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Quand ?
Quand ?
Donald Trump sera destitué, mais quand?
Carlos Barria / Reuters
Le Président des Etats-Unis Donald Trump lors d'une cérémonie au Pentagone durant laquelle le nouveau secrétaire à la Défense James Mattis a prêté serment, le 27 janvier 2017.
Donald Trump tente de gouverner de manière impulsive, sur des coups de tête, par animosité personnelle, dans son propre intérêt et par décret... comme s'il était dictateur. Mais ça ne fonctionne pas, et il va déjà droit dans le mur au bout d'une semaine!
Les appels à sa destitution se multiplient parce que c'est le seul moyen de se débarrasser de lui, parce que beaucoup de Républicains sont en train de l'abandonner, parce que cet homme est psychologiquement incapable de s'assurer de la légalité des choses avant de les faire, et parce qu'il est de plus en plus évident qu'il n'est absolument pas qualifié pour diriger le pays.
Les adultes qui l'entourent, même les plus serviles, passent le plus clair de leur temps à tenter de réfréner ses ardeurs, mais c'est tout simplement impossible. Le reste du temps, ils répondent aux coups de fil frénétiques des dirigeants républicains, du monde des affaires et des chefs d'Etat étrangers. Il a fait quoi??? Le pauvre Reince Priebus, chef de cabinet du président, évolue enfin dans les hautes sphères, mais il ne doit pas vraiment s'amuser.
C'est une chose de vivre dans son monde quand on est candidat, et qu'on peut dire à peu près tout ce qui nous passe par la tête. En trompant suffisamment de personnes suffisamment de fois, on peut même parvenir à se faire élire. Mais quand on tente de gouverner ainsi, la réalité vous rappelle à l'ordre.
Donald Trump a édicté des décrets impulsifs, qui n'ont pas été évalués par des juristes, des experts gouvernementaux ni des responsables politiques, et n'ont fait l'objet d'aucune réflexion stratégique sérieuse. Le voilà presque aussitôt contraint de faire marche arrière en raison des pressions politiques et juridiques... et à cause du monde réel.
Contrairement à ce qui se passe dans les différentes dictatures qu'affectionne le président, l'écheveau de mesures de contrôles politiques et juridiques mis en place pour défendre la constitution et empêcher l'avènement d'un régime tyrannique aux Etats-Unis tient bon, dans l'ensemble. Plus il est irresponsable, plus ces mesures se renforcent.
C'est seulement parce qu'il a bêtement tenté de refouler certaines catégories de réfugiés (mais en laissant entrer ceux qui viennent de pays qui soutiennent le terrorisme, comme l'Arabie saoudite et l'Egypte, où il a investi à titre personnel) qu'il s'aperçoit aujourd'hui que les Etats-Unis ont des tribunaux. Des tribunaux, vous dis-je! Incroyable.
Plus il se montrera imprévisible, moins les juges conservateurs accepteront de servir la soupe aux Républicains, comme ils l'ont fait si souvent par le passé. De la même manière, il serait imprudent de penser que la Cour suprême validera sans sourciller ses décisions les plus controversées.
Depuis une semaine, les Républicains, connus et moins connus, s'empressent de se distancer des propos qu'il tient sur Vladimir Poutine, et tournent en ridicule ses soupçons infondés de fraude électorale massive.
Ils ne savent plus où se mettre quand il s'agit de liquider le programme de couverture sociale universelle, l'Obamacare, sans nuire aux patients ni à leurs propres espoirs de réélection. C'est une mesure complexe, et Donald Trump ne fait pas vraiment dans la nuance. Tom McClintock, représentant de la Californie, a résumé les inquiétudes de nombre de ses confrères: "Il va falloir assumer les mesures que nous allons mettre en place" suite à l'abrogation de la loi. "Nos adversaires appelleront ça le Trumpcare, et les Républicains seront jugés sur pièce lors des prochaines élections, qui auront lieu dans moins de deux ans."
Le sénateur Lindsey Graham n'a, quant à lui, pas hésité à se moquer des habitudes du président sur les réseaux sociaux, en qualifiant dans un tweet la guerre commerciale avec le Mexique de "mucho sad".
