sexe des anges ?

Cette histoire me fut contée par ma sœur Anne, la pauvrette qui ne voyait que la route qui poudroie et la prairie qui verdoie, assistée par messieurs Mathieu, Jean et Luc évangélistes qui opinent.

Un jour que l’on peut supposer beau, il y a de cela deux mille six ans et des poussières, un ange du ciel nommé Gabriel – spécialiste des missions à longue distance visita une jeune vierge galiléenne, Marie. Cette intéressante jeune personne descendante d’Abraham à la quarantième génération, était fiancée à Joseph honnête, travailleur et chaste. Il n’était, malheureusement pas chrétien mais juif et très pieux.

Cet ange dont nous ignorons le sexe, le concile de Trente (1545-1543) n’ayant pu, en l’absence de preuves testimoniales suffisamment probantes, le déterminer, visita donc cette jeune vierge juive.

C’était à Nazareth, un joli petit coin de Palestine situé en haut à droite à 33° et quelques de latitude nord et pas loin de 36° de longitude est. Quand vous quittez Greenwich, vous descendez un bon bout, vous passez par Rome, c’est obligatoire, tous les chemins y passant et prenez à gauche. C’est tout droit, juste passé le coin. Vous y êtes. Si vous ne trouvez pas demandez au plus proche bistrot.

Jahvé avait, d’un index négligeant ( à quoi tiennent les choses et les destinées), pointé sur son globe terrestre, un endroit où envoyer son ange messager. Il restait à répéter l’opération dans l’annuaire du lieu. Ce fut fait. Gabriel se retrouva à Nazareth, face à la gare. S’apprêtant à heurter l’huis d’une maison de modeste mais belle apparence.

C’étant, pour cette occurrence, un ange cela se remarque dans une si petite ville où chacun se connaît, déguisé en facteur des postes et télégrammes. La casquette coquettement inclinée sur ses cheveux blonds, les ailes soigneusement repliées sous sa tunique marquée au col du cor de postillon. Il frappa la porte d’un index replié.

C’était au seize bis, face à la gare. Du balcon une voix aux doux accents, aussi mélodieuse que juvénile, s’enquit : C’est pourquoi ? Nous n’achetons rien dans la rue.

C’est un pli recommandé madame.

Mon Jahvé !dit la voix, sont-ce de mauvaises nouvelles de ma mère-grand ?

Tirez, facteur, la bobinette la portière cherra ! Gabriel tira la bobinette et la portière chue.

Êtes-vous Marie, fille de Joachim et d’Anne conçue sans péché, par hasard ?

Marie, une main tremblante mais soignée, pressée sur son sein virginal, répondit d’une voix à peine audible, tant était forte son émotion : je suis effectivement Marie fille d’Anne et de Joachim, mais pas par hasard.

J’ai pour vous un message du Très Haut dit le jeune facteur.

Marie arbora sur son délicieux visage un sourire lumineux.
Elle avait la dent belle et la lèvre purpurine. Entrez, facteur, dit-elle. Vous prendrez bien une petite goutte de péquet, ça vous réchauffera ?
Jamais en service dit Gabriel, mais le fond de l’air est frais pour la saison, va pour une petite goutte, un doigt, sans glaçon s’il vous plait.

Puis il dit :
Je te salue, toi à qui une grâce à été faite, le Seigneur est avec toi, tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici, tu tomberas enceinte, tu enfanteras un fils et tu l’appelleras du nom de Jésus. Il sera grand et sera appelé Fils du Très Haut et le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David.

Marie dit à l’ange, qu’elle prenait toujours pour un facteur des postes et télégrammes. Comment cela se produira t'il puisque je ne connais pas d’homme (sa maman lui avait appris l’histoire de la fleur et du papillon).

Gabriel lui répondit: Le Saint Esprit viendra sur toi et la puissance du Très Haut te couvrira de son ombre. C’est pourquoi le saint enfant qui naîtra sera appelé fils de Dieu. Voilà dit-il encore en lui présentant son carnet : Signez ici. Marie fit une croix (c’était prémonitoire) et rendit le carnet.