Même le cabinet de Donald Trump a dû l'empêcher de poursuivre sa croisade insensée contre les Mexicains, notamment lorsqu'il oblige le président du Mexique à annuler sa visite officielle, avant de le rappeler 24 heures plus tard pour se rabibocher.
Le président américain a aussi proposé de légaliser à nouveau la torture, mais les leaders républicains s'y sont opposés. John Thune, le sénateur républicain du Dakota du Sud, a ainsi déclaré mercredi 25 janvier que l'interdiction de recourir à la torture faisait jurisprudence, et que les Républicains au congrès s'opposeraient à tout retour en arrière. Un point de vue que partage le ministre de la Défense, pourtant nommé par Donald Trump. Après avoir claironné à qui voulait l'entendre que sa décision était prise, le président a docilement accepté de s'en remettre à ses conseillers militaires.
Tout cela en une semaine seulement! Et, aujourd'hui, des tribunaux fédéraux commencent à restreindre ses prérogatives.
Il y a deux semaines, au vu de ce que nous avions constaté pendant la période de transition, j'ai écrit un article proposant la constitution d'une commission et d'une campagne citoyennes de destitution du président.
Depuis, l'association apolitique Free Speech for People a lancé une campagne similaire. Elle a déjà recueilli quelque 400.000 signatures. L'organisation bipartisane Citizens for Responsibility and Ethics in Washington (CREW) constitue de son côté un dossier car ses juristes ont introduit une action en justice suite aux multiples violations de la clause d'inéligibilité, dont le but est d'empêcher le président de tirer profit des actions d'un gouvernement étranger.
Il existe déjà bien d'autres motifs de destitution, notamment liés au fait que Donald Trump place ses propres intérêts financiers devant ceux du pays, et son étrange alliance avec Vladimir Poutine, qui relève presque de la haute trahison. Moins connu que la clause d'inéligibilité, le Stop Trading on Congressional Knowledge (STOCK) Act de 2012, est l'équivalent du délit d'initié français. Il s'applique au président, comme à n'importe quel autre fonctionnaire.
Bien entendu, la procédure de destitution est une mesure aussi politique que juridique, comme le souhaitaient les pères fondateurs des Etats-Unis. Or, une semaine après son investiture, ce n'est pas seulement Trump qui abandonne la constitution, mais ses alliés qui l'abandonnent, lui.
En dépit de son comportement alarmant, les Républicains ont cru qu'ils pourraient se servir de lui pour parvenir à leurs fins. Mais entre sa déclaration d'amour à Poutine et son désir d'initier une guerre commerciale mondiale, Donald Trump n'a rien d'un Républicain. On ose à peine imaginer l'inquiétude et l'horreur que doivent exprimer en privé les cadres du parti.
En 1984, le psychiatre Otto Kernberg a décrit le narcissisme malfaisant, un trouble psychologique qui, contrairement aux autres formes de narcissisme, est considéré comme une pathologie grave. Il se caractérise par une absence de conscience, une grandiloquence alliée à une immense soif de pouvoir, et une tendance au sadisme.
Etant donné le danger qu'il représente pour la république et pour le parti républicain, la destitution de Donald Trump n'est qu'une question de temps. La question est de savoir quelles catastrophes l'Amérique devra surmonter d'ici là.
Ce blog, publié à l'origine sur le Huffington Post américain, a été traduit par Bamiyan Shiff pour Fast for Word.
Et dire que cela ne fait qu'une semaine qu'il est Président.
31/01/2017 07:00 CET | Actualisé il y a 58 minutes
Robert Kuttner Écrivain et économiste, fondateur du magazine "The American Prospect"
Carlos Barria / Reuters
Le Président des Etats-Unis Donald Trump lors d'une cérémonie au Pentagone durant laquelle le nouveau secrétaire à la Défense James Mattis a prêté serment, le 27 janvier 2017.