Elle fut, comme prédit, enceinte. Était-ce vraiment des œuvres du Saint Esprit ou, Gabriel jouant le rôle du plombier dans les histoires lestes, a-t-il engrossé la petite ? En ce cas nous saurions que les anges ont un sexe. L’histoire sainte est muette sur ce point.

Joseph s’étant soigneusement gardé des œuvres de la chair en vue de son mariage avec Marie, ne peut être soupçonné d’avoir mis un polichinelle dans le tiroir de sa promise. Ayant les idées larges et l’âme bonne, il fut fort étonné mais accepta avec philosophie la situation suivant en cela les conseils avisés d’un ange lui apparut en songe et accepta de bon cœur sa paternité putative.

En l’absence de documents probants, il nous faut accepter l’histoire telle que nous la rapporte messieurs Mathieu, Luc et Jean, apôtres de leur état.

[Invité]

Joli :-)

[Invité]

tu parles ! la cochonne !

[Invité]

Mais quel est donc le sexe des anges ?

Cette histoire me fut contée par ma sœur Anne, la pauvrette qui ne voyait que la route qui poudroie et la prairie qui verdoie, assistée par messieurs Mathieu, Jean et Luc évangélistes qui opinent.

Un jour que l’on peut supposer beau, il y a de cela deux mille six ans et des poussières, un ange du ciel nommé Gabriel – spécialiste des missions à longue distance visita une jeune vierge galiléenne, Marie. Cette intéressante jeune personne descendante d’Abraham à la quarantième génération, était fiancée à Joseph honnête, travailleur et chaste. Il n’était, malheureusement pas chrétien mais juif et très pieux.

Cet ange dont nous ignorons le sexe, le concile de Trente (1545-1543) n’ayant pu, en l’absence de preuves testimoniales suffisamment probantes, le déterminer, visita donc cette jeune vierge juive.

C’était à Nazareth, un joli petit coin de Palestine situé en haut à droite à 33° et quelques de latitude nord et pas loin de 36° de longitude est. Quand vous quittez Greenwich, vous descendez un bon bout, vous passez par Rome, c’est obligatoire, tous les chemins y passant et prenez à gauche. C’est tout droit, juste passé le coin. Vous y êtes. Si vous ne trouvez pas demandez au plus proche bistrot.

Jahvé avait, d’un index négligeant ( à quoi tiennent les choses et les destinées), pointé sur son globe terrestre, un endroit où envoyer son ange messager. Il restait à répéter l’opération dans l’annuaire du lieu. Ce fut fait. Gabriel se retrouva à Nazareth, face à la gare. S’apprêtant à heurter l’huis d’une maison de modeste mais belle apparence.

C’étant, pour cette occurrence, un ange cela se remarque dans une si petite ville où chacun se connaît, déguisé en facteur des postes et télégrammes. La casquette coquettement inclinée sur ses cheveux blonds, les ailes soigneusement repliées sous sa tunique marquée au col du cor de postillon. Il frappa la porte d’un index replié.

C’était au seize bis, face à la gare. Du balcon une voix aux doux accents, aussi mélodieuse que juvénile, s’enquit : C’est pourquoi ? Nous n’achetons rien dans la rue.

C’est un pli recommandé madame.

Mon Jahvé !dit la voix, sont-ce de mauvaises nouvelles de ma mère-grand ?

Tirez, facteur, la bobinette la portière cherra ! Gabriel tira la bobinette et la portière chue.

Êtes-vous Marie, fille de Joachim et d’Anne conçue sans péché, par hasard ?

Marie, une main tremblante mais soignée, pressée sur son sein virginal, répondit d’une voix à peine audible, tant était forte son émotion : je suis effectivement Marie fille d’Anne et de Joachim, mais pas par hasard.

J’ai pour vous un message du Très Haut dit le jeune facteur.

Marie arbora sur son délicieux visage un sourire lumineux.
Elle avait la dent belle et la lèvre purpurine. Entrez, facteur, dit-elle. Vous prendrez bien une petite goutte de péquet, ça vous réchauffera ?
Jamais en service dit Gabriel, mais le fond de l’air est frais pour la saison, va pour une petite goutte, un doigt, sans glaçon s’il vous plait.

Puis il dit :
Je te salue, toi à qui une grâce à été faite, le Seigneur est avec toi, tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici, tu tomberas enceinte, tu enfanteras un fils et tu l’appelleras du nom de Jésus. Il sera grand et sera appelé Fils du Très Haut et le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David.