Donald Trump tente de gouverner de manière impulsive, sur des coups de tête, par animosité personnelle, dans son propre intérêt et par décret... comme s'il était dictateur. Mais ça ne fonctionne pas, et il va déjà droit dans le mur au bout d'une semaine!
Les appels à sa destitution se multiplient parce que c'est le seul moyen de se débarrasser de lui, parce que beaucoup de Républicains sont en train de l'abandonner, parce que cet homme est psychologiquement incapable de s'assurer de la légalité des choses avant de les faire, et parce qu'il est de plus en plus évident qu'il n'est absolument pas qualifié pour diriger le pays.
Les adultes qui l'entourent, même les plus serviles, passent le plus clair de leur temps à tenter de réfréner ses ardeurs, mais c'est tout simplement impossible. Le reste du temps, ils répondent aux coups de fil frénétiques des dirigeants républicains, du monde des affaires et des chefs d'Etat étrangers. Il a fait quoi??? Le pauvre Reince Priebus, chef de cabinet du président, évolue enfin dans les hautes sphères, mais il ne doit pas vraiment s'amuser.
C'est une chose de vivre dans son monde quand on est candidat, et qu'on peut dire à peu près tout ce qui nous passe par la tête. En trompant suffisamment de personnes suffisamment de fois, on peut même parvenir à se faire élire. Mais quand on tente de gouverner ainsi, la réalité vous rappelle à l'ordre.
Donald Trump a édicté des décrets impulsifs, qui n'ont pas été évalués par des juristes, des experts gouvernementaux ni des responsables politiques, et n'ont fait l'objet d'aucune réflexion stratégique sérieuse. Le voilà presque aussitôt contraint de faire marche arrière en raison des pressions politiques et juridiques... et à cause du monde réel.
Contrairement à ce qui se passe dans les différentes dictatures qu'affectionne le président, l'écheveau de mesures de contrôles politiques et juridiques mis en place pour défendre la constitution et empêcher l'avènement d'un régime tyrannique aux Etats-Unis tient bon, dans l'ensemble. Plus il est irresponsable, plus ces mesures se renforcent.
C'est seulement parce qu'il a bêtement tenté de refouler certaines catégories de réfugiés (mais en laissant entrer ceux qui viennent de pays qui soutiennent le terrorisme, comme l'Arabie saoudite et l'Egypte, où il a investi à titre personnel) qu'il s'aperçoit aujourd'hui que les Etats-Unis ont des tribunaux. Des tribunaux, vous dis-je! Incroyable.
Plus il se montrera imprévisible, moins les juges conservateurs accepteront de servir la soupe aux Républicains, comme ils l'ont fait si souvent par le passé. De la même manière, il serait imprudent de penser que la Cour suprême validera sans sourciller ses décisions les plus controversées.
Depuis une semaine, les Républicains, connus et moins connus, s'empressent de se distancer des propos qu'il tient sur Vladimir Poutine, et tournent en ridicule ses soupçons infondés de fraude électorale massive.
Ils ne savent plus où se mettre quand il s'agit de liquider le programme de couverture sociale universelle, l'Obamacare, sans nuire aux patients ni à leurs propres espoirs de réélection. C'est une mesure complexe, et Donald Trump ne fait pas vraiment dans la nuance. Tom McClintock, représentant de la Californie, a résumé les inquiétudes de nombre de ses confrères: "Il va falloir assumer les mesures que nous allons mettre en place" suite à l'abrogation de la loi. "Nos adversaires appelleront ça le Trumpcare, et les Républicains seront jugés sur pièce lors des prochaines élections, qui auront lieu dans moins de deux ans."
Le sénateur Lindsey Graham n'a, quant à lui, pas hésité à se moquer des habitudes du président sur les réseaux sociaux, en qualifiant dans un tweet la guerre commerciale avec le Mexique de "mucho sad".
Même le cabinet de Donald Trump a dû l'empêcher de poursuivre sa croisade insensée contre les Mexicains, notamment lorsqu'il oblige le président du Mexique à annuler sa visite officielle, avant de le rappeler 24 heures plus tard pour se rabibocher.
Le président américain a aussi proposé de légaliser à nouveau la torture, mais les leaders républicains s'y sont opposés. John Thune, le sénateur républicain du Dakota du Sud, a ainsi déclaré mercredi 25 janvier que l'interdiction de recourir à la torture faisait jurisprudence, et que les Républicains au congrès s'opposeraient à tout retour en arrière. Un point de vue que partage le ministre de la Défense, pourtant nommé par Donald Trump. Après avoir claironné à qui voulait l'entendre que sa décision était prise, le président a docilement accepté de s'en remettre à ses conseillers militaires.
Tout cela en une semaine seulement! Et, aujourd'hui, des tribunaux fédéraux commencent à restreindre ses prérogatives.
Il y a deux semaines, au vu de ce que nous avions constaté pendant la période de transition, j'ai écrit un article proposant la constitution d'une commission et d'une campagne citoyennes de destitution du président.
Depuis, l'association apolitique Free Speech for People a lancé une campagne similaire. Elle a déjà recueilli quelque 400.000 signatures. L'organisation bipartisane Citizens for Responsibility and Ethics in Washington (CREW) constitue de son côté un dossier car ses juristes ont introduit une action en justice suite aux multiples violations de la clause d'inéligibilité, dont le but est d'empêcher le président de tirer profit des actions d'un gouvernement étranger.
Il existe déjà bien d'autres motifs de destitution, notamment liés au fait que Donald Trump place ses propres intérêts financiers devant ceux du pays, et son étrange alliance avec Vladimir Poutine, qui relève presque de la haute trahison. Moins connu que la clause d'inéligibilité, le Stop Trading on Congressional Knowledge (STOCK) Act de 2012, est l'équivalent du délit d'initié français. Il s'applique au président, comme à n'importe quel autre fonctionnaire.
Bien entendu, la procédure de destitution est une mesure aussi politique que juridique, comme le souhaitaient les pères fondateurs des Etats-Unis. Or, une semaine après son investiture, ce n'est pas seulement Trump qui abandonne la constitution, mais ses alliés qui l'abandonnent, lui.
En dépit de son comportement alarmant, les Républicains ont cru qu'ils pourraient se servir de lui pour parvenir à leurs fins. Mais entre sa déclaration d'amour à Poutine et son désir d'initier une guerre commerciale mondiale, Donald Trump n'a rien d'un Républicain. On ose à peine imaginer l'inquiétude et l'horreur que doivent exprimer en privé les cadres du parti.
En 1984, le psychiatre Otto Kernberg a décrit le narcissisme malfaisant, un trouble psychologique qui, contrairement aux autres formes de narcissisme, est considéré comme une pathologie grave. Il se caractérise par une absence de conscience, une grandiloquence alliée à une immense soif de pouvoir, et une tendance au sadisme.
Etant donné le danger qu'il représente pour la république et pour le parti républicain, la destitution de Donald Trump n'est qu'une question de temps. La question est de savoir quelles catastrophes l'Amérique devra surmonter d'ici là.
Ce blog, publié à l'origine sur le Huffington Post américain, a été traduit par Bamiyan Shiff pour Fast for Word.
Re: Quand ?
Trump destitué..? Ce n'est pas impossible, surtout à la vue de la rage haineuse du clan des perdants du parti Démocrate de la clique Obama-Clinton qui sont aux manettes de la contestation médiatique. N'oublions pas que les Américains sont passés maîtres dans l'art des "révolutions de velours", "révolutions oranges" en Ukraine et en Géorgie...ou autres révolutions dites "printemps arabes" au Proche et Moyen-Orient...avec le résultat que l'on connaît...
Georges Soros, le manipulateur milliardaire mondialiste apatride, qui finance largement les coups d’état, insurrections instrumentalisés par la CIA, a déclaré à plusieurs reprises qu'il ferait tout son possible pour que Donald Trump ne finisse pas son mandat...Et lorsque l'on sait de quoi cette engeance est capable pour arriver à ses fins...