Marie dit à l’ange, qu’elle prenait toujours pour un facteur des postes et télégrammes. Comment cela se produira t'il puisque je ne connais pas d’homme (sa maman lui avait appris l’histoire de la fleur et du papillon).

Gabriel lui répondit: Le Saint Esprit viendra sur toi et la puissance du Très Haut te couvrira de son ombre. C’est pourquoi le saint enfant qui naîtra sera appelé fils de Dieu. Voilà dit-il encore en lui présentant son carnet : Signez ici. Marie fit une croix (c’était prémonitoire) et rendit le carnet.

Elle fut, comme prédit, enceinte. Était-ce vraiment des œuvres du Saint Esprit ou, Gabriel jouant le rôle du plombier dans les histoires lestes, a-t-il engrossé la petite ? En ce cas nous saurions que les anges ont un sexe. L’histoire sainte est muette sur ce point.

Joseph s’étant soigneusement gardé des œuvres de la chair en vue de son mariage avec Marie, ne peut être soupçonné d’avoir mis un polichinelle dans le tiroir de sa promise. Ayant les idées larges et l’âme bonne, il fut fort étonné mais accepta avec philosophie la situation suivant en cela les conseils avisés d’un ange lui apparut en songe et accepta de bon cœur sa paternité putative.

En l’absence de documents probants, il nous faut accepter l’histoire telle que nous la rapporte messieurs Mathieu, Luc et Jean, apôtres de leur état.

ouais mais Marie a qd même eu la trouille un moment en se demandant si le Joseph allait gober ça ou lui filer la trempe de sa vie
et pis oui ça a marché, et marche encore un peu longtemps après

[Mig]

Mais quel est donc le sexe des anges ?

Cette histoire me fut contée par ma sœur Anne, la pauvrette qui ne voyait que la route qui poudroie et la prairie qui verdoie, assistée par messieurs Mathieu, Jean et Luc évangélistes qui opinent.

Un jour que l’on peut supposer beau, il y a de cela deux mille six ans et des poussières, un ange du ciel nommé Gabriel – spécialiste des missions à longue distance visita une jeune vierge galiléenne, Marie. Cette intéressante jeune personne descendante d’Abraham à la quarantième génération, était fiancée à Joseph honnête, travailleur et chaste. Il n’était, malheureusement pas chrétien mais juif et très pieux.

Cet ange dont nous ignorons le sexe, le concile de Trente (1545-1543) n’ayant pu, en l’absence de preuves testimoniales suffisamment probantes, le déterminer, visita donc cette jeune vierge juive.

C’était à Nazareth, un joli petit coin de Palestine situé en haut à droite à 33° et quelques de latitude nord et pas loin de 36° de longitude est. Quand vous quittez Greenwich, vous descendez un bon bout, vous passez par Rome, c’est obligatoire, tous les chemins y passant et prenez à gauche. C’est tout droit, juste passé le coin. Vous y êtes. Si vous ne trouvez pas demandez au plus proche bistrot.

Jahvé avait, d’un index négligeant ( à quoi tiennent les choses et les destinées), pointé sur son globe terrestre, un endroit où envoyer son ange messager. Il restait à répéter l’opération dans l’annuaire du lieu. Ce fut fait. Gabriel se retrouva à Nazareth, face à la gare. S’apprêtant à heurter l’huis d’une maison de modeste mais belle apparence.

C’étant, pour cette occurrence, un ange cela se remarque dans une si petite ville où chacun se connaît, déguisé en facteur des postes et télégrammes. La casquette coquettement inclinée sur ses cheveux blonds, les ailes soigneusement repliées sous sa tunique marquée au col du cor de postillon. Il frappa la porte d’un index replié.

C’était au seize bis, face à la gare. Du balcon une voix aux doux accents, aussi mélodieuse que juvénile, s’enquit : C’est pourquoi ? Nous n’achetons rien dans la rue.

C’est un pli recommandé madame.

Mon Jahvé !dit la voix, sont-ce de mauvaises nouvelles de ma mère-grand ?