En attendant...49%, soit une large majorité des Américains sont favorables et satisfaits des mesures prises par Trump depuis son arrivée au Pouvoir et sa prise effective de fonction. Renverser l'actuel locataire de la Maison-Blanche ne serait probablement pas sans dramatiques conséquences dans un pays ultra-violent, où les gens sont armés, avec des stocks d'armes de la cave au grenier et où l'on n'hésite pas à faire parler la poudre pour défendre ses droits légitimes et ses valeurs traditionnelles...
Georges Soros, le manipulateur milliardaire mondialiste apatride, qui finance largement les coups d’état, insurrections instrumentalisés par la CIA, a déclaré à plusieurs reprises qu'il ferait tout son possible pour que Donald Trump ne finisse pas son mandat...Et lorsque l'on sait de quoi cette engeance est capable pour arriver à ses fins...
En attendant...49%, soit une large majorité des Américains sont favorables et satisfaits des mesures prises par Trump depuis son arrivée au Pouvoir et sa prise effective de fonction. Renverser l'actuel locataire de la Maison-Blanche ne serait probablement pas sans dramatiques conséquences dans un pays ultra-violent, où les gens sont armés, avec des stocks d'armes de la cave au grenier et où l'on n'hésite pas à faire parler la poudre pour défendre ses droits légitimes et ses valeurs traditionnelles...
Re: Quand ?
...Les Américains élisent qui bon leur semble...Nous ne sommes pas citoyens américains et ne vivons pas sur place pour avoir une idée bien précise...si ce n'est seulement et uniquement à travers ce que veulent bien nous raconter nos médias "gôchistes" tous, sans exception, anti-Trump bien avant qu'il soit élu...Mig a écrit:Oui peut-être 49 % aujourd'hui ..on verra plus tard quand les effets se feront sentir
Nous ferions mieux de nous occuper du bordel institutionnalisé qui prévaut en France...depuis trop longtemps déjà et qui ne fait que s'aggraver...avant de vouloir jouer aux arbitres des élégances morales, donner des leçons et juger ce qui se passe de l'autre côté de l'Atlantique...
Re: Quand ?
En tous les cas Trump a raison de vouloir imposer des contrôles sévères à tous les migrants venant de pays... musulmans !
Si nous avions fait pareil, l'Egyptien qui a attaqué à la machette nos soldats devant le Louvre à Paris, n'aurait pas pu le faire !
Il est arrivé sans aucun problème, a pu s'acheter ses armes et se ballader dans Paris sans que quelqu'un lui demande ce qu'il y foutait !
Combien de ces "touristes" sont encore en liberté chez nous ?
Si nous avions fait pareil, l'Egyptien qui a attaqué à la machette nos soldats devant le Louvre à Paris, n'aurait pas pu le faire !
Il est arrivé sans aucun problème, a pu s'acheter ses armes et se ballader dans Paris sans que quelqu'un lui demande ce qu'il y foutait !
Combien de ces "touristes" sont encore en liberté chez nous ?
Re: Quand ?
Et bien celui là serait arrivé sans problème aux USA ..puisqu'il est Egyptien, et venait du DubaïCaïman13 a écrit:En tous les cas Trump a raison de vouloir imposer des contrôles sévères à tous les migrants venant de pays... musulmans !
Si nous avions fait pareil, l'Egyptien qui a attaqué à la machette nos soldats devant le Louvre à Paris, n'aurait pas pu le faire !
Il est arrivé sans aucun problème, a pu s'acheter ses armes et se ballader dans Paris sans que quelqu'un lui demande ce qu'il y foutait !
Combien de ces "touristes" sont encore en liberté chez nous ?
Re: Quand ?
C'est vrai, ce sont les Américains qui sont méchants avec lui ..il peut pas faire ce qu'il veutCaïman13 a écrit:Alors les Américains n'ont pas à gueuler ! Trump n'est pas si méchant que çà, hein !
Re: Quand ?
Non "LES" Américains ce ne sont pas uniquement les bobos de la côte Est abonnés au Washington Post et les amoureux de Hillary Clinton ! Les Américains sont un grand peuple que les médias de gauche ont anesthésié depuis Kennedy !
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