Tirez, facteur, la bobinette la portière cherra ! Gabriel tira la bobinette et la portière chue.

Êtes-vous Marie, fille de Joachim et d’Anne conçue sans péché, par hasard ?

Marie, une main tremblante mais soignée, pressée sur son sein virginal, répondit d’une voix à peine audible, tant était forte son émotion : je suis effectivement Marie fille d’Anne et de Joachim, mais pas par hasard.

J’ai pour vous un message du Très Haut dit le jeune facteur.

Marie arbora sur son délicieux visage un sourire lumineux.
Elle avait la dent belle et la lèvre purpurine. Entrez, facteur, dit-elle. Vous prendrez bien une petite goutte de péquet, ça vous réchauffera ?
Jamais en service dit Gabriel, mais le fond de l’air est frais pour la saison, va pour une petite goutte, un doigt, sans glaçon s’il vous plait.

Puis il dit :
Je te salue, toi à qui une grâce à été faite, le Seigneur est avec toi, tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici, tu tomberas enceinte, tu enfanteras un fils et tu l’appelleras du nom de Jésus. Il sera grand et sera appelé Fils du Très Haut et le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David.

Marie dit à l’ange, qu’elle prenait toujours pour un facteur des postes et télégrammes. Comment cela se produira t'il puisque je ne connais pas d’homme (sa maman lui avait appris l’histoire de la fleur et du papillon).

Gabriel lui répondit: Le Saint Esprit viendra sur toi et la puissance du Très Haut te couvrira de son ombre. C’est pourquoi le saint enfant qui naîtra sera appelé fils de Dieu. Voilà dit-il encore en lui présentant son carnet : Signez ici. Marie fit une croix (c’était prémonitoire) et rendit le carnet.

Elle fut, comme prédit, enceinte. Était-ce vraiment des œuvres du Saint Esprit ou, Gabriel jouant le rôle du plombier dans les histoires lestes, a-t-il engrossé la petite ? En ce cas nous saurions que les anges ont un sexe. L’histoire sainte est muette sur ce point.

Joseph s’étant soigneusement gardé des œuvres de la chair en vue de son mariage avec Marie, ne peut être soupçonné d’avoir mis un polichinelle dans le tiroir de sa promise. Ayant les idées larges et l’âme bonne, il fut fort étonné mais accepta avec philosophie la situation suivant en cela les conseils avisés d’un ange lui apparut en songe et accepta de bon cœur sa paternité putative.

En l’absence de documents probants, il nous faut accepter l’histoire telle que nous la rapporte messieurs Mathieu, Luc et Jean, apôtres de leur état.

ouais mais Marie a qd même eu la trouille un moment en se demandant si le Joseph allait gober ça ou lui filer la trempe de sa vie
et pis oui ça a marché, et marche encore un peu longtemps après

Je pense quand même qu'une histoire comme ça ..ça n'a marché qu'une fois ..sinon on aurait plein de petits Jésus..si on aurait berné chaque cocu avec une histoire de Jésus, de fils de Dieu

[Invité]

Mais quel est donc le sexe des anges ?

Cette histoire me fut contée par ma sœur Anne, la pauvrette qui ne voyait que la route qui poudroie et la prairie qui verdoie, assistée par messieurs Mathieu, Jean et Luc évangélistes qui opinent.

Un jour que l’on peut supposer beau, il y a de cela deux mille six ans et des poussières, un ange du ciel nommé Gabriel – spécialiste des missions à longue distance visita une jeune vierge galiléenne, Marie. Cette intéressante jeune personne descendante d’Abraham à la quarantième génération, était fiancée à Joseph honnête, travailleur et chaste. Il n’était, malheureusement pas chrétien mais juif et très pieux.

Cet ange dont nous ignorons le sexe, le concile de Trente (1545-1543) n’ayant pu, en l’absence de preuves testimoniales suffisamment probantes, le déterminer, visita donc cette jeune vierge juive.

C’était à Nazareth, un joli petit coin de Palestine situé en haut à droite à 33° et quelques de latitude nord et pas loin de 36° de longitude est. Quand vous quittez Greenwich, vous descendez un bon bout, vous passez par Rome, c’est obligatoire, tous les chemins y passant et prenez à gauche. C’est tout droit, juste passé le coin. Vous y êtes. Si vous ne trouvez pas demandez au plus proche bistrot.

Jahvé avait, d’un index négligeant ( à quoi tiennent les choses et les destinées), pointé sur son globe terrestre, un endroit où envoyer son ange messager. Il restait à répéter l’opération dans l’annuaire du lieu. Ce fut fait. Gabriel se retrouva à Nazareth, face à la gare. S’apprêtant à heurter l’huis d’une maison de modeste mais belle apparence.

C’étant, pour cette occurrence, un ange cela se remarque dans une si petite ville où chacun se connaît, déguisé en facteur des postes et télégrammes. La casquette coquettement inclinée sur ses cheveux blonds, les ailes soigneusement repliées sous sa tunique marquée au col du cor de postillon. Il frappa la porte d’un index replié.

C’était au seize bis, face à la gare. Du balcon une voix aux doux accents, aussi mélodieuse que juvénile, s’enquit : C’est pourquoi ? Nous n’achetons rien dans la rue.

C’est un pli recommandé madame.

Mon Jahvé !dit la voix, sont-ce de mauvaises nouvelles de ma mère-grand ?

Tirez, facteur, la bobinette la portière cherra ! Gabriel tira la bobinette et la portière chue.

Êtes-vous Marie, fille de Joachim et d’Anne conçue sans péché, par hasard ?

Marie, une main tremblante mais soignée, pressée sur son sein virginal, répondit d’une voix à peine audible, tant était forte son émotion : je suis effectivement Marie fille d’Anne et de Joachim, mais pas par hasard.

J’ai pour vous un message du Très Haut dit le jeune facteur.

Marie arbora sur son délicieux visage un sourire lumineux.
Elle avait la dent belle et la lèvre purpurine. Entrez, facteur, dit-elle. Vous prendrez bien une petite goutte de péquet, ça vous réchauffera ?
Jamais en service dit Gabriel, mais le fond de l’air est frais pour la saison, va pour une petite goutte, un doigt, sans glaçon s’il vous plait.

Puis il dit :
Je te salue, toi à qui une grâce à été faite, le Seigneur est avec toi, tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici, tu tomberas enceinte, tu enfanteras un fils et tu l’appelleras du nom de Jésus. Il sera grand et sera appelé Fils du Très Haut et le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David.

Marie dit à l’ange, qu’elle prenait toujours pour un facteur des postes et télégrammes. Comment cela se produira t'il puisque je ne connais pas d’homme (sa maman lui avait appris l’histoire de la fleur et du papillon).

Gabriel lui répondit: Le Saint Esprit viendra sur toi et la puissance du Très Haut te couvrira de son ombre. C’est pourquoi le saint enfant qui naîtra sera appelé fils de Dieu. Voilà dit-il encore en lui présentant son carnet : Signez ici. Marie fit une croix (c’était prémonitoire) et rendit le carnet.

Elle fut, comme prédit, enceinte. Était-ce vraiment des œuvres du Saint Esprit ou, Gabriel jouant le rôle du plombier dans les histoires lestes, a-t-il engrossé la petite ? En ce cas nous saurions que les anges ont un sexe. L’histoire sainte est muette sur ce point.

Joseph s’étant soigneusement gardé des œuvres de la chair en vue de son mariage avec Marie, ne peut être soupçonné d’avoir mis un polichinelle dans le tiroir de sa promise. Ayant les idées larges et l’âme bonne, il fut fort étonné mais accepta avec philosophie la situation suivant en cela les conseils avisés d’un ange lui apparut en songe et accepta de bon cœur sa paternité putative.

En l’absence de documents probants, il nous faut accepter l’histoire telle que nous la rapporte messieurs Mathieu, Luc et Jean, apôtres de leur état.

ouais mais Marie a qd même eu la trouille un moment en se demandant si le Joseph allait gober ça ou lui filer la trempe de sa vie
et pis oui ça a marché, et marche encore un peu longtemps après

Je pense quand même qu'une histoire comme ça ..ça n'a marché qu'une fois ..sinon on aurait plein de petits Jésus..si on aurait berné chaque cocu avec une histoire de Jésus, de fils de Dieu

ben oui c comme le fusil à 1 c oup:après les cocus se méfient